Pourtant, l’inquiétude est grande chez les personnels des collectivités territoriales, chez les salariés du secteur public et du secteur privé avec les conséquences de la fusion programmée des deux régions.

Cette fusion est pourtant synonyme d’inégalité et de concurrence entre les territoires, de restriction de la dépense publique utile aux populations, et de réduction des emplois territoriaux.

Cette réforme, décidée dans un bureau parisien, ne répond en rien aux attentes des Français et à la nécessaire réforme de nos institutions et nous l’avons d’ailleurs rejetée au Conseil régional d’Auvergne à travers l’adoption d’un vœu en juin 2014.

Communiqué du 18 novembre 2014 des 16 élus FdG et EELV du Conseil régional d'Auvergne