Faire baisser le prix de l’eau, c’est possible dès maintenant !

Faire baisser le prix de l’eau, c’est possible dès maintenant !

Une réunion publique sur l’eau s’est tenue à Château Thierry, le jeudi 20 décembre à l’initiative de 2 associations  » Nos Ronds Dans L’eau  » et  » Omois Environnement  » avec la participation de Jean-Luc Touly, directeur de l’eau de la Fondation Danielle Mitterrand « France Liberté », conseiller régional Europe Ecologie – Les Verts d’Ile-de-France ey Richard Olivieri, président de l’association « Nos Ronds dans l’eau », association ayant pour objectif de faire baisser le prix de l’eau durablement.

 

Avec la création de « Nos ronds dans l’eau », il est intervenu auprès des délégués communautaires de l’Union des Syndicats des Eaux -USESA-, auprès des maires et conseillers municipaux pour proposer de passer en régie publique la gestion de l’eau avec Noreade par exemple qui peut diminuer le prix de la distribution de l’eau potable d’environ 1euro.

Dans une période ou l’on parle du pouvoir d’achat, cela aurait pour conséquence une réduction significative de notre facture d’eau de 120 euros pour une consommation de 120m3 , et une redistribution annuelle entre 3 500 000 euros et 4ooo ooo euros sur tout le sud de l’Aisne.

L’association prouve que baisser le prix de l’eau est possible si l’on repasse en régie publique.

Malgré cela les délégués à l’USESA continuent comme si de rien n’était à approuver les choix du Président.

Jean-Luc Touly a montré que, au vu de l’audit, le concessionnaire en profite pour surfacturer et réclamer des frais indus ce qui fait que la concession de l’eau augmente le prix d’1 euro par mètre cube. Il a fourni les explications et a éclairé l’assistance en illustrant ses propos avec les 300 communes qui, en une décennie, sont passées d’un système privé en une gestion publique.

Les participants souhaitent une non reconduction du système en place porté par l’USESA et demandent à la présidence de l’USESA un débat avant tout engagement et tout renouvellement de contrat.

En cas où nous ne serions pas entendus des démarches juridiques seraient engagées.

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