Il est par ailleurs de longue date engagé dans des mouvements et organisations environnementalistes, plus précisément autour de la biodiversité et du climat.

Son activité professionnelle et ses différents engagements associatifs lui permettent de constater au quotidien que des îlots d’invention fleurissent partout sur les territoires. La convergence et le changement d’échelle de ces initiatives restant le fil d’Ariane indispensable pour créer les conditions de la transition écologique de notre société.

Son engagement auprès d’EELV remonte à 2005. Le choix de militer dans ce mouvement politique a été motivé par le constat que seul ce parti, d’une part, propose une volonté de transformation du monde qui pose comme préalable à tout le reste la préservation de notre environnement, et d’autre part, intègre dans son logiciel de pensée que nous vivons dans un monde dont les limites physiques existent.

La naissance de notre nouvelle grande région est selon lui l’opportunité de dessiner un territoire qui n’existe encore sur aucune carte. Un espace, fertile et protecteur, capable de démontrer que le projet écologiste peut réconcilier autant les citoyens entre eux et l’homme avec la nature.