Juin 2015

La qualité de vie, le patrimoine et les services locaux dijonnais sont des atouts pour l’économie locale. Ils reposent sur des décisions validées lors des élections municipales. Cela pourrait être remis en cause par le Traité Transatlantique (TAFTA) en cours de discussion. C’est pourquoi le conseil municipal de juin 2014 a adopté un vœu demandant plus de transparence dans les négociations du traité et le retrait du mécanisme d’arbitrage « investisseur-Etat ». Ce voeu a contribué, avec d’autres mobilisations, à des avancées : les négociation sont connues et le mécanisme soumettant les politiques aux multinationales a été rejeté par deux commissions majeures du parlement européen (avril 2014). Il faut maintenant un grand débat public sur les impacts du projet de traité sur notre quotidien: environnement, alimentation saine, tarification solidaire des services locaux, énergies… Cela concerne l’économie dijonnaise et les belles perspectives de développement avec la Cité de la Gastronomie qui reposent sur les produits de qualité, labels et origines contrôlées de nos territoires.

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