Ce dimanche 7 mai, après s’être rendu aux urnes pour voter, Christophe Cavard a passé une bonne partie de  l’après-midi au stade Jean Bouin de Nîmes à l’occasion du tournoi de football Arena Cup organisée avec succès par l’Olympique Mas de Mingue pour la 4ème année consécutive.

Ce tournoi, étalé sur 3 jours, était l’occasion pour les jeunes joueurs de faire connaissance, et certains ont fait le déplacement de loin!

En effet, la majorité des équipes provenaient du sud de la France, mais il faut également noter la présence d’une équipe marocaine et d’une autre d’Oran. Outre le côté sportif, ces journées permettent ainsi aux jeunes de découvrir d’autres cultures.

Ces rencontres annuelles favorisent la cohésion sociale entre les jeunes à travers le sport, des valeurs auxquelles Christophe Cavard porte particulièrement attention et qu’il encourage par son action.

Vendredi 5 mai, Christophe Cavard assistait au côté notamment de Bérengère Noguier, conseillère départementale, à l’inauguration de la nouvelle déchèterie de Vallabrix. Il a ainsi pu constater comment le tri des déchets intégrait les nouvelles avancées technologiques. Ce site, le 4ème géré par le SICTOMU, permet le tri des déchets en accord avec les défis environnementaux auxquels nous sommes aujourd’hui tous confrontés. De plus, les employés jouent un rôle pédagogique auprès des usagers pour leur apporter de nombreuses informations sur les différentes manières de recycler, ce qui apporte une véritable plus-value au site.

Plusieurs conséquences positives découleront directement de la création de cette nouvelle déchèterie,  comme la diminution de l’abandon des déchets dans la nature, le désengorgement de la déchèterie d’Uzès, ou encore de fluidifier la circulation routière au Nord d’Uzès notamment l’été.

Christophe Cavard se félicite que l’innovation technologique se mette au service de procédés de plus en plus écologiques pour le tri des déchets. Il place ce projet en lien avec celui de recyclerie/ressourcerie qui est en train d’éclore sur la commune et qu’il encourage naturellement.

Samedi 28 février 2015, Christophe Cavard s’est rendu à Clarensac pour l’inauguration du CEC du Gard (centre d’éducation conductive du Gard), sixième structure associative du même type en France. Une démarche que le député a tenu à saluer face au public présent lorsqu’il s’est adressé à Fanny Grau Coppieters (présidente et membre fondateur, médecin généraliste) de ce CEC, centre d’accueil pour jeunes enfants handicapés moteurs ou polyhandicapés. Ce centre s’appuie sur une méthode qui a fait ses preuves et qui est reconnue dans de nombreux pays : la pédagogie conductive a d’ailleurs été conçue dans les années 40 par un médecin hongrois.
Ce projet a pu voir le jour grâce avant tout aux bénévoles qui ont réalisé les travaux d’aménagement du local, mais aussi grâce à la mairie de Clarensac, et Marjorie Enjelvin au premier chef.

Les députés Christophe Cavard et William Dumas porteront prochainement le dossier auprès du ministère concerné car il faut que cette structure et cette méthode soit reconnue nationalement.

Se rendre sur le site du CEC du Gard.

http://christophecavard.eelv.fr/midi-libre-clarensac-une-inauguration-pas-comme-les-autres/

Christophe Cavard a fait le point sur France Bleu Gard Lozère sur la situation en Languedoc-Roussillon concernant les filières djihadistes, suite à sa rencontre avec le préfet de Région, le 2 février 2015.

Extrait du journal de 18h sur l’antenne de France Bleu Gard Lozère

(Re)voir l’interview de Christophe dans le 19/20 de France 3 région sur le même sujet.

Communiqué de presse du 27 février 2015

Rencontre avec le préfet de Région sur la question des filières djihadistes et des risques de radicalisation

Notre territoire national connaît une période trouble depuis les événements des 7 et 8 janvier derniers, mais aussi notre région, après les interventions du RAID le 27 janvier à Lunel. Cela nous invite collectivement à la plus grande vigilance.

C’est pourquoi, j’ai souhaité me mobiliser, aux côtés de Patrice Prat (député du Gard) et Christian Assaf (Député de l’Hérault), autour de cette question du démantèlement des filières djihadistes et rencontrer, dans un premier temps, le préfet de région, Pierre de Bousquet, très au fait de ces sujets, par ailleurs.

Cette réunion de travail se déroulera lundi 2 mars, à 13h.

L’objectif est de savoir à quel point le Languedoc-Roussillon est impacté et quels outils nous pourrions mettre en place pour évaluer les degrés de risque, et anticiper davantage, dans le futur, à partir de signaux d’alerte. Les questions de prévention également devront être évoquées.

Je rappelle qu’en tant qu’ancien président de la commission d’enquête relative au fonctionnement des services de renseignement français (rapport rendu en 2014), et membre aujourd’hui, avec mes collègues députés Patrice Prat et Christian Assaf, de la commission d’enquête sur la surveillance des filières et des individus djihadistes, j’ai pu mesurer la nécessité d’agir sur l’urgence de sécurité, tout en travaillant sur la prévention, et ce qui constitue le risque ensuite de la radicalisation des individus et de nos jeunes en particulier.

Christophe Cavard, suite à sa rencontre avec le préfet de Région, fait le point sur la situation en Languedoc-Roussillon concernant les filières djihadistes, à l’appui de sa mission en tant que membre de la commission d’enquête sur la surveillance des filières et des individus djihadistes, mais aussi en tant qu’ancien président de la commission d’enquête parlementaire sur le fonctionnement des services de renseignement français dans le suivi et la surveillance des mouvements radicaux armés et jihadistes (rapport rendu en mai 2014).

Revoir le 19/20 de France 3 Région Languedoc-Roussillon du 2 mars 2015.

Extrait du 19/20 de France 3 Languedoc… par Christophecavard

Lire le communiqué du 27 février 2015

Réécouter l’intervention de Christophe Cavard sur France Bleu Gard Lozère, le 2 mars 2015.

Le Syndicat Mixte des gorges du Gardon réunissait son comité, jeudi 26 février. Le vote du budget 2015 s’est déroulé sous la présidence de Christophe Cavard.

Avec 4,32 M€, le budget prévisionnel du Syndicat mixte des gorges du Gardon (SMGG) baisse de 15 % par rapport à celui de 2014. En ces temps délicats pour les finances publiques, c’est l’investissement qui tire le budget vers le bas : son budget connaît une baisse de 750 000 €, soit 33 % de moins.

Ce chiffre ne doit rien à une baisse d’activité mais plutôt à l’achèvement de projets lancés il y a quelques années. L’année 2015 est une année charnière, celle d’une forme d’aboutissement avant une nouvelle phase d’investissement qui suivra inévitablement la désignation par l’Unesco du territoire en Réserve de biosphère et l’obtention du label Grand Site de France pour le territoire au cours de l’année. Le budget du SMGG passe ainsi du conjoncturel au structurel, preuve en est la hausse du budget de fonctionnement de 4,6 % afin de financer les charges induites par l’aboutissement des projets.

Ainsi, la Maison du Grand Site accueillera les services techniques dès la fin mars et ouvrira ses portes au public en juin prochain. Rénové durant deux ans, le bâtiment passe de 250 à 600 m² et intègre un espace muséographique et pédagogique  pour une qualité d’accueil du public optimale. Un demi-poste viendra également compléter l’organigramme. Le schéma de circulations et de stationnements, lié justement au label Grand Site de France, prévoit la construction d’un parking à Russan et l’achat de terrains à Collias.

La désignation du territoire en Réserve de biosphère par l’Unesco nécessite également une ligne budgétaire de façon à assurer les missions de recherche et d’animation liées à cette nouvelle distinction.

Ces nouvelles missions ne font pas oublier au SMGG le cœur de son activité : il s’apprête ainsi, à titre d’exemple, à mettre en sécurité une grange à Dions, dont l’État lui a confié la gestion afin d’assurer la préservation d’une importante colonie de chauves-souris.

La baisse du budget d’investissement ne rime pas non plus avec inertie : la structure présidé par Christophe Cavard engagera cette année une première tranche de plus de 150 000 € afin de mener à bien la création d’une Maison de la rivière et du castor à Collias.

Le Syndicat mixte poursuivra également ses actions en faveur de la biodiversité dans le cadre du Life Terrains militaires, qui mobilisera cette année 333 000 €, ainsi qu’en animant l’opération Natura 2000 dans les garrigues de Lussan que le Pays d’Uzès lui a confié.

A retenir dans le budget 2015

• Budget général : baisse d’un peu plus de 650 000 €, soit 15 % de moins que le budget 2014, à 4,32 M€.
• Participation du Conseil général inchangée : 35 % du budget de fonctionnement (contre 39% en 2014) avec un peu plus de 720 000 €. Premier partenaire financier du SMGG.
• Participation des communes au budget de fonctionnement inchangée : 29 304 € au total, soit 1,4 % du budget de fonctionnement.

• Budget d’investissement en baisse de 33 %, à 2, 242 M€ (soit 750 000 € de moins)
  • Près de 140 000 € pour schéma de circulations et stationnements, dont aire de stationnement et cheminement autour Maison du Grand Site. Obtention label Grand Site de France attendu cette année ;
    
  • Lancement maîtrise d’œuvre pour la Maison de la rivière et du castor de Collias : 150 000 € crédités, avant-projet détaillé attendu pour septembre nécessaire au déblocage de 360 000 € de la part de l’Agence de l’Eau.
  • Life Terrains militaires : 333 000 € qui couvrent le débroussaillage mécanique de 90 hectares en vue d’une réouverture des milieux, réintroduction du petit gibier grâce à la construction de garennes à lapins en pierre sèche ;
  • Mise en sécurité d’une ancienne grange à Dions, acquise par l’Etat, qui abrite une importante colonie de chauves-souris (Murins à oreilles échancrées) : 60 000 € financés par l’État via les mesures compensatoires liées à la 2X2 voies de la RN 106. La Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) en a confié la gestion au SMGG.

• Budget de fonctionnement en hausse de 4,6 % à 2,078 M€.
  • Projets structurants en cours : ouverture de la Maison du Grand site (qui passe de 250 à 600 m²) ;
  • Projet agro-environnemental et climatique « Garrigues et plaine entre Cèze et Gardon » qui élargit le champ d’intervention du SMGG (67 communes, plus de 100 000 hectares couverts. Objectif : 200 contrats en trois ans). Soit 48 0000 € financés à 80 % par FEADER et Etat ;
  • Entretien zones débroussaillées à Sanilhac-Sagriès (38 ha) ainsi qu’à Cabrières et Poulx (68 h) : 72 000 € autofinancés
  • Deuxième phase étude de faisabilité Parc naturel régional : 40 000 € financés pour moitié par la Région LR ;
  • Désignation Réserve de biosphère par l’Unesco et mise en route du programme afférent ;
  • Territoire d’intervention plus large pour les chargés de mission lié à opération Natura 2000 qui implique une hausse des crédits de 39 000 €. Une raison : communauté de communes du Pays d’Uzès abandonne le rôle d’animateur dans les garrigues de Lussan et a sollicité le SMGG. Moyen pour le SMGG de renforcer sa stabilité financière puisque les opérations, réalisées en régie, sont financées par l’État et l’UE à hauteur de 80 %.
  • Life Terrains militaires : 45 000 € en fonctionnement en 2015 financés à 98 % par l’UE et le ministère de la Défense.
  • Mise en place d’une politique culturelle : participation au Festival du conte + évènementiels, notamment liés à l’inauguration de la Maison du Grand Site au mois de juin.

Cette rencontre qui a eu lieu le 2 février 2015 au café Olive à Nîmes avait pour but d’ouvrir le dialogue, y compris sur des thématiques qui peuvent paraître difficiles, pour ne pas laisser sans suite le drame du 7 janvier dernier.
Il ne s’agissait pas d’écouter un discours politique, mais plutôt d’échanger et de partager ensemble, autour de ce qui découle de cet événement, dans un cadre général forcément nécessaire.
Un public le plus large possible était invité à se retrouver pour dialoguer autour de cette question : « qu’est-ce qu’être Charlie ? ».

Maître Khadija Aoudia, avocate au barreau de Nîmes, et Japida, dessinateur d’humour nous font part de leur vision des débats dans cette vidéo.

Lien vers l’article et la vidéo

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Mediapart a convié deux députés de la majorité parlementaire à exprimer leur vision concrète de ce que devrait être une politique de gauche en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme, après les attentats de Paris. Le socialiste Dominique Raimbourg, vice-président de la commission des lois, qui va notamment se saisir du texte sur le renseignement annoncé par Manuel Valls, est également l’ancien rapporteur de la réforme pénale votée il y a quelques mois.

L’écologiste Christophe Cavard, éducateur de métier, a présidé la commission d’enquête créée à la demande du groupe EELV après l’affaire Merah, et a signé un rapport de mai 2013 pointant la désorganisation du renseignement français.

Tous deux tentent de tracer la délicate ligne de crête sur laquelle le gouvernement et la majorité entendent évoluer dans la lutte contre le terrorisme djihadiste. Christophe Cavard s’« interroge sur le risque de réponses excessives » et rappelle que « l’esprit du 11 janvier » est aussi, pour les Français descendus dans la rue, l’expression d’un« attachement aux libertés ». Dominique Raimbourg développe de son côté l’idée selon laquelle « il faut absolument décloisonner l’organisation administrative » entre police, justice et éducation. Il explique ainsi qu’il serait nécessaire de multiplier « des interventions éducatives, pas seulement à la demande des juges ».

Les deux députés ont aussi confronté leurs vues sur l’encadrement du renseignement, alors qu’un projet de loi sur le sujet devrait être examiné en mars, et notamment des écoutes policières et judiciaires, ou sur le blocage des sites internet. Pour Cavard, c’est surtout l’idée que les contrôles puissent se faire « a posteriori » qui est inquiétant : « Si on écoute des journalistes, et qu’on ne le justifie qu’après coup, ça ne va pas. » Pour Raimbourg, « il vaudrait mieux rester vigilant sur les écoutes et l’être moins sur la géolocalisation, car elle est moins attentatoire aux libertés ».

« Pour Manuel Valls, il ne doit pas y avoir d’État d’exception, mais des mesures exceptionnelles, résume Cavard. Moi, je dis que celles-ci doivent être encadrées par les parlementaires, qui doivent poser un certain nombre de limites, et ne pas être du seul ressort de l’exécutif. »