Les Jeunes Écologistes lancent leur Révolution énergétique ce week-end à Bordeaux

Plus d’une centaine de militants des Jeunes Écologistes se retrouvent du 1er au 3 mars à Bordeaux pour lancer leur campagne en faveur d’une vraie révolution énergétique et travailler sur les thématiques économiques.

Les Jeunes Écologistes organiseront samedi 2 mars à 17h30 un happening place de la Victoire à Bordeaux pour interpeller les citoyens sur l’importance de la transition énergétique. Le but de cette action-surprise sera de porter de manière originale et décalée les propositions écologistes sur ce sujet. La campagne « Révolution énergétique » qui sera lancée à cette occasion – en parallèle au débat national sur l’énergie organisé par le Ministère de l’Écologie – vise à mobiliser partout en France les jeunes et moins jeunes autour des enjeux cruciaux de la transition.

A travers des débats et actions symboliques dans plus de 30 villes durant les mois qui viennent, les Jeunes Écologistes avanceront des solutions à mettre en œuvre dans notre pays pour réduire notre consommation et notre facture énergétique, développer les énergies renouvelables, sortir du nucléaire et créer de l’emploi dans les secteurs d’avenir (isolation des logements, nouvelles énergies, etc).

Cette rencontre sera aussi l’occasion pour les militants Jeunes Écologistes de travailler sur les grandes questions économiques et sociales du moment. Ils accueilleront l’économiste Alain Lipietz et la députée (EELV) Eva Sas pour analyser la crise économique et discuter des solutions écologistes en matière de reconversion économique, relocalisation, fiscalité environnementale et partage des richesses et du travail.

Un commentaire pour “Les Jeunes Écologistes lancent leur Révolution énergétique ce week-end à Bordeaux”

  1. C’est bien de réfléchir à ces questions.

    Voici une étude pour s’approprier de nouveaux arguments

    http://energeia.voila.net/electri/co2_ges_nucle_renouv.htm

    Donc, non seulement le nucléaire est dangereux et coûte trop cher comme on voit en Normandie, mais ce n’est pas la bonne solution pour le CO2 et les GES.

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