Réponse à l’AFMD, Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation
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Voici mes réponses aux questions de l’AFMD.

En faveur des Fondations de mémoire issues de la Seconde Guerre mondiale

Comme je l’ai dit en préambule il en va de nos sociétés (à l’échelle de notre planète) d’effectuer leurs devoirs de mémoire. C’est pour cela qu’il me parait nécessaire d’assurer la pérennité de vos fondations et de favoriser leur travail collectif, tout en respectant leurs spécificités. Cette pérennisation passe bien sur par le maintien des subventions allouées mais aussi par la continuité du travail en partenariat réalisé avec l’éducation nationale et les collectivités territoriales.

Journées Nationales du « Souvenir de la Déportation » et du 8 mai.

Il me paraît important de maintenir les journées commémoratives nationales, pas seulement les deux que vous citez mais aussi le 19 mars, le 14 juillet ou encore le 11 novembre. Ces journées nous rappellent que des personnes ont combattu, ont été torturées et sont mortes pour que nous ayons la possibilité de conserver les liberté de pensées, d’expression et bien d’autre encore.

Reconnaissance de l’utilité et du travail réalisé par l’AFMD et de la FMD

Je pense que vous aurez compris que je suis un ferveur défenseur du devoir de mémoire. Ainsi vous pouvez être assurez que je louerai et soutiendrai le travail réalisé par toutes les associations permettant ce devoir (et la vôtre en particulier). Cette assurance continuera, bien sûr, à s’exprimer si je suis élu député.