Europe et sortie de l’Euro

En 2005 les électeurs de MP ont largement dit NON au référendum sur le TCE.
La Grèce subit les conséquences d’une politique dévastatrice de l’Eurogroupe et elle n’est pas la seule.
Annoncer que la Région doit se préparer, dans ce contexte à sortir de l’Euro est un devoir.
Refuser de s’y préparer est une stratégie de renoncement à un combat contre la finance.
TSIPRAS n’a pas eu le temps de préparer son pays à cette sortie. Je me garde bien de le blâmer. Par contre nous avons le temps de nous y préparer contrairement à lui. Faisons le!

4 réponses à “Europe et sortie de l’Euro”

  1. C’est folie que de penser que la sortie de l’euro est LA solution !
    Ce serait catastrophique en termes économiques et pour les citoyen-nes.
    C’est le crédo du Front national. Ne soyons pas aussi inconséquent-es que ceux qui, par populisme, veulent tourner le dos à l’Europe

  2. C’est de la folie que de persister à vouloir rester dans l’UE.
    Nos problèmes ne datent pas d’hier mais de 40ans quand les politiciens ont commencer à vouloir un Franc fort et qu’il ne fallait surtout pas le dévaluer.
    En 82 et 83 on a été obliger de dévaluer et cela avait donné une bouffée d’oxygène à la France parce qu’on avait pas encore l’Euro.
    On sait très bien qu’on ne peu pas réorienter la politique de l’UE et continuer et persister à vouloir rester dans cette Europe est une folie et la moindre des choses est de prévoir un plan B pour une éventuelle sortie de cette pieuvre qu’est l’UE sinon on finira comme la Grèce.

  3. J’avais oublié de noter la liste des arguments des Européens Béat pour contrer les Eurosceptiques :
    1)Populiste,
    2)Raciste,
    3)Extrême droite.

    Oui et je le revendique je suis de gauche la vraie gauche donc je suis populiste, et faire une politique pour que le peuple aille mieux il me semble que ce n’est pas une insulte.

    Les personnes qui défendent l’Europe sont soit des nantis soit député Européen donc des nantis.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

Je soutiens l'initiative

Mon prénom 

Mon nom

Je peux préciser qui je suis

Mon email

La dynamique citoyenne pour un projet en commun est soutenue par