Antinucléaire



  1. Manifestation « Nucléaire Stop ! » à La Rochelle

    Dimanche 6 avril dernier, quelques dizaines d’éco-citoyens se sont rassemblés à La Rochelle à l’appel des associations Ciel Vert et et Défi Energie 17, soutenu par AIE17, Greenpeace La Rochelle, RSN (\ »Sortir du Nucléaire), SVN (\ »Sortons Vite du Nucléaire\ »), pour dénoncer les politiques énergétiques nucléaire & carbone et prôner les solutions de transition. …

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  2. Rapport de Greenpeace « Enseignements de Fukushima »

    Il y a bientôt 12 mois débutait le désastre nucléaire de Fukushima. Bien qu’il fut provoqué par le Grand séisme de l’Est du Japon et par le tsunami qui s’ensuivit, les principales causes de l’accident nucléaire résident dans les failles institutionnelles du lobbying politique et de la réglementation du secteur de l’industrie. Les institutions humaines ont échoué dans la reconnaissance des risques réels des réacteurs, dans l’établissement et la mise en application de normes de sécurité nucléaire appropriées et, finalement, dans la protection des hommes et de l’environnement. …

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  3. Chaîne humaine contre le nucléaire à La Rochelle

    Chaîne humaine contre le nucléaire à La Rochelle En soutien à la Chaîne humaine qui s’est formée entre Lyon et Avignon, le réseau Sortir du Nucléaire a réuni, sur le cour des Dames et le quai Duperré, environ 200 manifestants, dimanche 11 mars 2012. Portant des combinaisons de protection blanche et des panneaux \ »Nucléaire, non merci\ », ils étaient guidés par les membres des associations Défi Energie 17, Ciel Vert et Europe-écologie Les Verts. …

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  4. EELV demande au préfet de mettre hors service un réservoir de la centrale de Civaux

    EELV demande au préfet de mettre hors service un réservoir de la centrale de Civaux. Au début du mois de janvier 2012, une fuite d’effluents radioactifs contenant du tritium a pollué la nappe phréatique située sous la centrale nucléaire de Civaux. Une inspection de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) a montré que la fuite provenait d’un réservoir et de son bassin de rétention qui n’étaient pas étanches et présentaient fissures, écaillages et cloques. Le 24 janvier, l’exploitant, EDF a été mise en demeure par l’ASN de rendre ce réservoir étanche sous dix jours. Les méthodes utilisées par EDF, qui consisteraient à appliquer un simple gel de type silicone sur un béton humide chargé d’effluents radioactifs présentant fissures, écaillages et cloques, sont-elles acceptables ? Non si l’on en croit l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire qui préconise, pour se simples locaux destinés à la manipulation du tritiumque « le revêtement des sols, murs, des plafonds et des surfaces de travail doit être en matériau lisse, imperméable, sans joint et facilement décontaminable ». Les groupes locaux EELV de Poitiers et de Châtellerault adressent aujourd’hui un courrier au préfet de région et au président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire afin de rappeler que les méthodes mises en œuvre par EDF ne semblent pas appropriées et qu’il convient de déqualifier le réservoir incriminé tant qu’il n’aura pas fait l’objet d’une réparation sérieuse et pérenne. Il en va de la protection de l’environnement et des habitants de la Vienne. …

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  5. Une fuite de tritium à la centrale de Civaux pollue la nappe phréatique

    Une fuite de tritium à la centrale de Civaux pollue la nappe phréatique Le 13 janvier, des analyses réalisées par EDF dans la nappe phréatique située sous la centrale nucléaire de Civaux ont révélés une concentration inhabituelle de tritium, un nucléide radioactif produit par la centrale. Cette information n’a été reconnue que le 18 janvier dernier, qui plus est avec discrétion, sur le site internet d’EDF de Civaux. Elle est accompagnée de précisions qui se veulent rassurantes en indiquant que « L’eau de cette nappe phréatique ne fait l’objet d’aucun usage direct, ni pour l’eau potable ni pour les besoins agricoles. » Or, n’importe quel hydrogéologue sait qu’une nappe phréatique peut présenter des résurgences et qu’elles participent à alimenter nos cours d’eau ou bien d’autres nappes phréatiques. En l’absence de contamination, le taux aurait dû être de l’ordre de 8 becquerels par litre. Les analyses du 13 janvier ont enregistré un taux 67,5 fois supérieur atteignant 540 becquerels par litre. Même si selon le service de communication de la Centrale, cette concentration demeure 15 fois inférieure au seuil de potabilité de l’eau défini par l’organisation mondiale de la santé (OMS), il y a tout lieu de s’interroger sur l’origine inquiétante de cette pollution au tritium. N’existe-t-il pas de double ou triple cuves pour contenir ces effluents et une surveillance spécifique ? À ce jour l’origine de la fuite ne se semble pas avoir été détectée ce qui veut dire que la concentration en tritium de la nappe est toujours susceptible d’augmenter. …

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  6. Mobilisation contre le nucléaire

    Tchernoblaye et les écologistes dans la rue Un millier de personnes selon le président de Tchernoblaye, Stéphane Lhomme, 500 selon la police, ont parcouru Bordeaux hier, passant devant l’agence EDF, faisant les morts au Grand-Théâtre, avant de poser une maquette de la centrale du Blayais sur le miroir d’eau, en guise de piqûre de rappel. En effet, l’installation avait eu les pieds dans l’eau lors de la tempête de 1999. Une partie des installations ont failli être noyées. Dix ans avant Fukushima, la Gironde aurait pu connaître un accident majeur. …

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