Commentaires sur : Des Urgences publiques dans les Hôpitaux publics sur l’ensemble du territoire Régional http://onesta.ecologie2015.fr/des-urgences-publiques-dans-les-hopitaux-publics-sur-lensemble-du-territoire-regional/ Élections régionales 2015 Mon, 28 Sep 2015 12:57:24 +0000 hourly 1 Par : Anonyme http://onesta.ecologie2015.fr/des-urgences-publiques-dans-les-hopitaux-publics-sur-lensemble-du-territoire-regional/#comment-286 Sun, 23 Aug 2015 17:32:24 +0000 http://leprojetencommun.net/?p=1976#comment-286 La réponse est pleine de bon sens. Il est vrai que cette zone connaît des variations très fortes de population avec la période estivale. Cela suppose une réponse souple et qui intègre la nature du besoin. Or, la majorité des urgences relève d’un acte médical ou social simple qui peut être pris en charge par le tissu médico-social existant. Evidemment, et c’est tout l’intérêt de la préoccupation de l’auteur de la proposition, il faut veiller à ce que ce tissu soit en mesure de répondre l’été. En ce sens, n’évoquer que le « désert médical public » revient à se priver de toute la médecine ambulatoire qui joue un rôle essentiel. Pour conclure, je proposerai donc d’abord de qualifier de de quantifier le besoin (l’ARS et l’Assurance Maladie possèdent les données nécessaires) et de voir avec les professionnels du terrain l’organisation d’une réponse adaptée.

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Par : Anonyme http://onesta.ecologie2015.fr/des-urgences-publiques-dans-les-hopitaux-publics-sur-lensemble-du-territoire-regional/#comment-271 Thu, 20 Aug 2015 08:15:34 +0000 http://leprojetencommun.net/?p=1976#comment-271 Pour être issu d’un département rural, je sais que la présence d’un service d’urgence à proximité n’est pas une garantie en soi. Beaucoup de services trop petits ne savent/peuvent gérer de nombreux cas (souvent les plus graves), ce qui fait s’ajouter aux 30-50 minutes pour rejoindre l’hôpital qualifié, 15-30 minutes de trajet vers les urgences les plus proches, et 15-30 minutes d’incertitude, perdues dans ce premier service trop petit. Soit de 1 à 2h avant que le diagnostic approprié puisse commencer. On se prend à prier d’avoir des symptômes bien lisibles et bien typiques.

Il faut commencer par améliorer la communication autour des compétences des établissements (y compris dans les standards des hôpitaux). Certaines structures souffrent également (à tort ou à raison) d’une mauvaise réputation, ce qui engorge les hôpitaux des plus grandes villes pour des cas bénins (fracture, appendicite). Et devant l’engorgement des hôpitaux publics, ce sont souvent les cliniques qui communiquent et ramassent la mise.

Il faut aussi s’assurer que des pôles solides dans tous les domaines soient bien répartis sur le territoire. Certaines personnes font le trajet d’Agen jusqu’à Toulouse (115 km) pour des soins réguliers, ce qui n’est pas compatible avec une vraie qualité de vie.

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