Dans un environnement riche de ressources naturelles renouvelables, agir durablement contre la pauvreté doit être une priorité.

Dans un contexte où certains de nos départements sont les plus défavorisés de France, où il a été mis en lumière que les politiques sociales actuelles engendraient la précarité et la pauvreté, la lutte contre la pauvreté doit être un fil conducteur pour toutes les actions de la région, notamment en matière économique, mais aussi dans l’aménagement du territoire, facteur d’inégalités.

 

Un politique écologiste doit et peut répondre à cette nécessité. Le développement de l’habitat écologique, l’autoconstruction, en matériaux écologiques et économiques, permettant de réduire la facture énergétique, notamment, doit être encouragé. Nous devons aussi faire de la pédagogie avec la « démonstration par la preuve », de nombreux exemples sont à notre porté dans cette nouvelle grande région. Des solutions d’accès au foncier pour les plus modestes devront être soutenues.

 

La création d’emplois, dans les entreprises de demain, devra favoriser l’émergence de société coopérative ouvrière (SCOP), ou Société Coopérative d’Intérêt Collectif (SCIC), où les populations les plus pauvres devront être associées dès l’émergence de projets, condition aussi de leur réinsertion, mais aussi de leur adhésion aux projets (trouver les solutions pour et avec eux).

 

Comment valoriser l’engagement citoyen de personnes nombreuses dans les associations, et elles mêmes concernées par la pauvreté, notamment celles qui relayent les manques de notre société, solidarité, social, jeunesse, aide alimentaire, environnement (agriculture y compris), culture, et toutes autres missions dits d’intérêt général.

 

Il faut que l’écologie serve la cause des plus démunis, pour que les plus démunis puissent agir pour l’écologie et retrouver du pouvoir d’achat, du bien être aussi.
Un écologiste pauvre et optimiste 😉

Une réponse à “Dans un environnement riche de ressources naturelles renouvelables, agir durablement contre la pauvreté doit être une priorité.”

  1. beaucoup d’espoir dans cette alliance qui est dans mon cœur depuis toujours, consciente de l’urgence écologique comme de l’urgence sociale.
    peut-être ne faudrait-il pas oublier de souligner la nécessité du contrôle des associations qui « se penchent sur la pauvreté » mais deviennent du coup une économie parallèle, où les droits du travail sont bafoués (contrats « aidés », travail non reconnu comme tel, licenciements violents (du jour au lendemain)..etc… , et où, assez récemment les dirigeants ont obtenu de faire monter de 5000 euros/mois à 7000 euros/mois le plafond de leurs salaires… hum… alors que le monde de la « récup » fait de plus en plus d’argent…

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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