Gestion de l’eau

Le Conseil Régional doit oeuvrer à la mise en place d’une réelle politique de la gestion de l’eau en s’extrayant de la logique des lobbies qui prescrivent toujours plus de barrages et de retenues.
Question à lier avec la question agricole bien évidemment avec la promotion de cultures économes en eau.

Le projet du barrage de l’Ousse (65) doit être stoppé.

2 réponses à “Gestion de l’eau”

  1. Améliorer la qualité de l’eau et économiser la ressource en appliquant les principes « pollueur-payeur » et « gaspilleur-payeur ».
    Lancer un programme d’accompagnement des agriculteurs pour la réduction des consommations d’eau et de phytosanitaires.
    Réduire les irrigations et renoncer aux projets de barrages inutiles.

  2. La gestion quantitative de la ressource en eau est évidemment un enjeu majeur du projet agricole régional. La région doit raisonner son intervention à 2 niveaux:
    S ‘ agissant de la création de nouvelles retenues ( qui peuvent être simplement collinaires sans induire des investissements coûteux) il s’ agit de conditionner le projet à la réalisation d’ une étude d’ impact associant la consultation de la société civile , et, dans le cas où le rapport serait positif de rendre obligatoire les pratiques culturales bio ou agro environnementales….la moindre des choses pour préserver un bien commun lorsqu’ on bénéficie de financements publics.
    Par ailleurs la Région doit engager un grand projet de restitution de matière organique dans les sols pour augmenter la capacité de rétention en eau des sols, une mesure préventive indispensable pour augmenter la résilience de l’ agriculture face au changement climatique.
    La Région peut ainsi prioriser son soutien aux initiatives de co compostage de déchets verts et de déchets organiques

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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