Les dépenses déraisonnables et superflues du département

Au conseil général, la majorité UMP-UDI a une fâcheuse tendance à engager des dépenses lourdes et superflues. A force de s’entendre dire que les Hauts-de-Seine sont « le département le plus riche de France », ils ont peut-être perdu le sens de la mesure et des réalités…

Quelques exemples d’usage de notre argent public au Conseil Général:
– 59 millions d’euros pour le développement d’un réseau Très haut Débit alors que des opérateurs privés s’en chargent déjà ;
– 18 millions d’euros par an pendant 30 ans pour la cité de l’excellence musicale de l’île Séguin ;
– 1,2 million d’euros par an pour une l’équipe de rugby professionnelle Racing Metro ;
– 1,2 millions d’euros par an pour le choeur de la Maîtrise des Hauts-de-Seine ;
– 300 000 euros pour une collection de bonsaïs ;
– 230 000 euros pour les broderies végétales du parc de Sceaux.

Nous sommes hostiles à la plupart de ces dépenses déraisonnables et élitistes qui ne profitent qu’à un petit nombre d’habitants. Alors que notre modèle économique basé sur l’exploitation de ressources naturelles épuisable est en difficulté , nous devons recentrer les dépenses du département sur ses fonctions essentielles et sur la transition écologique de l’économie.

Nous souhaitons une réorientation de ces dépenses vers:
– la rénovation énergétique des bâtiments départementaux (collèges) et des logements ;
– la lutte contre la précarité énergétique ;
– le développement des transports en commun et des itinéraires cyclables ;
– le soutien à la production d’énergie renouvelable ;
– le soutien au développement de l’agriculture locale.

Le 22 mars votez Europe Ecologie Les Verts pour soutenir ces orientations !

   
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Après un voyage humanitaire aux Philippines je prends conscience très jeune de l'importance du don de soi et de la beauté de notre planète. Résolument tournée vers les autres, je me spécialise en droit du travail, obtiens un Master à l'Université Paris XI et entre à l'école de formation du barreau de Paris. Mon métier de juriste en cabinet d'avocats me confronte chaque jour aux difficultés sociales engendrées par les choix politiques désastreux des partis traditionnels (licenciements, chômage...). Mon engagement politique au sein d'EELV est motivé par l'ambition de construire avec tous mes concitoyens un monde respectueux des besoins humains et de l'environnement. Je suis animée par la conviction selon laquelle : "penser global et agir local" est la seule solution pour construire un monde durable. C'est pourquoi je m'implique aussi dans la vie locale et associative (paniers bio, ruches...).

Ingénieur de formation, j’ai travaillé dans l'industrie automobile pendant 9 ans puis dans une entreprise publique depuis 2010. Je suis convaincu que notre modèle économique basé sur la croissance perpétuelle de la production n'est pas tenable. C’est pour moi l’origine réelle des difficultés économiques et sociales de la France et de l’Europe. Les partis politiques traditionnels croient au contraire que la croissance va revenir en démontant notre protection sociale et en baissant les dépenses publiques. Face aux périls écologiques comme le réchauffement climatique et l'épuisement des ressources naturelles, j’ai décidé de m'impliquer à mon niveau. Je suis adhérent d’une association de défense des déplacements à vélo. Je défends la transition écologique de l'économie comme nouveau modèle.

Activiste pour la cause du vélo et du climat, j’habite Châtillon depuis 35 ans, où j’ai été conseiller municipal pendant deux mandats, écologiste très minoritaire opposé à des représentants typiques de la droite affairiste des Hauts-de-Seine. Plus il y aura d’écologistes à l’assemblée départementale, plus ils pourront dévier les projets inutiles, coûteux et nocifs pour l’environnement et la santé que cette assemblée vote régulièrement. Efficacité des déplacements ; territoire mieux équilibré entre activités et logements ; réengagement public dans l’action sociale ; démocratie locale à l’abri du clientélisme et des conflits d’intérêts ; moins de gaspillage pour trouver des financements. Les écologistes ont besoin de votre soutien !

J’habite à Fontenay-aux-Roses depuis 19 ans et suis engagée dans la dynamique politique et associative de ma ville. L'homme n'est pas un prédateur au sein d'une concurrence généralisée, il fait pleinement partie de son environnement. Pour vivre, chacun a besoin de sérénité, d'humanité, de beauté et de diversité dans un environnement que nous devons protéger pour nous mêmes et pour les autres. Utilisons la richesse du département des Hauts-de-Seine pour le bien-vivre de ses habitants dans un environnement non pollué et respectueux de tous sans exception et sans discrimination.

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