Soutien Dominique Mérigot : EELVons le débat au delà de l’hypocrisie suicidaire

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Pourquoi voter Vincent BESSAT, première circonscription, et Dominique DUMAZEL, seconde circonscription du Cantal ?

Comment peut-on oser, aujourd’hui, continuer à fonder un programme politique sur la croissance économique et le redressement productif? Quelle voix s’élève aujourd’hui, sinon celle d’EELV, pour dénoncer comme seule alternative au libéralisme de la rigueur, le libéralisme re-sucé de la croissance. C’est une honte. Réfléchissez : à qui vont profiter les 230 millions d’euros destinés à l’improbable boum européen ? Comment croire à une telle supercherie ?

Le coeur du programme EELV s’appuie au contraire sur l’observation des sympômes patents produits par cette civilisation de l’autruche : dérèglement climatique, pollutions en tous genres augmentation de la pauvreté au profit de la minorité qui ravage la planète, et menace d’une catastrophe nucléaire qui polluera pour des milliers d’années notre beau Cantal. Et oui ! Sortons la tête de notre aile. Politique de l’autruche. On est si bien ici. Inconscience qui n’a d’égal que la volonté prédatrice de la minorité riche et au pouvoir…
Oui, le problème nucléaire est le plus puissant révélateur de notre inconscience suicidaire. En sortir est pour moi la priorité des priorités dans notre beau Cantal. Je n’ai pas peur du nucléaire. Je suis atterré qu’on n’ose toujours pas regarder les choses en face. Demain, irez-vous encore cueillir des champignons dans nos hêtraies splendides ? Pourrez-vous encore faire votre jardin mijoté à la sauce césium 137 ?

Sortir du nucléaire (et du tout pétrole) est pour moi le coeur du programme EELV, car il signifie la nécessité d’une réflexion sur notre boulimie énergétique, une véritable transition énergétique qui en annonce nécessairement une autre : transition économique vers une relocalisation, et surtout transition vers une façon de vivre ensemble respectueuse (des hommes et du vivant), solidaire, fraternelle. Peut-on m’aider à remplacer mon ballon électrique par des capteurs solaires et à installer mon éclairage en leds ? Oui, ces questions simples , soutenues par un gouvernement qui y croirait, serait un puissant levier pour une société qui chercherait vraiment le bonheur de vivre. Cette exigence citoyenne pour un bonheur aujourd’hui faisable commence par le refus de l’innomable : une planète radioactive. Le reste suivra. Un peu de courage que diable !

Dominique MERIGOT, psychologue, maire-adjoint de Brezons (circonscription de Saint-Flour, membre du bureau de EELV et de « Sortir du nucléaire 15″, réalisateur d’un diaporama sur la sortie du nucléaire en dix ans.

Soutien de Pierre-Jean L. : L’écologie ça ne suffit pas !

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Dans le Cantal, on a tous les atouts potentiels d’une belle nature, voire d’une croissance verte. Ici, la biodiversité, aucun risque ! Le changement climatique, c’est pour les autres, vu le niveau bas de notre thermomètre. Et puis on a la santé… Que demander de mieux, sinon une pseudo-autoroute, pour notre désenclavement. Y’a pas de soucis, et pourtant !

N’oublions pas que la pollution n’a pas forcément d’odeurs (la gestion des déchets sera traitée par ailleurs). L’eau de nos rivières, quand on n’est pas au régime sec…devenu trop fréquent, bien que limpide, est parfois de qualité médiocre. La protection de nos captages laisse encore à désirer. L’air pur de nos montagnes, porté par les vents rhodaniens, peut nous ramener trop d’ozone. Notre élevage pastoral réputé extensif n’économise pas les engrais chimiques, les antibiotiques et les pesticides que l’on retrouve aussi dans nos ruisseaux.

La production agroalimentaire Bio, ici, ne décolle pas ! Tout juste la moyenne nationale. Alors qu’elle est créatrice d’emplois. Pour approvisionner nos marchés et cantines scolaires, il nous faut encore user de circuits trop longs. Où sont les alternatives alimentaires pour nos troupeaux quand l’herbe vient à manquer, à cause des sécheresses à répétition et où sont (produites) les céréales pour notre consommation humaine ? Qui a pu déjà déguster de nos bons fromages au label AB ?

Est-on satisfait de nos trains TER, malgré le fort engagement de la Région et donc des contribuables que nous sommes ? Du local au national, bien des députés, nous font encore défaut pour impulser une vraie croissance qui ne peut être qu’écologique (dixit la Banque Mondiale qu’on ne peut taxer de gauchiste).

A-t-on bien réalisé que le Grenelle de l’Environnement mis en scène par l’UMP s’est finalement traduit par un enfumage (faute aussi aux décrets d’application inexistants). Voir ces camions (non surtaxés) qui sont toujours plus nombreux sur nos routes alors que l’on ferme nos gares. Que la France est le mauvais élève de l’Europe en matière de préservation des sols et de l’eau. Stop à la fuite en avant consumériste , productiviste et gaspilleuse. Anticipons l’inexorable dégringolade énergétique (on peut sortir progressivement du nucléaire sans émettre plus de Co²). « Les ennemis de la démocratie sont ceux qui remettent à plus tard les réponses aux enjeux et aux défis de l’Ecologie »

Heureusement , des hommes et femmes sont encore volontaires pour prêcher dans un pays vert qui ressemble encore à un désert.

L’autisme de nos électeurs encore bipolaires saura se guérir si l’on est un peu patient.

Encouragez-la par votre prochain vote législatif le 10 juin prochain !

Les 10 et 17 juin prochains, ne vous trompez pas de bulletin !

MHAN, AEI, Le Trèfle, … : attention à ces « écolos » qui poussent comme des champignons à chaque législative !

A chaque élection législative c’est la même chose : il y a sur chaque circonscription jusqu’à 5 candidats se revendiquant de l’écologie ! Vous connaissez bien « Europe Ecologie les Verts » (EELV) avec Duflot, Joly, Cohn-Bendit, Bové, Meirieu, Rivasi, … Mais qui sont les autres ?

Il y a une explication simple à cette abondance : le financement public des partis politiques est calculé en France à partir du nombre de voix réalisé aux élections législatives. La loi prévoit qu’un parti reçoit environ 1,68 € par an et par voix sur cinq ans (s’il a passé le seuil de 1% des voix dans 50 circonscriptions). Cela fait vite beaucoup d’argent. Par exemple, Le Trèfle a reçu près de 800 000 € depuis 2007 ! Vous connaissiez Le Trèfle ? Dur de dire ce qu’ils ont fait sur le terrain depuis 5 ans et comment ils dépensent cet argent public.

Contrairement à EELV, ces mouvements ne se présentent pas aux autres élections nationales et locales (à quelques exceptions près) car elles ne « rapportent » pas d’argent !
Contrairement à EELV, ils ne sont donc pas présents dans les conseils municipaux, généraux, régionaux et au parlement européen.
Contrairement à EELV, ils n’ont pas d’adhérents ou très peu, et ne font donc aucun travail de terrain.

Néanmoins, ils ont un point commun : ils s’affichent tous comme étant « ni de gauche ni de droite« .
Alors qu’en réalité leurs dirigeants et leurs alliances penchent toujours à droite, et parfois vraiment très à droite. Petite revue d’effectifs :

- Le MHAN et Le Trèfle : ils sont tous les deux alliés pour ces législatives avec le Parti Radical (Jean-Louis Borloo), partenaire de toujours de l’UMP. Les raisons peu glorieuses de cette alliance sont à lire dans la presse : http://www.rue89.com/rue89-presidentielle/2012/02/10/borloo-reconstitue-son-tresor-de-guerre-avec-des-ecolos-inconnus

- l’Alliance Ecologique Indépendante (AEI) co-fondée par le chanteur Francis Lalanne et Mr Governatori, ancien adhérent de l’UDF (le parti de Giscard d’Estaing !). En 2012 ce mouvement a sollicité Brigitte Bardot pour être candidate à la présidentielle, mais cette dernière a préféré soutenir Marine Le Pen… Le candidat de la 3ème circonscription de l’Isère était sous la bannière UMP aux dernières élections cantonales.

- Évoquons aussi CAP21, le mouvement créé par Corinne Lepage (ancienne ministre dans le gouvernement RPR d’Alain Juppé). Jusqu’en 2010, Cap21 faisait parti du MoDem de François Bayrou puis a soutenu François Hollande en 2012 en refusant de participer aux primaires de l’écologie organisées par EELV. Malgré quelques militants de terrains sincères, il est dur de suivre la stratégie politique fluctuante de ce petit mouvement.

Pour ce qui est d’Europe Ecologie les Verts, vous connaissez notre action et notre positionnement. Si nous rejetons l’idéologie productiviste, qu’elle soit de droite ou de gauche, nous faisons la différence entre ces deux « camps ». En effet, nous assumons clairement l’héritage de justice sociale et de solidarité conquis par les mouvements de la gauche traditionnelle contre la droite et les conservateurs. Pendant ces 5 années nous avons combattu sans relâche le projet de casse sociale et de régression démocratique mené par Nicolas Sarkozy. Ainsi, c’est avec les forces de la gauche traditionnelle que nous pouvons travailler, et ponctuellement, conclure des accords politiques et programmatique lorsqu’ils permettent de faire avancer le projet écologiste.

En votant pour les candidats Europe Ecologie les Verts, vous élirez des députés qui seront une force utile et constructive au sein de la nouvelle majorité parlementaire. Vous élirez des députés écologistes tenaces pour donner un cap clair au changement qu’a permis l’élection de François Hollande.

Les 10 et 17 juin prochains, ne vous trompez pas de bulletin !

Jean-Vincent Placé de passage à Massiac en soutien à Dominique Dumazel

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De passage en Auvergne, le sénateur Jean-Vincent Placé est passé par Massiac pour nous soutenir.

Il a bien sûr rappelé les objectifs des candidats d’Europe Ecologie Les Verts dans ces élections législatives et éclairé sur l’accord passé avec le PS pour palier à l’absence de proportionnelle et ainsi avoir un groupe de députés verts à l’Assemblée Nationale. Les écologistes veulent continuer à porter leurs thèmes de la lutte contre la crise écologique, il est donc indispensable de présenter des candidats autonomes pour que les électeurs puissent exprimer à la future majorité qu’ils veulent que nos solutions soient prises en compte

Il a évoqué les positions d’Alain Marleix en première ligne lors des discussions  de Nicolas Sarkozy sur l’immigration. Ses propos racistes à l’égard de Jean-Vincent Placé n’était pas un dérapage verbal mais bien sa part dans la stratégie de communication de son parti. Il fait partie de ceux à l’UMP qui ne trouve pas dérangeant de s’allier avec le FN.

Vous voici prévenus.

 

NON AU SAUPOUDRAGE DE L’ ECOLOGIE POUR SE DONNER BONNE CONSCIENCE ET PARCE QUE C’EST A LA MODE !

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Alors que tous les partis ou presque ajoutent un zest d’écologie dans leurs programmes sans changer pour autant de cap, les candidats d’EELV aux législatives ne sont pas des faussaires mais les vrais partisans d’une société nouvelle et pour cela ils rebattent l’ensemble des cartes ; environnement, économie, culture, éducation, égalité hommes/femmes, immigration, justice, santé et protection sociale…nos candidats voient le monde à travers les lunettes de l’écologie. C’est la vie en vert !

Le Cantal dont on dit souvent qu’il est enclavé n’est pas une Île au milieu de nulle part : avec ses spécificités comme celle de la ruralité, il ne saurait se tenir à l’écart d’évolutions importantes qui, s’il ne s’y prépare pas, pourraient représenter de véritables catastrophes pour notre département. Au contraire, s’il anticipe ces évolutions, s’il est en mesure de mettre en place des contre projets, s’il défend ses nombreuses ressources et richesses, il peut devenir un exemple du vivre ensemble dans un environnement exceptionnel et ressourçant.

Par exemple :

- Si l’écologie ne peut se résumer aux questions d’environnement, l’environnement tel que nous le concevons ne saurait s’envisager en dehors de l’écologie. La gestion des déchets ménagers (délicat problème du site de Branviel), la préservation de nos montagnes, plateaux, rivières, vallées, cirques, chemins de randonnée figurent au premier plan de nos préoccupations. Nous ne laisserons pas la narse de Nouvialle, le cirque de Mandailles aux mains d’entrepreneurs économiques et politiques qui veulent rentabiliser nos sites naturels en les faisant ressembler à de sinistres champs de manœuvre ou à de vastes parcs d’attraction où le consommateur est roi. De même, nous ne pouvons accepter que notre département se transforme en terrain d’aventure pour les randonnées de 4X4 et les courses de moto trial aux mains de conducteurs en recherche de sensations fortes et qui se moquent pas mal de ce qu’ils laissent derrière eux après leur passage ; du bruit, des chemins défoncés et abîmés, une nature polluée.

Est-ce cela notre ambition, faire parler de nous, en devenant le plus grand terrain de cross de France ? Or, il y a moyen de valoriser notre patrimoine tout en le préservant : par exemple, la commune de Brezons dont sa vallée est une des plus belles vallées en auge d’Europe, selon Haroun Tazieff, met actuellement en place, à l’initiative du maire adjoint EELV, un projet de mise en valeur de la vallée basée sur le ressourcement : chemins de randonnée, aménagements des cascades, communication, pour accueillir un tourisme à petite échelle, à taille humaine.

- La question du nucléaire ne saurait être éludée d’une part parce que le nord du département (Saint-Pierre) est directement concerné par la question des déchets de carrière d’uranium très toxiques et d’autre part, globalement, parce que l’abandon du nucléaire est la pièce maîtresse de la politique énergétique que nous proposons. Le gouvernement en place n’ira pas loin dans ce sens, nous le savons, sauf si les écologistes légitimés dans les élections législatives seront demain en mesure de faire suffisamment pression. Il faut avoir conscience que nous mettons en péril actuellement l’avenir de nos enfants et petits enfants et nous débarrasser du nucléaire. Le nucléaire est tout simplement contraire à la vie, il appelle la mort totale de toute civilisation.

- Notre département est riche de son agriculture mais c’est une agriculture qui doit évoluer vers des pratiques plus respectueuses de la nature. Parce que nous plaidons pour une alimentation saine et la plus localisée possible, nous nous engageons à soutenir les initiatives de producteurs biologiques que ce soit dans l’agriculture, l’élevage et le maraîchage…

- Nous sommes le seul parti à ne pas succomber aux sirènes de la croissance ! Nous ne croyons pas au redressement productif car nous pensons que la croissance telle qu’elle est envisagée aujourd’hui est un modèle qui repose sur la spéculation, les profits des actionnaires, les inégalités et la fuite en avant en matière d’exploitation des ressources naturelles. Nous plaidons pour une relocalisation de l’économie, son soutien par la recherche et le développement des NTIC1, et bien sûr le développement des énergies renouvelables.

- Que dire des services publics, de l’accès à la santé, de la mobilité dans notre département si ce n’est que ces aspects sont désastreux ! Des choix gravissimes ont été faits dans la dernière décennie qui conduisent à l’isolement des habitants, en particulier les plus âgés et les plus vulnérables.

- Enfin, bien que cette énumération mériterait encore des développements, je voudrais terminer sur la culture, les cultures, et, le vivre ensemble. Notre département a cette particularité de se situer dans l’Occitanie et ici et là, on danse, on joue de la musique, et on parle « patouech » ! Il ne s’agit pas pour EELV de rester dans la nostalgie du passé, mais au contraire, de nous tourner vers le développement et la rencontre des cultures d’ici et d’ailleurs. La culture est un lien précieux entre les Hommes car elle participe à la tolérance et à l’enrichissement de chacun. « Toute culture naît du mélange, de la rencontre, des chocs. A l’inverse, c’est de l’isolement que meurent les civilisations. 2» Nous voulons une culture riche de ces diversités et accessible à toutes et à tous.

 

Parce que nous ne saupoudrons pas l’écologie dans notre programme mais que, de fond en comble, c’est tout notre projet qui est écologique, qu’il faut voter Vincent Bessat sur la circonscription d’Aurillac et Dominique Dumazel sur la deuxième circonscription aux élections législatives. Chacun à leur façon, avec leur expérience et leur personnalité défendent l’idée d’une autre société avec ce slogan qui nous est cher : « VIVRE MIEUX».

Olivia Guéroult

Secrétaire Départementale Europe Ecologie les Verts

1 NTIC ; nouvelles technologies de l’information et de la communication

2 Octavio Paz

Doux : la pomme pourrie qui tombe de l’arbre

Le dépôt de bilan du groupe DOUX est une catastrophe sociale de premier plan. La fermeture de cette entreprise va entrainer la suppression de plus 3400 emplois salariés et sonne le glas de 700 éleveurs. Elle est la démonstration évidente de l’absurdité du modèle agro-industriel soutenu à bout de bras par des subventions publiques. Depuis 15 ans, le groupe DOUX a fonctionné sous perfusion d’aides publiques en engrangeant plus d’un milliard d’euros d’aides européennes, ce qui représente l’équivalent du budget annuel d’une région comme la Bretagne. Rien que l’année dernière, le groupe DOUX a reçu 54,9 millions d’euros de subventions.

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Le vote utile, le 10 juin dans le Cantal, c’est pour une députée écologiste !

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Vous avez participé à l’élection d’un nouveau président et surtout à la disqualification de celui qui a abimé la France.

 

Il faut, le 10 juin, donner une nouvelle majorité au Parlement pour que les propositions faites par François Hollande puissent voir le jour. Mais il faut aussi enrichir cette majorité pour que les problèmes écologiques trouvent les solutions adaptées.

 

Quand une élection se fait à la proportionnelle, les écologistes récoltent 10 à 16 % des voix. Aux scrutins majoritaires, vous préférez « voter utile » en donnant votre voix aux principaux candidats, et ainsi les choses ne changent pas beaucoup.

 

Mais voter utile c’est voter pour l’écologie.

 

 

Comment peut-on encore donner sa confiance à un homme qui, avec quatre mandats successifs, a participé à l’équipe qui nous a mené là où on est actuellement, c’est-à-dire dans le mur ?

 

La politique menée depuis ces vingt dernières années débouche sur des crises sans précédent. On ne peut pas réparer avec les recettes et les hommes du passé. D’ailleurs, que proposent-ils ? Rien, ou pire, continuer encore plus fort !

 

 

Pour le Cantal, il est grand temps de ne plus se laisser amuser (à se faire peur) par des gens qui, quand ils interviennent à l’Assemblée Nationale, posent des questions sur le rôle des associations d’aide aux immigrés qu’ils veulent criminaliser et posent par la même occasion les jalons d’une société autoritaire. Le Cantal avec 0,8% d’étrangers, ce n’est même pas le début d’un problème. A une autre question posée qui laisse entendre que les étrangers sont des criminels, on peut répondre que les crimes les plus fréquents sont fait par des proches des victimes.

 

 

Alors soyons sérieux, arrêtons de se laisser prendre pour des marionnettes (De Gaulle aurait dit des veaux!), ne vous laissez pas acheter, demandez la transparence dans les fonds distribués, c’est quand même votre argent, celui des citoyens.

 

 

Choisissons un, ou plutôt une députée qui se penchera sur vos problèmes de citoyens.

 

 

Que souhaitons-nous en premier à nos parents et amis ? La santé.

 

 

Elle commence d’abord par une alimentation saine et donc par une production biologique, seule soucieuse de qualité. Elle continue par un environnement non pollué, par des relations humaines riches, par un bien-être au travail, par un logement décent. Et quand la maladie ou la vieillesse s’installe, par la prise en charge solidaire par la collectivité.

 

 

Pour le travail, cela tombe bien, la conversion écologique de l’économie créera des emplois : par exemple, l’agriculture bio demande plus de bras, de connaissance et moins d’intrants, les bâtiments doivent être mieux isolés pour réduire les besoins en chauffage, les énergies renouvelables créent des emplois non délocalisables, les transports en commun, les services à la personne (petite enfance, dépendance).

 

 

Travailler mieux, moins, toutes et tous

 

 

Pour l’éducation, la culture, chacun doit avoir le droit de se former tout au long de sa vie. Les jeunes doivent espérer être autonomes et choisir leurs études; ils doivent pouvoir bénéficier d’un revenu d’existence.

 

 

Et pour les finances, ne demandons pas aux victimes de payer pour ceux qui ont joué et gagné gros avant de perdre. La finance, c’est au service de l’économie réelle et non des financiers.

 

 

Europe Écologie Les Verts, ce sont des écologistes militants engagés sur le terrain, et des élu(e)s, dans les mairies, les conseils généraux et régionaux, au gouvernement aujourd’hui qui réfléchissent ensemble aux solutions concrètes qu’exige le monde durable et solidaire de demain.

 

 

Le vote utile, le 10 juin, c’est pour une députée écologiste !

 

Dans la nouvelle majorité.

Dominique Dumazel

 mon tract TRACT DUMAZEL RV

 

Nous avons la responsabilité historique de porter une voix forte sur Rio +20

rio20

Publié le 18 mai 2012

40 ans après la tenue de la Conférence de Stockholm qui avait institué le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), 20 ans après le Sommet de la Terre de Rio, 10 ans après la dernière rencontre de ce type à Johannesburg en 2002, l’Assemblée générale des Nations unies a convoqué une nouvelle conférence internationale dite «Rio+20», qui se tiendra à Rio de Janeiro, au Brésil, du 20 au 22 juin 2012. Les objectifs de cette conférence sont de constituer une nouvelle feuille de route pour l’ensemble des pays de la planète à horizon 2030.

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Cessons de vouloir produire massivement et exporter

Tribune de José Bové et Eva Joly, publiée dans terraeco.net

Luc Guyau, président indépendant du Conseil de la FAO, a terminé son intervention au Parlement européen le 24 janvier 2012 en déclarant : « L’Europe n’a pas vocation à nourrir le monde. » Cette affirmation que nous partageons est surprenante car elle est en opposition frontale avec le discours éternel de la FNSEA, syndicat dont il a été président pendant des années. Elle prend également le contre-pied des déclarations de Nicolas Sarkozy qui fustige les contraintes agro-environnementales qui, selon lui, briment les agri-managers français en les empêchant d’être compétitifs sur les marchés mondiaux. La déclaration de Luc Guyau est encourageante. Elle souligne que l’alimentation des 6 milliards d’habitants de la planète, et l’agriculture qui les nourrit, ne peut être correctement appréhendée qu’en ayant une vision globale des difficultés auxquelles nous sommes confrontées.

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