Le 22 mars, votez pour l’alternative écologique dans les Hauts-de-Seine

Ce dimanche 22 mars aura lieu le 1er tour des élections départementales.
Nous avons choisi de présenter notre candidature aux électeurs pour défendre la voix de l’écologie politique. Le réchauffement climatique s’aggrave; notre dépendance aux ressources naturelles importées nous met en difficulté; le modèle économique et social vacille car non-durable; les atteintes à l’environnement et à la santé se multiplient… Nous voulons proposer une alternative écologique aux électeurs. Aucun autre parti ne prend sérieusement en compte ces problèmes. Malgré leurs discours parfois teintés de vert, nous sommes convaincus que ces questions suscitent chez eux l’indifférence, voire parfois le mépris !

Nous souhaitons que les départements apportent leur contribution à la transition écologique de l’économie. En matière d’énergie, le département doit contribuer aux économies d’énergie, à la rénovation énergétique des bâtiments et à la production d’énergie renouvelable. Pour les déplacements, nous voulons redonner la priorité aux transports en commun et aux aménagements de voirie pour les cyclistes plutôt qu’au « tout-voiture ». Nous soutenons la relocalisation des activités économiques et les circuits courts, par exemple en privilégiant une alimentation régionale et bio dans les cantines des collèges. Enfin, le département doit se recentrer sur sa mission d’aide sociale: aides aux personnes âgées et dépendantes, financement de crèches, aides aux handicapés…
La gestion des Hauts-de-Seine par les élus UMP-UDI se caractérise par des dépenses de prestige qui ne profitent qu’à une minorité: 18 millions d’euros par an pendant 30 ans pour la cité musicale de l’île Séguin, 1,2 millions d’euros par an pour un club de rugby professionnel, 300 000€ pour une collection de bonsaïs… Nous voulons mettre fin à ces dépenses déraisonnables et les réorienter vers les vraies priorités.

Nous savons que ces élections ne passionnent pas les foules. De plus, le spectacle politique national désespérant donne mille raisons aux électeurs de s’abstenir ou de se défouler. Mais notre candidature a pour objet de vous donner un autre choix. Et malgré ce contexte politique difficile, nous ne nous résignons pas à déserter l’action publique et à laisser le champ libre aux extrêmes qui, eux, n’ont pas besoin de faire campagne pour récolter les voix.
Nous avons besoin de vous. Le 22 mars, votez pour l’alternative écologique dans les Hauts-de-Seine !

Maxime MESSIER et Amandine LIGEROT
Candidats EELV aux élections départementales

   
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Après un voyage humanitaire aux Philippines je prends conscience très jeune de l'importance du don de soi et de la beauté de notre planète. Résolument tournée vers les autres, je me spécialise en droit du travail, obtiens un Master à l'Université Paris XI et entre à l'école de formation du barreau de Paris. Mon métier de juriste en cabinet d'avocats me confronte chaque jour aux difficultés sociales engendrées par les choix politiques désastreux des partis traditionnels (licenciements, chômage...). Mon engagement politique au sein d'EELV est motivé par l'ambition de construire avec tous mes concitoyens un monde respectueux des besoins humains et de l'environnement. Je suis animée par la conviction selon laquelle : "penser global et agir local" est la seule solution pour construire un monde durable. C'est pourquoi je m'implique aussi dans la vie locale et associative (paniers bio, ruches...).

Ingénieur de formation, j’ai travaillé dans l'industrie automobile pendant 9 ans puis dans une entreprise publique depuis 2010. Je suis convaincu que notre modèle économique basé sur la croissance perpétuelle de la production n'est pas tenable. C’est pour moi l’origine réelle des difficultés économiques et sociales de la France et de l’Europe. Les partis politiques traditionnels croient au contraire que la croissance va revenir en démontant notre protection sociale et en baissant les dépenses publiques. Face aux périls écologiques comme le réchauffement climatique et l'épuisement des ressources naturelles, j’ai décidé de m'impliquer à mon niveau. Je suis adhérent d’une association de défense des déplacements à vélo. Je défends la transition écologique de l'économie comme nouveau modèle.

Activiste pour la cause du vélo et du climat, j’habite Châtillon depuis 35 ans, où j’ai été conseiller municipal pendant deux mandats, écologiste très minoritaire opposé à des représentants typiques de la droite affairiste des Hauts-de-Seine. Plus il y aura d’écologistes à l’assemblée départementale, plus ils pourront dévier les projets inutiles, coûteux et nocifs pour l’environnement et la santé que cette assemblée vote régulièrement. Efficacité des déplacements ; territoire mieux équilibré entre activités et logements ; réengagement public dans l’action sociale ; démocratie locale à l’abri du clientélisme et des conflits d’intérêts ; moins de gaspillage pour trouver des financements. Les écologistes ont besoin de votre soutien !

J’habite à Fontenay-aux-Roses depuis 19 ans et suis engagée dans la dynamique politique et associative de ma ville. L'homme n'est pas un prédateur au sein d'une concurrence généralisée, il fait pleinement partie de son environnement. Pour vivre, chacun a besoin de sérénité, d'humanité, de beauté et de diversité dans un environnement que nous devons protéger pour nous mêmes et pour les autres. Utilisons la richesse du département des Hauts-de-Seine pour le bien-vivre de ses habitants dans un environnement non pollué et respectueux de tous sans exception et sans discrimination.

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