Moins de vacataires dans les ecoles

Il faudrait supprimer des postes où trop d’agents sont présents et ne servent à rien et essayer d’embaucher plus de vacataires mais plus en vacation car beaucoup font 35h mais en tant vacataire. Les embaucher les responsabiliserait et ils auraient plus de reconnaissance exemple dans les écoles.

2 réponses à “Moins de vacataires dans les ecoles”

  1. Ces trois reprennent la vieille regaine libérale « trop d’agents, trop de fainéants » rabachée à longueur de journée par la propagande patronale et ses relais médiatiques, puis ensuite il est proposé de les embaucher et de les responsabiliser. De qui et quoi parle t-on? De quel personnel?
    Il y a ce qu’on appelle un statut de la fonction publique même territoriale, un contrat de travail avec des missions, des horaires, des objectifs, des modes d’évaluation en équipe et avec la hiérarchie. Tout cela existe déjà
    C’ est donc flou et incohérent.

    • Tout à fait d’accord apportée à cette contribution plus que douteuse.
      La précarité dans l’Éducation nationale est une réalité pour des milliers des salariés de ce ministère depuis des années, que ce soit au niveau du professorat que des personnels territoriaux embauchés par les mairies.
      Les contrats avenirs, contrat emploi solidarité, maitres auxiliaires, etc… ont fait le bonheur des collectivités et de l’état employeur depuis des années. Ne parlons pas des personnels étrangers souvent non déclarés..
      Nous devons œuvré au niveau régional pour un statut garantissant le droit des salariés de ce secteur, et un véritable service public d’accueil de qualité pour nos enfants

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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