Co-working

La dépendance économique de notre canton à la métropole lyonnaise est indéniable. Elle est à l’origine d’importants flux de circulation et de transport qui dégradent notre bilan carbone et surchargent l’emploi du temps de nos habitants.

Une politique incitative de développement du travail à distance nous parait donc plus que judicieuse.  Un espace de coworking, présentant tous les équipements nécessaires  à cette activité (ligne haut débit, bureaux adaptés, voire salle de réunion) serait tout à fait indiqué pour limiter même partiellement les déplacements travail-domicile des employés de sociétés lyonnaises résidant dans notre canton.

L’un des autres attraits du co-travail est de favoriser les synergies entre les travailleurs indépendants de nos territoires en mutualisant les frais de prospection et les réponses à appels d’offres notamment.

La commune de Charly au sud de Lyon, par exemple, développe ce genre de projets et son centre de télétravail périurbain ouvrira ses portes dans les prochains mois.

Pourquoi pas nous ?

Source : http://www.magazine.grandlyon.com/2015/01/15/coworking-les-bureaux-partages-font-des-emules/

 

   
...

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Jean Navarro - 62 ans - enseignant retraité Investi dans le monde coopératif des logiciels libres et de la cartographie participative depuis de nombreuses années, je connais bien le fonctionnement de ces projets qui au delà de leur objectif immédiat, s'appuient sur la création de lien social. J'ai été, de 2008 à 2014, maire-adjoint aux transports et au numérique à Ambérieu en Bugey, mandat pendant lequel j'ai initié, à la communauté de communes la création d'un schéma intercommunal de déplacement cyclable pour atteindre la gare et j'ai piloté la création du réseau de transports en commun : le TAM.  

Emmanuelle Boudib - 37 ans - Technicienne environnement, je suis  adhérente d’une Amap et active dans les associations locales. Pour moi la politique n’est pas un simple discours mais s’applique à notre quotidien. Ce sont, à mon avis, des gestes anodins, des initiatives locales d’illustres anonymes qui contribuent à changer la société. il me semble important aujourd’hui de présenter une autre voie aux électeurs. Les citoyens ont des idées et veulent faire avancer le monde, relayons ces initiatives afin de nous assurer un avenir où les relations humaines et économiques soient bénéfiques à tous.

Bernard Nogrady - 63 ans - retraité de l’industrie, ex militant syndical, aujourd’hui investi dans le milieu associatif : économie sociale et solidaire et écrivain public. Aujourd’hui, sous la pression des lobbyistes de Bruxelles et d’ailleurs, les politiciens nous imposent un mode de vie responsable d’un monde de plus en plus inégalitaire et destructeur de notre environnement. Si nous voulons y mettre un frein il est temps que tous : simples citoyens, militants associatifs, syndicalistes et autres, unis sous la même bannière, faisons entendre notre voix afin de créer un contre pouvoir. Suivons l’exemple des Grecs et des Espagnols !!

Céline Mercier - 31 ans - Chargée de recrutement

Vote par procuration 2