Traction animale

Pour lutter contre le dérèglement climatique, se préparer à la fin de l’utilisation du pétrole, valorisons la traction animale dans les exploitations agricoles et forestières.
De plus cela économisera la réalisation de pistes dans les montagnes, fournira du travail non délocalisable et un débouché à l’élevage des chevaux.

3 réponses à “Traction animale”

  1. complètement d’accord !
    Il y a aussi la piste des huiles végétales (colza, lin…) que les agriculteurs peuvent cultiver eux-mêmes et dont les résidus pression sont un complément alimentaire pour le bétail qui remplace avantageusement le soja OGM importé d’Amérique du sud !

  2. bien d’accord, j’avais prévu une participation sur la nécessaire réhabilitation de la traction animale, donc je complète ici : il faut expérimenter, y compris dans des communes péri-urbaines où des animaux peuvent être employés pour l’entretien des espaces verts, la collecte des déchets, certains chantiers, des promenades enfants – seniors, etc… ce qui entraine réduction des GES, emploi local, convivialité, retour de races anciennes de chevaux ou ânes de trait, associé à l’innovation pour avoir des machines moins lourdes et plus efficaces et aux notions de bien-être animal.

  3. Il existe en Ariège une association : PROMATA, qui fait un excellent travail pour mettre au point du matériel moderne pour la traction animale. La future majorité de la Région, qui espérons sera écologique et au service des hommes et des territoires, devra les accompagner dans leur démarche exemplaire. On peut trouver facilement le site de PROMATA sur un moteur de recherche.

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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