Soutenir la recherche développement et leurs équipes

Une politique de développement économique responsable nécessite un fort soutien au secteur de la recherche.

Le nombre de postes de chercheurs au CNRS comme à l’université diminue rapidement depuis plusieurs années en France. Le gouvernement actuel autorise les établissements universitaires à “ouvrir des postes”… mais avec des moyens insuffisants qui, souvent, ne le permettent pas.
Selon les collectifs et représentants des chercheurs, certaines structures de la région LRMP disposent de quoi payer l’eau et l’électricité, mais pas des moyens de travailler.

La recherche sur la mer, le littoral et les lagunes a besoin d’être soutenu et le sera. A Sète, par exemple, la station de biologie marine fit, en 2014, l’objet d’interrogations pendant des semaines. La Région, sollicitée par l’université Montpellier 2 qui gère la station, refusait de financer les travaux nécessaires à la mise aux normes du bâtiment. Le directeur de la station, interrogé par la presse régionale, admettait craindre que l’abandon de la station ne soit envisagé, ainsi que la fusion des unités marines vers le centre halieutique des Salins, où se trouvent déjà l’Ifremer et l’IRD (Institut de recherche pour le développement).

Outre le maintien des postes au niveau de 2010, la recherche nécessite un meilleur financement des laboratoires. La région y attachera une grande attention.

Une réponse à “Soutenir la recherche développement et leurs équipes”

  1. Idem pour le CEA (commissariat aux énergies atomiques et alternatives).
    Nous avons de grands besoins pour passer les sauts technologiques (stockage de l’électricité, gestion intelligente des déchets nucléaires, rendement des ENR, etc.) nécessaire à la réussite d’une utile (pour l’environnement, et les citoyens) transition énergétique.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

Je soutiens l'initiative

Mon prénom 

Mon nom

Je peux préciser qui je suis

Mon email

La dynamique citoyenne pour un projet en commun est soutenue par