Le 11 janvier 2015, les Français se sont rassemblés pour défendre les valeurs de la République. Sachons nous mobiliser pour des causes humanistes qui transcendent nos appartenances partisanes.

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Tribune Ouest-France

Voici ma tribune publiée dans le journal Ouest-France : Depuis 1974 et la candidature de René Dumont à l’élection présidentielle, l’écologie a toujours été présente lors de cette séquence la plus importante de la 5ème république. Cette année, suite au ralliement de Yannick Jadot et d’EELV à la candidature de Benoit Hamon sur la base d’un programme écolo, l’écologie a, paradoxalement, disparue complétement du débat de la présidentielle. Le débat politique ne peux se passer de l’écologie et de l’écologie politique car c’est la seule alternative aux maux que notre société traverse actuellement, tant au niveau démocratique, environnementale, sociale, sociétale, ou encore économique. Ma candidature s’inscrit donc dans cette démarche de porter les propositions « écolo » : Revenu Universel d’Existence, disparition du diesel et du nucléaire comme source d’énergie principale, développement de l’utilisation de source d’énergie renouvelable, mixte énergétique. D’autres luttes me touchent particulièrement, comme la lutte contre les discriminations dont sont victimes les LGB, celle contre les nombreuses violences que subissent les femmes encore aujourd’hui. Un accueil respectueux et digne de la terre d’asile, de la patrie des « droits de l’Homme » qu’est la France. 1 / Quelle serait votre première proposition de loi si vous êtes élu ? Ma première proposition de loi visera à taxer le diesel au même taux que l’essence. Potentiellement responsable du décès prématurés de 42 000 personnes par an, c’est pour des raisons de santé publique qu’il faut mettre fin à cet avantage. 2/ Êtes-vous pour ou contre la réserve parlementaire et comment l’utiliserez-vous ? Il faut en effet plus de clarification sur la réserve parlementaire. Si je suis élu, je propose qu’un jury citoyen décide de la répartition de cette réserve. Ce jury citoyen sera composé de personnes engagées individuellement et/ou associativement. Les sollicitations de jury se feront par appel à projet. 3/ Comment défendre l’industrie navale ? Premièrement en demandant à l’État d’user de son droit de préemption pour le rachat des chantiers de l’atlantique et réaliser une nationalisation temporaire. Cela laissera le temps d’envisager un actionnariat multiple entre l’État, les collectivités territoriales (Région des Pays de Loire, Département de Loire Atlantique, CARENE, Ville de Saint-Nazaire, etc.), un groupe industriel ainsi qu’un groupe citoyen et salarial. Ainsi l’outil serait dans les mains de ceux qui l’utilisent quotidiennement.

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Une France terre d’accueil

Depuis trente ans, le discours faisant de l'immigré le bouc émissaire de la crise de l'emploi, de la crise sociale, de la “crise des banlieues”, des déficits des budgets sociaux ou des comptes de l’État, est passé subrepticement de l'extrême droite jusqu'au sommet de l’État. Depuis 2002, nous assistons à une avalanche de textes répressifs et de pratiques attentatoires aux droits humains : objectifs chiffrés d'expulsions, accroissement du contrôle social et politique, développements et croisements des fichiers, y compris biométriques… Le discours politique reflète l'hypocrisie du système qui profite largement d'une main d'œuvre “illégale” et reconnaît en avoir besoin dans des secteurs entiers. Le projet écologiste réaffirme une vision mondiale de la question – liée aux déséquilibres économiques mondiaux et déjà aux changements climatiques – et prône une politique d'immigration ouverte et humaniste permettant une autre approche des rapports Nord-Sud que la guerre aux migrants que mène actuellement l'Union européenne. Le “droit à la mobilité”, qui figure dans la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 (article 13), est un élément fondamental de la liberté de chaque être humain. Elle sera précédée d’une mesure d’apurement des situations créées ces dix dernières années. Si vous m’élisez comme votre député je m’engage à : Un processus en continu de régularisation : il convient de réaffirmer la nécessité de procéder en continu à la régularisation de la situation administrative des étranger-e-s présent-e-s sur notre territoire, de ne pas accepter l'arbitraire et les disparités de pratiques entre les Préfectures ; Le respect des droits fondamentaux des étrangers comme des nationaux, avec l’encadrement des contrôles d'identité et la fin de la mainmise du ministère de l'Intérieur sur les directions ministérielles concernant les étrangers (travail, visas, nationalité…) ; la dépénalisation du séjour irrégulier ; le caractère suspensif des recours pour toute décision relative au séjour ; la fermeture des prisons administratives que sont les centres de rétention et zones d'attente ; l’abrogation du délit de solidarité ; la lutte contre les filières mafieuses et toutes les formes d'exploitation de la précarité, en particulier des immigré-e-s. L'abrogation de la conditionnalité du versement des retraites des anciens travailleurs migrants ; Une réécriture du CESEDA, qui prévoit le rétablissement du droit de circulation avec l’unification des visas ; uniquement la délivrance de titres de résidents de longue durée (3 ans, 10 ans, puis permanent) renouvelables de plein droit ; la suppression des restrictions au droit à vivre en famille, à la vie privée et aux soins. La protection sur le long terme des mineurs isolés doit être garantie. La relance d'un vaste programme de formation continue pour les professionnels déjà en poste, pour les élus, les acteurs associatifs, les syndicats, les entreprises, pour inscrire systématiquement ce sujet et l'éthique des services publics dans les formations initiales en direction des trois fonctions publiques. L’application des conventions internationales signées par la France : convention de Genève sur le droit d'asile, convention européenne des droits de l’Homme, convention des droits de l'enfant… ; la ratification par la France de la convention de l'ONU sur les droits des travailleurs migrants et des membres de leur famille ; la mise en oeuvre d’une politique d’accueil des réfugiés qui respecte leurs droits et leur dignité ; retirer les clauses migratoires des accords bilatéraux. La Solidarité avec les Roms. Persécutés dans leurs pays d'origine et soumis à des réglementations discriminatoires bien qu’ils soient citoyens européens, les Roms ont en outre fait l'objet d'attaques particulièrement odieuses de la part du gouvernement français. L’expérience montre pourtant que des politiques organisées d'insertion et de fraternisation peuvent casser la spirale infernale de la misère, du logement désastreux et de l'exclusion de l'activité et de l'emploi. Face à cela, mise en place d'une politique nationale d'accueil des Roms avec cinq volets : hébergement, scolarisation des enfants, apprentissage du français, santé, accès au travail. Je porterai une proposition de loi favorisant l’accès à une citoyenneté de résidence et la facilitation de l'accès à la nationalité française, en particulier pour les personnes nées ou éduquées en France. Par une politique adaptée d'accueil et d'intégration (éducation, santé, apprentissage de la langue, logement, formation, etc.). La promotion de l'éducation à la citoyenneté et à la laïcité afin de combattre la xénophobie et le racisme.

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ecologistecitoyen-crpdl.fr

Levons-nous contre les violences faites aux femmes !

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eelv.fr

Les dangereuses orientations du gouvernement

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disturb.io

Douleurs, blessures, stress, les ouvriers de Tesla racontent : « tout ressemble au futur, sauf nous » (en anglais)

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Engagements

Pacte pour les logiciels libres

J'ai signé le pacte pour les logiciels libres :

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Une France démocratique

La participation du plus grand nombre est la condition d’une réponse aux défis écologiques. Comme l’énonce l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, les citoyens « ont droit de concourir personnellement » à la formation de la loi. La République doit donc s’attacher à redéfinir les processus décisionnels à tous les échelons dans une logique d’inclusion systématique de la population. Des outils participatifs et délibératifs (budgets participatifs, jurys citoyens, conférences de consensus) doivent être largement diffusés. La démocratie directe doit être enrichie (en articulant le cas échéant l’initiative référendaire populaire et des procédures de débat public) pour ne plus être un outil en faveur de telle ou telle décision politique mais bien pour l’intérêt commun. Si je suis élu je porterai une proposition de loi pour un référendum citoyen. C’est à dire qu’1 % des citoyens pourront réclamer un référendum. Après vérification de la constitutionnalité de la demande (pour veiller au respect des droits humains et environnementaux) et de sa cohérence par rapport aux compétences de l’échelon territorial concerné, s’ouvrira une seconde étape. Au cours de celle-ci, 5 % des citoyens devront se joindre à l’initiative dans un délai de quelques mois. Les assemblées concernées auront alors la possibilité de faire des contre-projets ou de modifier la loi. En l’absence d’un accord avec les organisateurs de l’initiative, dans la troisième étape, cette dernière sera soumise au vote. Pour s’imposer légalement, la proposition devra recueillir en sa faveur une majorité des votants et au moins 25 % des électeurs inscrits, la votation étant ouverte aux résidents étrangers. Parallèlement, devra être instauré un droit d’interpellation populaire qui ouvrira la possibilité à une fraction de la population de faire inscrire par pétition une question à l'ordre du jour des assemblées délibératives (du Conseil municipal à l'Assemblée nationale), comme cela existe déjà au niveau de l'Union européenne. Les actuelles Commissions du débat public devront être réformées et transformées en collèges de la participation citoyenne, autorité indépendante. Ils joueront un rôle transversal de garant de la participation du public aux processus décisionnels à toutes les échelles territoriales. Le pluralisme des médias doit être garanti. Il faut abroger la loi du 5 mars 2009 et restaurer au CSA ses prérogatives. Le mode de nomination et de désignation du CSA permettra d’assurer la représentativité de l’ensemble de la société, il sera ainsi au service du pluralisme. Une Haute Autorité citoyenne devra être chargée de coordonner les missions des différentes autorités administratives indépendantes (AAI). Le défenseur des droits devra être supprimé et les AAI qu'il remplaçait seront rétablies, en réformant leur mode de fonctionnement, notamment en associant les grandes associations. Le droit de saisine direct et gratuit de ces AAI par toute personne physique ou morale ou leur ayant droit sera garanti et systématisé. Ces institutions auront le droit (comme dans d’autres pays européens) de procéder à des injonctions à l’égard de l’administration et, dans certains cas, à l’égard des personnes morales de droit privé. Ces institutions verront leur financement garanti et pérennisé par une taxe spécifique.

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aveclecologie.fr

Faire une procuration

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eelv.fr

Retrait des États-Unis de l’Accord de Paris : une décision à rebours de l’urgence climatique

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disturb.io

Au Maroc, l’amour est un sport de combat

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Une industrie forte et respectueuse de l’environnement

Une révolution industrielle est en cours. Elle a bouleversé l’organisation du travail en entreprise et entraîné l’éclatement mondial de la production. Si, à Saint-Nazaire, la bonne santé et le dynamisme de nos industries de pointes font notre fierté, cela ne doit pas cacher qu'en France, tous les indicateurs signalent un déclin important de l’industrie : baisse du nombre d’emplois industriels, baisse de la part de l’industrie dans le PIB (12,4 % en 2014 contre 16,6 % en 2000). Cette désindustrialisation est marquée par une spécialisation en déclin, le choix de la compétitivité-prix poussant nos entreprises vers le moins-disant social (baisse des rémunérations, précarisation), la stagnation de nos efforts de recherche et développement (entre 2,1 % et 2,3 % du PIB), loin de ceux consentis dans d’autres pays. La France manque de PME/PMI de bonne taille et d’entreprises intermédiaires, qui sont des lieux d’innovation et d’adaptation. Jusqu'à présent, la stratégie des grands programmes de l’État a été de soutenir le développement d’entreprises publiques ou privées à partir de commandes régaliennes (le Rafale, l’EPR, etc.) qui – pour des raisons différentes – n’ont pas trouvé de marchés à l’étranger. Les programmes de coopération européenne (Airbus, Ariane) ont eu plus de succès, et c'est sans doute une des solutions vers lesquelles nous tourner, y compris sur le bassin nazairien. Si l’on ajoute à ces constats l’insuffisance du dialogue social et une fiscalité inadaptée aux enjeux écologiques, notre industrie nationale présente toutes les caractéristiques d’un « colosse aux pieds d’argile ». Pourtant, la réindustrialisation de notre territoire est une nécessité pour lutter à la fois contre le changement climatique, la mise en concurrence internationale de salarié.e.s aux conditions de vie très différentes et le dumping social et environnemental pratiqué par certains pays. Nous l'avons montré et démontré à Saint-Nazaire, en cherchant l'excellence dans ce que nous produisons, mais aussi en cherchant à diversifier l'offre pour aller vers la transition écologique de l'industrie, comme avec l’éolien offshore ou les recherches vers les énergies marines. Notre avenir industriel passe par une modernisation des entreprises, un effort de formation et d’innovation, et une évolution de notre appareil productif afin de l’adapter aux enjeux écologiques du XXIe siècle. Pour cela je défendrais : Les réseaux d’entreprises intermédiaires, l’innovation et les circuits courts, ainsi qu’une réinterrogation complète du maillage industriel français ; Un investissement dans les ressources locales existantes : savoir-faire, appareil productif, présence de services ; Une gestion foncière régionale de zones industrielles en déshérence pour les affecter à des projets locaux de revitalisation territoriale ; Un recours aux salarié.e.s : leur participation active au recensement des compétences disponibles et à la définition des objectifs, des évolutions de l’appareil de production et des formations nécessaires ; Une clarification des compétences sur les territoires et renforcer le développement régional ; Un soutien de la recherche et l’innovation, mais à travers d’autres dispositifs que le crédit d’impôt recherche (CIR). Nous l'avons vu récemment : des entreprises sont amenées à utiliser des produits dangereux car aucun autre produit de substitution n'existe sur le marché. La recherche est donc indispensable afin de trouver des solutions non dangereuses pour la population et l'environnement. Si vous m’élisez, je porterai une proposition de loi visant à développer la recherche et l’innovation afin que les procédés et produits utilisés dans l’industrie ne soit pas destructeur pour notre environnement et notamment pour la qualité de l’air.

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dailymotion.com

La transition écologique et solidaire : vous la voulez, nous la faisons !

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