Renouer des liens avec la nature – Liste écologistes, citoyens et solidaires, Avec Charles Fournier soutenez la transition écologique en Région Centre-Val de Loire ! http://charlesfournier-eelv2015.fr Élections Régionales en Région Centre Val de Loire les dimanches 6 et 13 décembre 2015 Fri, 04 Dec 2015 16:56:32 +0000 fr-FR hourly 1 http://charlesfournier-eelv2015.fr/files/2015/10/cropped-LogoListe-favicon-32x32.jpg Renouer des liens avec la nature – Liste écologistes, citoyens et solidaires, Avec Charles Fournier soutenez la transition écologique en Région Centre-Val de Loire ! http://charlesfournier-eelv2015.fr 32 32 Sauvegarder la biodiversité et sensibiliser à la préservation de la nature http://charlesfournier-eelv2015.fr/sauvegarder-la-biodiversite-et-sensibiliser-a-la-preservation-de-la-nature/ Sun, 15 Nov 2015 16:11:19 +0000 http://charlesfournier-eelv2015.fr/?p=809 Lire la suite]]> Picto-biodiv

Les politiques publiques mises en place depuis plusieurs décennies considèrent le plus souvent la nature comme une ressource à exploiter pour un développement à court terme, sans en avoir évalué les conséquences à long terme.

Renouer des liens avec la nature, c’est comprendre que l’ensemble de nos activités impacte la qualité de l’eau, de l’air et des sols, et que cela porte atteinte à nos vies. L’alimentation étant le besoin premier et vital des êtres humains, une politique responsable de la chaîne alimentaire doit être mise en oeuvre, depuis le champ jusqu’à l’assiette !

Renouer des liens avec la nature, c’est préserver la biodiversité et les services qu’elle nous rend. Il faut non seulement en finir avec les projets destructeurs, mais aussi essayer de réparer les lourds dégâts déjà occasionnés. Cela suppose de renforcer les programmes de conservation de cette biodiversité par la mise en œuvre de la Trame Verte et Bleue (Schéma Régional de Cohérence Écologique, Contrats de Rivières, etc) et d’assurer réellement leur mise en œuvre en impliquant les acteurs locaux.

Renouer les liens avec la nature, c’est s’engager dans une politique de prévention des risques, notamment le risque d’inondation. Il faut repenser la relation entre l’homme et son environnement.

Renouer les liens avec la nature, c’est permettre une appropriation des enjeux environnementaux par tous, en s’appuyant notamment sur les associations de protection de la nature et de l’éducation à l’environnement.

 

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Mesures immédiates

1 – Mettre en place un programme pour développer les jardins familiaux et collectifs : carte régionale, programme de sensibilisation des jardiniers amateurs pour l’utilisation de produits naturels (interdiction en 2022  pesticides pour usages non professionnels) et soutenir une autre approche d’entretien de ces jardins (« cultiver des jardins sauvages » qui n’est pas synonyme de jardin non-entretenu).
2 – Pour un retour de la nature en ville, aider les communes à tenir l’échéance de la loi Labbé (passage au zéro pesticides en 2020) et à sensibiliser les habitants à un autre regard sur la nature, réintroduire la nature dans l’espace urbain (distribution de graines, aide à la plantation de haies naturelles et diversifiées…)

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3 – Dans le cadre des agendas 21 dans les lycées : intégrer “ l’éducation à l’environnement » dans les lycées et notamment mettre en place un catalogue régional des interventions proposées par les acteurs du territoire.
4 – Sensibiliser, vulgariser et former à la préservation de la nature pour construire une culture de la nature en soutenant les acteurs de la protection de la nature et de l’éducation à l’environnement. Poursuivre les conventions vertes et maintenir les budgets sur la mandature.

 

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Mesures phares

5 – Améliorer le dialogue avec les acteurs de l’environnement.
Mettre en place une conférence régionale de l’environnement réunissant les acteurs et les collectivités pour une action concertée. Participer à la mise en cohérence les Plans Régionaux Forêt Bois (PRFB), les Schémas Régionaux de Cohérence Ecologique (SRCE) et les Schémas Départementaux d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE).
6 – Tripler le budget de l’Ecopôle, outil original/novateur de la région Centre Val de Loire (500000€) et conforter le soutien apporté aux acteurs de l’environnement au travers des conventions vertes. Consolider le financement de la mise en œuvre de l’Observatoire de la Biodiversité et des synthèses de son évolution pour les décideurs publiques et acteurs du territoire (Etat, Région) et financer des Atlas de la Biodiversité Communale, grâce aux fonds européens gérés par les Régions, pour améliorer la connaissance et permettre de réaliser ensuite des diagnostics écologiques et socio-économiques des exploitations agricoles
7 – Renforcer la professionnalisation des acteurs de l’EEDD. Plan de formation, gestion prévisionnel des emplois et compétences, Validation des Acquis de l’Expérience…

 

8 – Vulgariser l’action des acteurs institutionnels en matière d’EEDD, piloter le catalogue régional des interventions d’éducation à l’environnement proposées par les acteurs du territoire,  vulgariser l’information des sorties des Centres de Protection de la Nature, des espaces protégés ouverts au public et des sorties nature, mettre en place un annuaire des jardins collectifs, mettre à jour l’information de l’avancée de la trame verte et bleue et la prise en compte du Schéma Régional de Cohérence Écologique dans les documents d’urbanisme, consolider un calendrier des événementiels importants en lien avec l’environnement,…)
9 – Conditionner les aides régionales et marchés publics au respect d’une « charte  écologique » : non-destruction des zones humides (réservoir de biodiversité, capacités de dépuration des eaux, rôle essentiel en cas  d’évènements météorologiques exceptionnels), non-implantation d’espèces exotiques invasives, utilisation de bois de provenance locale (pour le bâtiment, mobilier), exclusion de produits issus de la déforestation, …

10 – Passer les enveloppes dédiées aux actions liées à la biodiversité de 5 à 10% des budgets alloués aux territoires dans le cadre des Contrats Régionaux de Solidarité Territoriale.
11 – Financer des actions exemplaires démonstratrices et reproductibles, par des appels à projets thématiques, avec une communication grand public. Ces fonds seront ouverts aux pays qui auront déjà utilisé leur enveloppe des 10% des Contrats Régionaux de Solidarité Territoriale. Ex : biodiversité en ville pour donner des suites concrètes aux Inventaires de Biodiversité Communaux, création de « zones tampons » de biodiversité et d’autoépuration dans les zones industrielles (ex. mare).
12 – Préserver les espaces de biodiversité remarquable et renforcer la communication grand public des espaces protégés ouverts au public. Sanctuarisation des dotations des PNR et soutien aux nouveaux PNR (Sancerre, Sologne, Gâtinais…), proposer une coordination régionale pour le réseau des espaces naturels « ordinaires » (travail avec les départements / Espaces Naturels Sensibles), maintien des dotations aux associations de gestion des espaces naturels, participer à la création de réserves naturelles régionales
13 – Mettre en œuvre un plan régional pour les abeilles : plan de protection contre les pesticides, contre les OGM et plan d’éradication des frelons asiatiques (interventions gratuites).

14 – Soutenir des projets de recherche en partenariat avec les acteurs de l’environnement sur les enjeux pour le maintien de la biodiversité

15 – Soutenir les pratiques de gestion forestière vertueuse sur le plan environnemental

Fiche Biodiversité MEP

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Eau, Loire, rivières http://charlesfournier-eelv2015.fr/eau-loire-rivieres/ Fri, 23 Oct 2015 22:55:45 +0000 http://charlesfournier-eelv2015.fr/?p=975 Lire la suite]]> La Loire et nos rivières ont payé un lourd tribut dans la course au développement : extraction de granulat, installation du nucléaire sur les rives, utilisation de l’eau pour l’irrigation, endiguement, pollutions diffuses, barrages pour le soutien d’étiage…

Il est urgent d’agir : aujourd’hui seulement 40% des masses d’eau sont en bon état ! Un espoir depuis la mise en place du Plan Loire Grandeur Nature (initié en 1994), une stratégie pour le bassin de la Loire voit le jour avec des axes cohérents pour peu que les moyens et les actions mises en place les respectent.

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Mesures immédiates

1 – Se positionner contre la création de nouvelles retenues d’eau (néfastes pour le transport des sédiments, les migrations et la qualité de l’eau) par le non financement régional.

2 – Réaménager des espaces de promenades aux bords des rivières et zones humides, des zones de baignades surveillées, pour une réappropriation par les populations dans le respect des espaces naturels par la gestion des flux (et éviter l’étalement et la dégradation des sites).

3 – Généraliser les contrats de rivières à toute la région en doublant le budget alloué au programme précédent (pour l’extension et la continuité de l’existant) ; renaturation des cours d’eau, suppression ou transformation des retenues actuelles …

4 – Améliorer la mise à disposition du public des données sur la qualité de l’eau des cours d’eau, en relayant les informations disponibles sur les réseaux publics – agences de l’eau, collectivités, Etat – ou en montant des projets pour les compléter (ex. affichage de paramètres sur des lieux de passage de la population).

5 – Appuyer la création obligatoire de déversoirs dans les vals et la préservation de zones d’expansion de crues qui peuvent être également des réservoirs de biodiversité (zones de prairies plutôt que champs labourés).

6 – Appuyer les actions qui permettent de réduire la vulnérabilité en cas de crue majeure : vulnérabilité des personnes, des activités économiques et de l’environnement. Notamment par l’information des populations et la diffusion des PFMS (Plan Familial de mise en sécurité).

7 – Création d’une cellule de coordination au sein de la région pour suivre l’opérabilité des propositions travaillant avec les services de l’Etat.

8 – Dans les zones à risque naturel ou technologique, les aides économiques (notamment dans la cadre des CRST) seront conditionnées à la prise en compte des vulnérabilités : réduction de la vulnérabilité de l’existant, pas de création de nouvelles vulnérabilités.

9 – Soutenir le rééquilibrage des redevances d’usage de l’eau, pour que l’agriculture et l’industrie prennent leur juste part (cibler particulièrement les gros consommateurs agricoles et industriels) : accompagner des porteurs de projets, qui peuvent proposer des actions dans cet esprit – agriculteurs passant en bio ou collectivités prêtes à s’engager dans des actions préservant l’eau et la biodiversité – qui seraient éligibles aux aides des 2 agences de l’eau, et des collectivités partenaires.

10 – Avoir une implication forte dans tous les établissements publics et instances de l’État (Etablissement Public Loire, Agence de l’eau/comité de bassin, commissions planification /Loire-inondation…), application du SDAGE, développement du  Plan Loire Grandeur Nature

11 – Mettre en place un plan régional d’installation de l’agriculture biologique dans les zones de captage d’eau potable : les eaux souterraines sont polluées durablement par les nitrates et les pesticides, entrainant l’abandon progressif de captages d’eau potable. L’agriculture biologique installée dans ces zones de captage permet de protéger la ressource en eau.

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Une politique culturelle écologiste et citoyenne… c’est naturellement possible http://charlesfournier-eelv2015.fr/une-politique-culturelle-ecologiste-et-citoyenne-cest-naturellement-possible/ Fri, 23 Oct 2015 22:25:40 +0000 http://charlesfournier-eelv2015.fr/?p=945 Lire la suite]]> Bien vivre en Région Centre Val de Loire, c’est naturellement faire une place de choix à la culture. Notre liste « Ecologistes, Citoyens, Solidaires »  soutient une politique culturelle qui s’appuie sur la démocratie, la diversité, l’éducation populaire, l’économie sociale et solidaire.

Notre vision de l’action culturelle se veut à l’image de notre projet politique. Nous souhaitons accentuer la déclinaison de la politique culturelle régionael sur les territoires, par bassin de vie. Nos priorités sont l’équité territoriale dans l’accès à l’art et la culture, le renforcement du dialogue avec les acteurs pour qu’ils participent de l’action politique régionale, réformer et l’accès aux financements régionaux et la transversalité de l’art et de la culture.

Nous veillerons à garantir la liberté d’expression artistique et de création, à la démocratisation et à la pratique de la vie culturelle ainsi qu’à la reconnaissance des identités culturelles et à la liaison avec le numérique.

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Réformer et diversifier l’accès aux financements

1 – Diversification des financements :

    • réformer les conventionnements (sans les baisser !)
    • orienter les projets culturels sur les budgets des autres politiques régionales (formation, aménagement du territoire, éducation, numérique…) en fonction des objectifs.

2 – Mettre en place un accompagnement au montage financier et à la diversification de financement

3 – Des budgets ESS en direction des acteurs culturels : encourager les structures culturelles inscrites dans l’économie sociale et solidaire

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Renforcer l’accompagnement des acteurs culturels par un maillage du territoire régional

4 – Développer les outils d’accompagnement et territorialiser l’action de Culture O’Centre : améliorer l’accessibilité aux services offerts par l’agence de développement culturel de la région et renforcer ses missions d’expertises.

5 – Encourager la diversité des arts, et les coopérations sur les territoires : développer une ingénierie sur les territoires, pour faciliter les coopérations culturelles, et l’émergence de projets.

6 – Sécuriser le travail de tous les acteurs culturels par la pluri-annualité des conventionnements et des conventionnements multi-partenariaux (collectivités, écoles, pôle emploi etc…). Par l’organisation d’une mutualisation de moyens par territoires (charges administratives et/ou de production pour les groupements d’acteurs – artistes, intervenants culturels, compagnies).

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Des équipements culturels ouverts sur les territoires et la coopération entre acteurs régionaux

7 – Encourager la diversité des lieux culturels : la Région doit d’un côté soutenir le dynamisme et l’ouverture de ses lieux culturels, et participer à l’émergence de lieux d’activité culturelle innovants, organisés autour des principes de l’économie sociale et solidaire (ESS).

8 – Favoriser l’émergence de lieux « itinérants », nous encouragerons particulièrement en milieu rural, l’émergence de tiers-lieux dans le domaine culturel, artistique comme dans celui du numérique ou pour les artisans d’art.

9 – Soutenir les coopérations culturelles, les « lieux culturels établis » (scènes régionales et nationales ou encore les lieux d’art contemporain) doivent être les locomotives de la vitalité de l’activité culturelle.

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Irriguer les autres politiques régionales

10 – Associer l’art aux projets financés par la Région : intégrer la culture au sein des différentes politiques régionales. Développer un label déposé Haute Qualité Artistique et Culturelle sur des projets d’aménagement du territoire ; un parcours de formation métiers culturels et pratiques artistiques pour les demandeurs d’emploi, envisager les pratiques artistiques comme un outil d’intégration sociale et professionnelle

11 – Aider les lieux touristiques emblématiques à développer le spectacle vivant et des animations culturelles et/ou scientifiques.

12 – Culture et nature, « Essaimons le festival des jardins de Chaumont » : permettre aux associations et collectivités de développer sur leur territoire, des évènements liants projets artistiques et jardins remarquables durables en lien avec les habitants.

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Développer les pratiques artistiques et l’accessibilité à la culture

13 – Favoriser l’émergence de nouveaux acteurs culturels : nous mettrons en place une «bourse tremplin» au premier projet de création pour les artistes émergents.

14 – Améliorer l’accès à la culture : nous amplifierons les dispositifs d’accès aux différentes manifestations culturelles et à la pratique artistique notamment des jeunes et des personnes en difficulté via les chéquiers CLARC et une tarification sociale et solidaire.

15 – Développer la pratique et l’éducation artistique en milieu scolaire :  nous doublerons le budget du dispositif « Aux Arts lycéens et apprentis »

16 – Soutenir l’action culturelle en direction des publics jeunes (dès 3 ans), condition indispensable pour favoriser la culture tout au long de la jeunesse.

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Rapprocher la culture et l’éducation populaire

17 – Créer des « passerelles culturelles » entre le rural et urbain, en intégrant cet enjeu dans les conventionnements (au titre de l’action culturelle)

18 – Soutenir l’action culturelle développée par les acteurs de l’éducation populaire : nous développerons une action culturelle porteuse des valeurs de l’éducation populaire et du «faire avec» en promouvant les projets collectifs.

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Une économie culturelle tournée vers l’économie sociale et solidaire

19 – Vers de nouvelles formes « d’entreprendre » dans la culture : nous encouragerons les projets coopératifs ainsi que les formes entrepreneuriales innovantes en termes de gouvernance, de coopérations, de solidarité (SCIC culturelle, Coopérative d’Activité et d’Emploi – CAE).

20 – Anticiper et accompagner l’emploi culturel, soutenir le projet de développement de la plateforme de Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences dans le domaine culturel coordonnée par la FRACAMA

21 – Vers une rémunération équitable pour les artistes : nous encouragerons les initiatives visant le rapprochement entre « créateurs et usagers ».

  • expérimenter les associations pour le Maintien d’Alternatives en matière de Culture et de Création Artistique (AMACCA).
  • expérimenter les modèles équitables de diffusion et de rémunération des créations indépendantes pour les artistes (à l’image de la billetterie développée par la FRACAMA et SUPERSONIKS)

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Une gouvernance rénovée pour une politique culturelle plus équitable

22 – Mettre en place dès 2016, des assises régionales de la culture, permettant de poser une nouvelle ambition régionale pour la culture. Elles associeront les acteurs culturels et des collectifs de citoyens.

23 – Des instances ancrées dans une logique d’ouverture : réformer le fonctionnement de la commission sectorielle comme ceux des comités techniques pour créer les conditions d’une dynamique collaborative régulière entre décideurs et bénéficiaires des aides.

24 – Une co-construction permanente : instaurer un dialogue permanent entre acteurs culturels, élus, techniciens et usagers via Culture O’Centre en créant un espace de d’échange entre acteurs et entre disciplines.

25 – L’usager doit avoir “droit de cité “ : améliorer la représentation et le dialogue des usagers de la culture auprès des institutions en développant des comités d’usagers par bassin de vie.

FichecultureMEP

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