Sortie rapide du nucléaire

Programmer la fermeture de la centrale nucléaire de Golfech en favorisant, initiant et mettant en place parallèlement un programme intensif d’énergies renouvelables dans chaque collectivité locales adapté aux possibilités locales.

En aidant fortement à la réalisation des éco hameaux et autres regroupement d’habitation à basse énergie. Ce pouvoir de distribution et production des énergies renouvelables, doit être transféré a la région accompagne de la création d’agences locales de l’énergie qui étudieront les possibilités en lien direct avec les citoyens, associations etc ….

4 réponses à “Sortie rapide du nucléaire”

  1. Aider à développer tout projet alternatif sous forme de scop ou scic dans la production locale d’énergie renouvelable en fonction de son territoire ( montagne, zone à fort vent, bord de mer….)
    Fermons Golfech et les autres centrales.
    Décentralisons le réseau de production énergétique tout en le rendant plus démocratique.

  2. Même si Golfech n’est sans doute pas danas les comptences de la region oïl faut tout faire la rendre inutile via les ENR (public et privé) ET les economies d’energie. Ce point doit être partagé clairement epar toutes les composantes de la liste y compris le PC … qui ne peut rester sur ses positions passéistes

    • Les communistes (j’en suis) ne sont pas des « nucléairophobes » indécrottables, pas plus que leurs programmes est « passéiste » …
      Par contre, ils comptent dans leurs rangs pas mal de compétences, y compris en matière d’énergie, et se sont, certes des révolutionnaires, mais également des pragmatiques !
      Les lois de la physique sont incontournables : on ne peut amalgamer des potentialité de puissances installables renouvelables avec des quantités potentiellement produites et compatibles (pour l’électrique) avec la consommation (jour et nuit, été et hiver).
      Sobriété et efficience, développement des production issues du renouvelable, accroissement de la recherche, (pour palier au intermittences, etc) et surtout un service public garantissant des production fiable, sure, accessible en coût avec péréquation tarifaire tout en tendant à réduire le inégalités sociale et économiques.
      Effectivement pas un communiste ne peut être favorable à un scénario type « Négawatt » (réduisant pas 3 la consommation) !
      Par contre un consensus est possible sur un objectif type « Négatep » plus réaliste et conciliable avec les réductions de précarité énergétique, les relocalisation de production utile, l’indépendance nationale, etc.
      Sortir du Nucléaire pourquoi pas, mais pas n’importe comment ; on en voit les dégâts en Allemagne (coût, pollution, etc.).
      L’énergie ce n’est pas principalement l’électricité (certes vecteur d’avenir) mais c’est aussi pétrole, charbon, gaz, etc …
      Nous sommes fortement déficitaire en énergie : 96% du déficit
      de notre balance commerciale ! C’est un enjeux majeur !
      Nous sommes aussi d’accord pour agir et je pense dans un sens qui peut faire consensus vers l’intérêt collectif et l’émancipation de chacun.
      Favorable ou pas au nucléaire ; que fait-on de nos stocks d’U 238 ? Vous les prenez dans votre jardin ?
      Les Cocos ont des propositions, ils sont prêt à en débattre, y compris sur ces sujets ! En attendant, construisons, évitons de nous empailler dogmatiquement et serrons les coude sur l’essentiel que nous partageons : être utile pour notre région !!!

  3. Attention aux propositions trop simplistes ou faciles
    Il est essentiel de se souvenir que l’unicité du réseau est aussi le garant de la péréquation tarifaire, toutes les régions n’ont pas le même potentiel énergétique
    D’autre part avant de fermer quoique se soit, assurons nous du potentiel
    énergétique, pour garantir la fourniture jour et nuit et chaud et froid. Et je me bat aussi pour le développement industriel qui aura des besoins énergétiques, en sachant qu’aujourd’hui, le processus « démocratique » fait qu’il faut de 10 à 12 ans pour réaliser un projet

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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