Axe 3 – Partageons nos savoirs
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S’il y a bien une ressource inépuisable et complètement renouvelable, qui plus on la partage, plus elle grandit, c’est le savoir et la connaissance. La Région occupe une position stratégique pour permettre le partage des connaissances et accompagner chaque habitant-e dans l’accès aux savoirs et à la formation. Nous voulons qu’elle offre à chaque habitant-e, jeune ou adulte, la possibilité d’apprendre, de progresser et de trouver sa place de citoyen actif et responsable dans la société, en l’aidant notamment à s’orienter et en sécurisant ses parcours de formation tout au long de la vie.


SOUTENIR L’ÉDUCATION POPULAIRE POUR TOUTES ET TOUS, ET NOTAMMENT LES JEUNES


Nous refusons le fatalisme et faisons le pari que chaque jeune ou adulte peut progresser, apprendre, grandir. La région doit soutenir les initiatives qui contribuent à éveiller et éduquer à la capacité à choisir, qui contribuent à l’émancipation indispensable pour construire d’autres possibles.

105. Nous poursuivrons le soutien aux réseaux d’éducation populaire par des partenariats pluriannuels permettant de travailler dans les territoires sur la durée.

106. Nous élargirons la composition et le rôle de la Conférence régionale des acteurs de la jeunesse, pour qu’elle devienne un outil d’animation des politiques « jeunesses » sur les territoires, dans une dynamique de co-construction des politiques publiques.

107. Nous mettrons en place un observatoire des politiques « jeunesses » sur les territoires.

108. Nous créerons au sein de la Conférence territoriale de l’action publique (CTAP) une sous-commission « jeunesses » pour constituer et animer un réseau régional des élu-es en charge des politiques jeunesses (formation, partage d’expériences, montée en compétence).

109. Nous inciterons, notamment via les contrats de territoire, à la mise en place de projets territoriaux pour les jeunesses.

110. Nous financerons 500 services civiques de qualité.


POUR DES LYCÉES ET CFA DE QUALITÉ ET DE PROXIMITÉ


Depuis 2010, la Région a construit deux nouveaux lycées agréables à vivre et bien isolés. Elle a aussi rénové de nombreux lycées anciens, avec plus de 570 millions d’euros engagés. Mais ces opérations de construction et rénovation ne sont pas terminées.

111. 500 millions d’euros d’ici 2020 seront consacrés à la construction, la rénovation et la performance énergétique des lycées et internats. Nous veillerons à prioriser les établissements qui en ont le plus besoin, et répondrons à l’accessibilité des personnes en situation de handicap.

112. Nous construirons quatre nouveaux lycées, pour répondre à l’arrivée d’au moins 15 000 lycéen-nes et apprenti-es supplémentaires d’ici 2025, en complément du lycée de Carquefou qui sera inauguré en 2017 (à Nort-sur-Erdre et Pontchâteau en Loire-Atlantique et à Saint-Gilles-Croix-de-Vie et Aizenay en Vendée).

113. Nous sensibiliserons les lycéen-nes et apprenti-es à l’importance d’une nourriture saine en même temps que les restaurants scolaires poursuivront le développement des menus bio, locaux et sous labels qualité (voir axe « Partageons une meilleure qualité de vie »). Nous travaillerons à l’instauration de tarifs différenciés en fonction du revenu des familles.

114. Nous développerons un service de transport scolaire efficace et abordable (voir axe « Partageons les services sur notre territoire »). Notre priorité est de réduire le temps de trajet des lycéen-nes : 35 min maximum par trajet. Pour cela, nous augmenterons la fréquence et diminuerons la taille des bus pour une meilleure prise en compte des besoins. Enfin, nous mettrons en place une tarification sociale qui prend en compte les ressources de la famille.


FORMER NOS LYCÉEN-NES ET APPRENTI-ES À UN NUMÉRIQUE ÉTHIQUE


Face à la place qu’occupe désormais le numérique dans notre quotidien et le défi de la protection des données personnelles, il est urgent de sensibiliser nos lycéen-nes et apprenti-es à des outils plus éthiques et des pratiques plus responsables.

115. Nous continuerons à équiper les lycées et CFA en matériel informatique et veillerons avec le Rectorat et les directions des CFA à l’appropriation de l’outil par les enseignants et formateurs.

116. Nous développerons dans les lycées et CFA l’utilisation de logiciels libres, gratuits, facilement accessibles, librement modifiables et protégeant les données des utilisateurs (ex : Mozilla Firefox, Linux).

117. Nous mettrons en place des modules de formation aux usages du numérique en lien avec le Rectorat et les équipes pédagogiques, pour que nos jeunes apprennent à « surfer » en toute tranquillité et de façon responsable sur la toile.


DIVERSIFIER LES APPROCHES PÉDAGOGIQUES, FAVORISER LE FAIRE ENSEMBLE, APPROCHER LE MONDE DU TRAVAIL


Mis en place en 2005, le programme d’actions éducatives (PAE), co-construit avec le Rectorat de l’Académie de Nantes et la Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (D.R.A.A.F.), a pour objectifs d’élever le niveau de formation et de culture de tous les jeunes lycéen-n-es et apprenti-e-s et favoriser l’éducation à la citoyenneté, l’initiative et l’engagement des jeunes.

118. Nous proposerons un stage en milieu de travail en fin de seconde (classe sans examen), pour les élèves qui le souhaitent, en accord avec le Rectorat

119. Nous poursuivrons notre partenariat avec les lycées et les CFA sur les Projets d’Actions Educatives, en partenariat avec les équipes éducatives : travail collectif sur les valeurs citoyennes et le développement durable.

120. Nous soutiendrons les pédagogies alternatives et innovantes : lycée expérimental de St Nazaire, projet Célestin à Nantes (collège-lycée méthode Freinet), étude de la création d’un collège-lycée bilingue breton, étude de la création d’un lycée des langues (y compris Espéranto).


PRÉVENIR LE DÉCROCHAGE SCOLAIRE, ACCOMPAGNER LES JEUNES DANS LEURS PARCOURS


La Région des Pays de la Loire est reconnue sur le plan national dans son action contre le décrochage scolaire. Grâce aux élus écologistes, elle a lancé à destination des lycées et CFA un appel à projets sur l’accompagnement préventif du décrochage scolaire et de la rupture de contrat d’apprentissage. Depuis 2012, cette action, pour laquelle la Région a consacré plus de 350 000 €, a permis d’accompagner 104 projets concernant 1 760 jeunes et de prévenir ainsi le décrochage d’un grand nombre d’entre eux en leur redonnant confiance et en consolidant leur projet de formation.

121. Nous amplifierons l’appel à projets auprès des équipes éducatives des lycées pour monter des cellules d’accompagnement individuel des élèves en voie de « décrochage » et de leur famille.

122. Nous renforcerons le réseau des plateformes de suivi et d’appui aux « décrocheurs ». Nous proposerons aux Conseil départementaux et aux collèges de se joindre à cette démarche.


FAVORISER L’INSERTION SOCIALE ET PROFESSIONNELLE DES JEUNES


123. Nous étendrons la « Garantie jeune » à l’ensemble des 5000 jeunes de 16 à 25 ans qui sont sans emploi ni qualification (moins de 1000 bénéficiaires actuellement), qui comprend un accompagnement de longue durée associé à une rémunération (452 €/mois). Nous instaurerons une majoration de prime de 500 € aux employeurs d’apprenti-e qui embaucheront un jeune bénéficiant de la « Garantie jeune » ou bien qui réside dans un quartier prioritaire de la politique de la ville.

124. Nous maintiendrons le pack 15-30 pour l’autonomie des jeunes et l’élargirons à tous les jeunes. Le « pack 15-30 » a pour but d’améliorer les conditions de vie et l’insertion des jeunes dans la société et dans le monde du travail en favorisant l’égalité d’accès à la santé, au logement, à la culture, au sport, au transport et à la formation, à travers 9 Pass donnant droit à des aides et réductions (Pass Logement, Pass Transport, Pass Culture sport, Pass prévention-contraception…)


AMÉLIORER LES CONDITIONS ET L’ACCÈS À L’APPRENTISSAGE


En matière d’apprentissage, les Pays de la Loire se distinguent : 82,3% de réussite aux examens en 2012 (contre 79,9% au niveau national), 71,5% d’insertion professionnelle en 2013 (contre 65%), 10,6% de taux de rupture nette des contrats (contre 22%). Autant de preuves que la politique de l’apprentissage portée par les écologistes depuis 11 ans porte véritablement ses fruits.
Nous poursuivrons cette même dynamique, tout en accordant une attention particulière à la lutte contre les ruptures de contrat d’apprentissage et la promotion de l’apprentissage en direction des filles et des jeunes issus des quartiers populaires.

Nous mettrons en place une surprime à l’employeur de 500 € pour l’embauche comme apprenti d’un jeune bénéficiaire de la « Garantie jeune » ou résidant dans une Zone Urbaine Sensible. Ce ne sera pas très couteux pour la région, puisqu’un jeune embauché en apprentissage n’aura plus à recevoir la rémunération de 452€ de la garantie jeune.
– insister sur la formation des tuteurs en entreprise et le lien CFA-entreprise.

125. Nous systématiserons avec les branches professionnelles et les CFA des mini-stages de découverte des métiers, avant la recherche d’un employeur. C’est dans le « faire » qu’un jeune peut savoir si une voie lui convient ou non.

126. Nous renforcerons la coordination entre les CFA et les entreprises et encouragerons fortement la formation des tuteurs en entreprise, pour offrir aux apprenti-es les conditions de travail les plus adaptées à leur réussite. Cela permettra aussi de repérer les entreprises où les conditions de travail des jeunes ne sont pas adaptées et de réduire à terme le nombre de ruptures de contrats d’apprentissage.

127. Nous octroierons systématiquement une aide à l’obtention du permis de conduire pour un-e apprenti-e dans les secteurs d’activité où les déplacements avec un véhicule personnel sont une condition requise pour l’obtention de l’emploi concerné.

128. Nous mettrons en place des mesures pour inciter les entreprises à contractualiser avec les jeunes les plus fragiles sur le marché de l’emploi et sujets à des discriminations.


DÉVELOPPER L’ORIENTATION ET L’ACCOMPAGNEMENT DE CHACUN-E


La Région, chef de file du Service Public d’Orientation depuis la dernière réforme territoriale, doit rendre ce service plus visible et plus accessible à tous les publics (jeunes scolarisés ou « décrocheurs », salariés, chômeurs).

129. Nous créerons dans chaque bassin d’emploi des maisons de l’orientation et de la formation. Prenant appui sur les structures existantes, elles fédéreront tous les services qui travaillent à l’orientation professionnelle (CIO, Missions Locales, Maisons de l’emploi, CIDJ. Elles seront un lieu de coordination (avec les branches professionnelles, les partenaires sociaux) et de recueil d’informations sur les réalités locales. Elles seront aussi un lieu de GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences) locale. Ces Maisons de l’orientation et de la formation pourront permettre un meilleur lien entre la validation des projets professionnels et les organismes de formation qui organisent leurs formations en modules. Elles pourront aussi permettre de faire un suivi/accompagnement psychopédagogique des stagiaires. Cela constituera un pas de plus vers la délégation de l’Etat à la Région de la coordination du service public de l’emploi, comme la Région Pays de la Loire vient de le demander.

130. Pour plus de cohérence, nous négocierons avec l’Etat la délégation à la Région de la responsabilité unique du CARIF-OREF (organisme d’observation de la relation entre emploi et formation et de diffusion des offres de formation, pour le moment dirigé conjointement par l’Etat et la Région).


ACCOMPAGNER LA FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE


Depuis la dernière réforme territoriale, la Région joue un rôle stratégique dans la sécurisation des parcours professionnels et dans la nécessaire transformation des métiers qui devra accompagner la transition écologique de la société, de plus en plus vitale.


Préparer les formations aux métiers de demain

131. Nous créerons trois « cités des métiers de demain » dans les domaines de l’industrie, du bâtiment et de l’agriculture. Lieux de collaboration avec les branches professionnelles, les entreprises et les différents partenaires, ces cités seront à la fois des lieux de formation, s’appuyant sur des plateaux techniques de formation existants, une vitrine de l’évolution des métiers et de la création de nouveaux métiers et un lieu de recherche pédagogique. Elles seront des lieux importants de GPEC régionale.

132. Nous encouragerons la création de pôles de recherche, développement et formation dans les domaines du numérique et de l’action sociale, domaines qui vont se développer.

133. Nous souhaitons que la formation sorte au maximum des marchés publics et utiliserons donc la nouvelle possibilité offerte par le droit européen : le SIEG (Service d’Intérêt Economique Général), traduit en droit français en Service Public Régional de Formation, nous permettra de faire des mandatements pour 5 ans aux organismes de formation, pour les publics les plus fragiles (qui demandent de la stabilité et du suivi à long terme).

134. L’accord avec Pôle Emploi pour l’achat de formations collectives est un pas important pour une simplification vis-à-vis des demandeurs d’emploi. Nous renforcerons la coordination avec les OPCA – Organismes Paritaires qui gèrent les fonds de la formation continue des salariés) pour simplifier la continuité des parcours de formation tout au long de la vie. La création du Compte Personnel de Formation, attaché à la personne quel que soit son statut ou son employeur et non plus à l’entreprise, est une avancée pour permettre la formation tout au long de la vie. La coordination de la Région avec les OPCA, déjà formalisée avec 13 d’entre eux, en est d’autant plus importante.


Créer un pôle public de formation tout au long de la vie

135. Les plateaux techniques coûtent cher et sont rares. Nous négocierons avec l’Etat la mutualisation des plateaux techniques des GRETA (Education nationale) et de l’AFPA (organismes de formation pour adultes) entre les formations initiales, l’apprentissage et la formation continue, et constituerons un pôle public de formation tout au long de la vie permettant une plus grande proximité en matière de formation.

136. Nous multiplierons les passerelles entre les lycées professionnels et les centres de formation d’apprentis.


Pour que l’argent ne soit plus un frein à l’accès à une formation qualifiante

137. Nous majorerons la rémunération du stagiaire de la formation professionnelle en fonction des charges de la famille (+ 220 € à partir du second enfant).

138. Nous inciterons les organismes de formation avec lesquels nous travaillons à se fédérer pour proposer des possibilités d’hébergement et de restauration, qui pourront intégrer le coût de la formation rémunérée par la Région.


Se former et acquérir des savoirs dans le respect du vivant

139. Dans la mesure du possible, nous intègrerons l’éducation au respect du vivant dans les formations agricoles : dans les formations « élevage », généraliser l’enseignement sur la sensibilité animale, l’éthologie et les besoins spécifiques des espèces concernées, ainsi que sur les attentes sociétales en matière de bien-être animal. Dans les formations « grandes cultures », prévoir un module sur la production de protéines végétales pour la consommation humaine.

140. Dans les formations hôtelières financées par la Région, nous intègrerons des modules de formation à l’alimentation végétale, à l’impact climatique et sanitaire de l’alimentation, à la traçabilité des aliments, et à la réduction des déchets dans la restauration.

141. Dans toutes les formations qui destinent les personnes à travailler directement ou indirectement avec des animaux, nous prévoirons des modules de formation à la sensibilité animale et aux besoins spécifiques des espèces concernées.

142. Nous contribuerons à la réduction effective de l’utilisation des animaux dans les procédures expérimentales en :
refusant tout soutien financier aux projets de recherche faisant appel à l’expérimentation animale, quelle que soit la finalité de la recherche.
initiant des appels à projets visant à remplacer l’animal dans les procédures expérimentales.
soutenant l’organisation de colloques permettant les échanges entre les scientifiques spécialisés sur les méthodes substitutives, ainsi que des sessions de formation continue.


ZOOM SUR LES FORMATIONS SANITAIRES ET SOCIALES


La Région a pris en main cette compétence auparavant de l’Etat. Depuis 2004, les élus régionaux écologistes ont institué la gratuité des formations de niveau V (aide-soignant-es, auxiliaires de vie sociale…) et implanté une section de formation d’aide-soignant-es en lycée public dans chacun des 5 départements. Face à la vitalité démographique des Pays de la Loire et au vieillissement de la population, les formations sanitaires et sociales représentent des filières stratégiques.

143. Nous soutiendrons la création d’un observatoire régional pour une meilleure adéquation entre offre (emplois) et demande (nombre de places dans les formations).

144. Après la fusion des diplômes de DEAVS (Diplôme d’Etat d’Auxiliaire de Vie Sociale dont la scolarité est gratuite) et d’AMP (Aide Médico-Psychologique, non pris en charge par la Région pour le moment), nous renégocierons la gratuité des formations de niveau V avec les organismes de formation.

145. Nous revaloriserons les bourses des formations sanitaires et sociales et étendrons l’échelon 0 (pas de rémunération, mais donne droit à beaucoup d’exonérations).

146. Nous remettrons à niveau les locaux d’enseignement, en favorisant la mutualisation avec différents organismes sur le territoire (ex IFSI-école d’infirmiers- Croix Rouge du Mans).

147. Concernant les services de la Région, nous rattacherons les formations sanitaires et sociales soit aux formations initiales, soit à la formation continue, ces deux domaines devant, d’ailleurs, être mieux liés entre eux.

148. La refonte en cours des métiers du social provoque beaucoup de débats et d’interrogations. Pour nous, la nécessaire collaboration entre les différents intervenants du social (y compris avec des troncs commun de formation) et la connaissance réciproque de leurs métiers ne doit pas aboutir à un nivellement par le bas. Nous continuerons au contraire à favoriser l’alternance dans la formation, développer la recherche-action et les projets innovants dans les territoires les plus en difficulté.


POURSUIVRE LE SOUTIEN À L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR


De manière très volontaire et au-delà de ce qu’exigeaient ses compétences, la Région s’est beaucoup impliquée pour soutenir l’enseignement supérieur et la vie étudiante. Il importe de poursuivre cet investissement, à la fois pour offrir de bonnes conditions d’études aux étudiant-es, mais aussi pour les accompagner dans leurs parcours.

150. Nous poursuivrons le soutien à la rénovation des locaux universitaires pour améliorer les conditions d’études des jeunes.

151. Le dispositif régional d’orientation intègrera aussi les filières universitaires pour un accès le plus complet possible au bouquet de voie de formations dans la Région.

152. Nous poursuivrons les soutiens aux étudiants : bourses, séjour en Europe, soutien aux travaux de thèse, etc.

153. Nous pèserons pour que le nouveau pôle universitaire Bretagne-Pays de la Loire construise une offre de formation équilibrée sur les territoires et fonctionne de manière transparente et démocratique.


RAPPROCHER LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET LES CITOYEN-NES


Devant la course au progrès technologique actuel, motivée par un appétit de rentabilité de court terme, nous voulons que la Région encourage une recherche au service de l’amélioration de notre qualité de vie, d’un mieux-vivre ensemble. Une recherche d’intérêt général qui doit pouvoir être nourrie et questionnée par les citoyens eux-mêmes.

154. Nous financerons des projets de recherche reposant sur une collaboration étroite entre laboratoires et citoyens, sur des sujets d’intérêt général et de transition écologique et sociale.

155. Nous créerons un comité d’éthique citoyen, qui participera à la sélection des projets soutenus par la Région, pour que les financements publics soutiennent des projets à l’intérêt sociétal reconnu.

156. Nous organiserons 2 grands débats par an sur des grandes questions scientifiques : OGM, nanoparticules, alimentation, pollutions, etc…

157. Nous mettrons en œuvre une plate-forme d’accès libre aux travaux de recherche menés sur le territoire.

158. Nous poursuivrons le soutien à la diffusion de la culture scientifique et technique, pour une large diffusion des connaissances scientifiques.

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