Organiser un partage équitable du travail, par la réduction du temps de travail et des revenus superflus

Nous pouvons, et nous devons, créer beaucoup d’emplois par la transformation écologique de l’économie: transition énergétique, économies d’énergie, logement, transports, urbanisme, services à la personne, …

Mais nous n’éviterons pas la disparition de nombreux emplois à cause d’une croissance atone, de la mondialisation, de l’automatisation de la production, de l’abandon d’activités nocives pour l’environnement, de la réduction du gaspillage …

Il est donc nécessaire d’organiser un partage équitable du travail, par la réduction du temps de travail et des revenus superflus. Travaillons moins pour travailler tous, et pour tuer ce chômage qui sape notre société. Partageons équitablement le travail, au lieu de le partager entre ceux qui n’en ont pas et ceux qui en ont trop.

Au niveau régional, quels mécanismes mettre en place pour favoriser et aider les entreprises qui développeront cette approche?

2 réponses à “Organiser un partage équitable du travail, par la réduction du temps de travail et des revenus superflus”

  1. Dans un but écologique et économique il faut réduire au minimum, la distance entre le lieu d’habitation et le lieu de travail, en favorisant quand c’est possible l’échange de poste notamment dans les fonctions territoriales.
    Les formations financées sont fonctions de l’âge, des besoins et du copinage, il faut que les formations soient ouverts à tous en fonction de sa motivation et des offres d’emploi potentiel
    Mon cas concret : cela fait 5 ans que je souhaite passer le cap petite enfance j’ai plus de 40 ans, le pôle emploi refuse de me le financé pas de débouché ( ce qui est totalement faux) prétexte du département ou de la région j’ai plus de 26 ans !
    De même que les emplois d’avenir qui sont plafonnés dans l’âge, le résultat c’est que le chômage des parents célibataires n’a fait qu’augmenter
    Instaurer le salaire minimum pour les personnes qui s’engagent dans la société, bénévolat …

  2. Partager le travail pour du travail pour tous et également partager les revenus du travail !
    Inciter (ce n’est pas encore dans nos lois …) a un écart maxi entre les salaires mini et maxi.
    Faire contribuer autant les revenus du capital que ceux des salaires.
    Partager le travail : oui mais aussi les gains de productivité que nous permettent nos technologies.

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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