Lire le communiqué de nos portes paroles nationaux Elise LOWY et Jean-Philippe MAGNEN
OGM : non merci !
Coup de tonnerre dans le monde des OGM : une étude scientifique indépendante conclut au danger des Plantes Génétiquement Modifiées qu’elle a testées. Cette étude, qui porte sur un échantillon de 200 rats, met en évidence une surmortalité inquiétante des animaux nourris avec ces OGM durant deux années.
EN 2005, Gérard Onesta et François Simon étaient condamnés à trois mois de prison avec sursis aux côtés de José Bové et des faucheurs volontaires par la cour d’appel de Toulouse pour un arrachage de maïs transgénique à Menville (Haute-Garonne). Depuis, l’actualité vient sans cesse nous montrer que les écologistes qui se sont mis hors la loi ont eu pour seul tort celui d’avoir raison trop tôt lorsqu’ils alertaient tant sur la dangerosité des cultures d’OGM que sur leur introduction dans la chaîne alimentaire. Suite à la publication de l’étude conduite par le biologiste Gilles Eric Séralini, Gérard Onesta est intervenu lors de l’assemblée plénière du Conseil Régional de Midi-Pyrénées : » Le Gouvernement doit s’opposer à ce que les recherches concernant les impacts des OGM soient faites par les semenciers afin d’en assurer la neutralité et la durée dans le temps. »
François Calvet, Vice-président de la commission agriculture a demandé qu’en « attendant l’ interdiction définitive des OGM, et comme les consommateurs le souhaitent, un étiquetage des produits issus de l’élevage (viande, œufs, lait…) soit mis en place pour indiquer si les animaux ont été nourris ou non avec des OGM. Par exemple, le site Internet de l’offre alimentaire en Midi-Pyrénées destiné aux collectivités locales ne permet pas aux acheteurs de faire leur sélection de produits selon le critère « avec ou sans OGM ». La région doit assurer au plus vite cette lisibilité dans ses outils de communication et d’information. ».