Comme nous aimerions ces « grands élus lorsqu’ils affirment :
« L’Ecologie ne doit pas être une affaire de partis, mais une affaire de responsabilités. »
- Lorsque toutes les actions et décisions publiques seront évaluées en fonction de leur impact climatique,
- Lorsqu’il ne sera plus utile d’attendre la mort d’un jeune écologiste pour se rendre compte que les experts ont déjà jugé ce projet dépassé, hors normes européennes,
- Lorsque priorité absolue sera donnée aux transports en commun, et non à ces grands projets inutiles fracturant les territoires, comme l’autoroute A 831,
- Lorsque nous garantirons que nos sols, rivières et forêts seront préservées pour les générations à venir, et que nous favoriserons une agriculture paysanne,
- Lorsque tous les projets seront garants de la protection de la biodiversité,
- Lorsque nos assiettes seront exemptes des multiples polluants qui s’y trouvent aujourd’hui,
- Lorsque, de façon volontariste, toutes nos futures constructions, s’inscriront dans la transition énergétique, en allant bien au-delà des normes actuelles,
- Lorsque les salarié-e-s ne seront plus sacrifié-e-s, pour le seul bénéfice de la finance et de la sacro-sainte croissance,
- Lorsque nous n’aurons plus recours à cette énergie, dépassée, coûteuse et dangereuse qu’est le nucléaire,
- Alors, et alors seulement, l’Ecologie ne sera plus une affaire de partis.
Malheureusement, nous en sommes très, très loin, et il nous semble donc impératif que cette « utopie généreuse » soit portée en politique. C’est tout le sens de notre engagement et de celui des écologistes.
l’Ecologie est aussi « affaire de responsabilités » locales : C’est pourquoi nous sommes candidat-e-s
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