libéralisation des droits de plantation viticoles

Le vignoble bergeracois craint une libéralisation à outrance

L’Europe propose la suppression, en 2016, des droits de plantation de vignes. Inquiétudes dans le milieu viticole

Aujourd’hui, la plantation de pieds de vigne est réglementée. (photo archives isabelle louvier/ « so »)

En mars, 80 élus ont signé « l’appel de Dijon ». Lundi, à Pomport, onze autres élus et responsables ont rejoint le mouvement.

« L’appel de Dijon » marque le début de la contestation quant au projet de l’Union européenne de supprimer en 2016 des droits de plantation dans le secteur viticole. À l’initiative de Brigitte Allain, députée d’Europe Écologie-Les Verts, et de Catherine Grèze, eurodéputée, une réunion publique a eu lieu, en présence de Paul-André Barriat, président de la Fédération des vins de Bergerac, de Michel Delpon, président du Conseil interprofessionnel des vins de la région de Bergerac (CIVRB), et de Pascal Bobillier-Monnot, directeur de la Confédération nationale des appellations d’origine contrôlée (CNAOC).

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