Ce dimanche 7 mai, après s’être rendu aux urnes pour voter, Christophe Cavard a passé une bonne partie de  l’après-midi au stade Jean Bouin de Nîmes à l’occasion du tournoi de football Arena Cup organisée avec succès par l’Olympique Mas de Mingue pour la 4ème année consécutive.

Ce tournoi, étalé sur 3 jours, était l’occasion pour les jeunes joueurs de faire connaissance, et certains ont fait le déplacement de loin!

En effet, la majorité des équipes provenaient du sud de la France, mais il faut également noter la présence d’une équipe marocaine et d’une autre d’Oran. Outre le côté sportif, ces journées permettent ainsi aux jeunes de découvrir d’autres cultures.

Ces rencontres annuelles favorisent la cohésion sociale entre les jeunes à travers le sport, des valeurs auxquelles Christophe Cavard porte particulièrement attention et qu’il encourage par son action.

Vendredi 5 mai, Christophe Cavard assistait au côté notamment de Bérengère Noguier, conseillère départementale, à l’inauguration de la nouvelle déchèterie de Vallabrix. Il a ainsi pu constater comment le tri des déchets intégrait les nouvelles avancées technologiques. Ce site, le 4ème géré par le SICTOMU, permet le tri des déchets en accord avec les défis environnementaux auxquels nous sommes aujourd’hui tous confrontés. De plus, les employés jouent un rôle pédagogique auprès des usagers pour leur apporter de nombreuses informations sur les différentes manières de recycler, ce qui apporte une véritable plus-value au site.

Plusieurs conséquences positives découleront directement de la création de cette nouvelle déchèterie,  comme la diminution de l’abandon des déchets dans la nature, le désengorgement de la déchèterie d’Uzès, ou encore de fluidifier la circulation routière au Nord d’Uzès notamment l’été.

Christophe Cavard se félicite que l’innovation technologique se mette au service de procédés de plus en plus écologiques pour le tri des déchets. Il place ce projet en lien avec celui de recyclerie/ressourcerie qui est en train d’éclore sur la commune et qu’il encourage naturellement.

Jeudi 4 mai, Christophe Cavard présentait à Nîmes sa candidature aux élections législatives des 11 et 18 juin prochains.

A 3 jours du second tour de l’élection présidentielle, il lui paraissait important de se positionner clairement et publiquement face au FN et d’inviter chacun(e) à en faire de même tout en apportant des perspectives à ce vote. Il a ainsi exprimé un appel au vote en faveur d’Emmanuel Macron et expliqué dans ce cadre là le sens de sa candidature aux législatives.

Ecologiste réformiste, il a rappelé que défendre le mode de scrutin proportionnel c’est aussi s’être préparé à travailler avec d’autres, selon un projet clair et s’engager à le faire avancer.

« Avant de lancer véritablement la campagne des élections législatives dès le lendemain de l’élection présidentielle, j’ai voulu en premier m’adresser à vous, mes amis, qui depuis plusieurs semaines me témoignez une forme d’impatience, et qui êtes en questionnement dans le contexte actuel.

Il n’y pas d’hommes ou de femmes providentiels, c’est un leurre. Dans une démocratie rénovée, en phase avec la société et ses aspirations diverses, il y a des sensibilités et des histoires personnelles différentes qui sont à l’origine des engagements en politique, ou dans la vie associative. Cela forme un collectif et chacun joue son rôle, de là ou il est et avec ce qu’il peut apporter. Ce collectif c’est aussi nous ce soir, moi avec vous et vous avec moi, qui pouvons faire avancer les choses. Vous êtes ce qui conforte mon engagement, ce qui le justifie, et qui me donne la force du combat. Vous êtes ce qui donne du sens à l’engagement politique, un collectif dans lequel je me reconnais sincèrement, des personnes avec lesquelles je partage des valeurs fondamentales, l’humanisme, la bienveillance, la solidarité, la défense du bien commun, et les combats au quotidien.

Nous avons de nombreux défis devant nous, le défi de la transition écologique, celui du terrorisme, et celui de nos institutions républicaines pour répondre au besoin de solidarité et de politiques publiques.

Dans ce contexte que nous connaissons, il va falloir travailler dur ces prochaines années, et convaincre, non pas par la force ou l’autorité mais par la détermination et la clarté.

Pour ma part je porte un projet écologiste, que je détaillerai dans les prochaines semaines, je vous propose de vous y associer, nous y reviendrons.

Mais tant que le FN n’est pas battu, je ne voudrais pas que le message soit brouillé, tellement là tout de suite, nous devons être lucides et ne pas nous laisser emporter dans d’autres considérations que celle-là : No pasaran…

Dimanche, je voterai donc Emmanuel Macron, sans ambiguïté aucune, je l’ai dit. Jamais je ne jouerai avec le feu. Jamais. Le FN est un parti d’extrême droite, quels que soient les bobards que ses représentants racontent pour le cacher, c’est un parti nationaliste qui prospère sur la colère et fabrique de la haine. Vous me trouverez toujours debout pour le combattre ».

… « Ensuite et à partir de lundi matin, avec l’espoir que la mobilisation citoyenne ait platement battu Marine Le Pen, je pars en campagne avec le projet de continuer de défendre l’écologie au parlement.

L’écologie pour moi c’est bien entendu la question de cette planète que nous faisons souffrir et qui bientôt ne pourra plus nous donner ce dont nous avons besoin pour vivre, un air respirable, de l’eau potable, une terre fertile.

L’écologie c’est la transition énergétique pour arrêter les émissions de gaz à effet de serre et lutter contre le réchauffement climatique, et sortir du nucléaire. La transition énergétique ça créé de l’emploi, les énergies renouvelables c’est bon pour tout le monde alors il faut accélérer le pas!

L’écologie c’est l’alimentation, la qualité de ce que nous mangeons.

L’écologie c’est là où nous habitons, pour des logements rénovés et en nombre suffisants.

L’écologie c’est la santé, c’est la prévention, éviter les maladies dues aux pesticides, aux pollutions, les cancers et les maladies chroniques qui augmentent d’années en années.

L’écologie c’est l’économie circulaire, c’est l’économie sociale et solidaire.

L’écologie c’est aussi le soutien aux artisans, aux commerçants de proximité, aux petites entreprises, et c’est les soutenir contre la logique des marchés financiers et les concurrences déloyales.

J’en reparlerai ces prochaines semaines.

Mais je veux insister pour dire que l’écologie politique c’est aussi une manière d’agir. Une façon de faire. C’est une éthique. Ce sont des valeurs humaines.

Dans la lutte contre le terrorisme en complément des toutes les actions nécessaires en France, en Europe et dans le Monde pour lesquelles j’ai travaillé ou que j’ai soutenu, l’écologie politique c’est aussi pour moi tout faire pour que nos jeunes ici ne se fassent pas embarquer dans cette folie qu’est l’embrigadement pour DAESH. Il s’agit d’aider les familles, les travailleurs sociaux, les enseignants, pour que cette prévention soit réelle, concrète au plus près de chacun. J’ai beaucoup travaillé sur ces sujets ces dernières années vous le savez. Je veux continuer, c’est trop grave, trop important, trop urgent.

L’écologie politique c’est évidemment mettre au cœur de l’action l’école, la formation tout au long de la vie, la culture, et la vie associative.

Et puis l’écologie politique pour moi c’est savoir travailler collectivement, cela amène de fait à savoir bâtir des compromis, les plus ambitieux possibles certes, mais des compromis pour avancer. Sans brutalité. Lentement mais surement, tenir le cap.

Ces prochaines semaines je ferai des réunions publiques, nous distribuerons des documents de campagne, nous serons actifs sur les réseaux sociaux…Et pour cela, j’ai besoin de vous. Chacun à votre manière, vous pouvez participer « .

Bérengère Noguier, Conseillère départementale, co-présidente avec Amal Couvreur du comité de soutien de Christophe Cavard, et mandataire financier, à ensuite présenté les différentes façons de pouvoir s’investir dans la campagne dès la semaine prochaine. Elle a invité les présents à participer, de différentes manières, selon les possibilités et les envies de chacun(e).

Si vous souhaitez participer: Formulaire à remplir et à renvoyer à legislatives2017@cavard.fr

Amal Couvreur, Vice-Présidente du Conseil Départemental, en charge de la politique de la Ville, et Françoise Bons, Conseillère Régionale et Médecin cancérologue, ont à leur tour témoigné de l’importance de la mobilisation citoyenne dimanche prochain et pour les élections législatives en rappelant leur domaine d’intervention et d’engagements pour des politiques publiques en faveur de la solidarité, du logement, de l’emploi et de la santé.

Un grand merci à Cédric Crouzy et à l’équipe de l’Archipel, pour leur accueil dans ce nouveau lieu nîmois dédié à la coopération et à l’innovation sociétale.

Et Merci Nordine Bader qui pilotera cette campagne électorale, qui démarre dans la convivialité et en musique, pour ne pas se laisser abattre!

Ce mardi 20 avril, Christophe Cavard a échangé avec les jeunes des chantiers nîmois de Présence 30. Ces chantiers s’adressent à des jeunes déscolarisés et les mobilisent en mettant la valeur du travail au coeur du projet ou à des jeunes en recherche d’emplois. 

Dans un premier chantier éducatif, Christophe Cavard a rencontré quatre jeunes de 18 ans qui participent dans une bonne ambiance à la réalisation des chars de la Pégoulade pour la féria 2017. Ils découvrent le monde du travail pour la plupart et sont en attente d’une formation. Les éducateurs et les encadrants Benjamin Canin et Aïcha Bouziane les informent et les orientent vers les différents dispositifs existants comme par exemple la « garantie jeune » ou des immersions en entreprises. Ils sont en contact avec les artistes qui réalisent ces chars, découvrant ainsi leurs métiers.

Dans la prolongation du chantier éducatif, le chantier d’utilité social offre des contrats de travail d’une durée minimum du 4 mois à hauteur de 26 heures par semaine, là encore encadré par des professionnels et des éducateurs qui apportent leur soutien dont ces jeunes ont besoin notamment pour effectuer les démarches administratives, les sensibiliser aux formations possibles et les aider dans leur choix d’orientations  professionnelles pour trouver un emploi adapté ou une formation qualifiante.

Karine Mialon, responsable des chantiers de l’association accompagnait Christophe Cavard lors de son échange avec ces jeunes qui restaurent les parties communes de plusieurs immeubles du bailleur social Habitat du Gard.

Face à une jeunesse parfois confrontée à des réalités difficiles, il faut vivement encourager l’action des éducateurs et des encadrants à travers ces chantiers dont l’objectif est de permettre une action servant avant tout au public concerné mais aussi au collectif.

De nombreux médias ont repris les interventions de Christophe Cavard durant les débats sur le projet de loi de lutte contre la criminalité organisée, le terrorisme et leur financement, et renforçant les garanties de la procédure pénale.

France 24 :
Pour les écologistes, Christophe Cavard a dit la difficulté à trouver « le bon équilibre entre renforcer la sécurité de nos concitoyens et protéger les droits individuels ».

20 Minutes :
« Puisqu’on renforce les contrôles avec le projet de loi de réforme pénale, il faut éviter ce sentiment d’être dans une injustice permanente dans son rapport avec les forces de l’ordre »

NextImpact :
Les forces de l’ordre devraient au contraire « apprécier, non pas que l’on ait un doute sur leur capacité à bien faire le contrôle, mais précisément que le contrôle se passe bien, des deux côtés, et que la situation soit apaisée – y compris pour elles – au moment du contrôle ».

Le Figaro :
Pour les écologistes, Christophe Cavard a dit la difficulté à trouver « le bon équilibre entre renforcer la sécurité de nos concitoyens et protéger les droits individuels »

Enfin, Christophe Cavard répondait, sur LCP, à Pierre Lelouche :

Mardi 9 février, Christophe Cavard est nommé secrétaire de la commission d’enquête parlementaire relative aux moyens mis en œuvre par l’État pour lutter contre le terrorisme depuis le 7 janvier 2015.

Depuis 2013 ou il a présidé la commission d’enquête sur le fonctionnement des services de renseignement français dans le suivi et la surveillance des mouvements radicaux armés, déclenchée après les attentats de Toulouse perpétrés par Mohammed Merah, Christophe Cavard souhaite continuer de travailler pour agir sur les causes du terrorisme.

« Je m’intéresse à ces sujets car je souhaite y apporter une vision de la société qui puise dans ce qu’est l’écologie politique :  une prise de conscience des réalités et une volonté d’agir pour protéger et prévenir.
Face au terrorisme, cette volonté de protéger et de prévenir tout en étant dans le réel est une marque de cohérence. C’est bien une politique de long terme qu’il nous faudra mener pour prendre en compte des risques qui se présenteront vraisemblablement à nous pour des décennies.

C’est pour cette raison que j’ai également participé en 2015 à la commission d’enquête parlementaire sur la surveillance des filières et des individus djihadistes. Cette nouvelle commission d’enquête, qui s’ouvre après les attentats de novembre 2015, devra travailler sur les moyens donnés à la lutte contre le terrorisme après les événements de novembre.

J’y défendrai notamment la nécessité de partir de la perception de la société quant aux mesures à prendre pour se protéger, sans rien lâcher de nos libertés. J’y défendrai également la nécessité de favoriser les stratégies de prévention de la radicalisation. J’ai demandé à ce sujet au Ministre de l’Intérieur une mission parlementaire sur la mise en place d’une brigade d’éducateurs spécialisés sur les processus de radicalisation, proposition issue de la commission d’enquête précédente.

Je ferais également en sorte que cette nouvelle commission travaille sur l’organisation et les moyens des services de renseignement au niveau européen. Les récents événements en Belgique nous montre l’urgence d’une stratégie d’intégration européenne en la matière. »

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La commission est présidée par Georges Fenech, ancien magistrat, député du Rhône. Son rapporteur en est Sébastien Piétrasanta, député des Hauts-de-Seine.

Vous pouvez retrouvez les travaux publics de la commission d’enquête parlementaire sur le fonctionnement des services de renseignement français dans le suivi et la surveillance des mouvements radicaux armés ici :
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/154000186/index.shtml

Et les travaux de la commission d’enquête parlementaire sur la surveillance des filières et des individus djihadistes ici :
http://www2.assemblee-nationale.fr/14/autres-commissions/commissions-d-enquete/surveillance-des-filieres-et-des-individus-djihadistes

Ce document d’une dizaine de minute a été  diffusé à l’ensemble des membres de la mission de réflexion « Engagement citoyen et appartenance républicaine », présidée par M. Claude BARTOLONE, président de l’Assemblée nationale.

Christophe Cavard a initié sur sa circonscription une série de rencontres, intitulées « Après Charlie, Dessinons notre avenir » pour mettre des mots sur l’émotion vive qui a fait suite aux drames vécus en ce début d’année et enclencher des actions en bonne coordination avec différents acteurs locaux ou citoyens qui veulent s’engager.

Maître Aoudia, avocate pénaliste au barreau de Nîmes a accepté d’enrichir son intervention partagée lors d’un 1ère rencontre début février à Nîmes à laquelle elle avait participé au travers d’un document vidéo réalisé par mon équipe

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Ce petit documentaire a valeur de témoignage d’une professionnelle en prise direct avec une population fragilisée pour laquelle la question du « vivre ensemble » reste entièrement ouverte.

Cette rencontre qui a eu lieu le 2 février 2015 au café Olive à Nîmes avait pour but d’ouvrir le dialogue, y compris sur des thématiques qui peuvent paraître difficiles, pour ne pas laisser sans suite le drame du 7 janvier dernier.
Il ne s’agissait pas d’écouter un discours politique, mais plutôt d’échanger et de partager ensemble, autour de ce qui découle de cet événement, dans un cadre général forcément nécessaire.
Un public le plus large possible était invité à se retrouver pour dialoguer autour de cette question : « qu’est-ce qu’être Charlie ? ».

Maître Khadija Aoudia, avocate au barreau de Nîmes, et Japida, dessinateur d’humour nous font part de leur vision des débats dans cette vidéo.

Pour la deuxième fois, le député de la majorité n’accordera pas sa confiance au gouvernement Valls. 

“Nous avons été élus en 2012 sur un contrat de majorité qui est remis en cause aujourd’hui“, reconnait le député EELV Christophe Cavard. Dans le Gard, l’écologiste et le socialiste Patrice Prat font partie de la polémique bande des “frondeurs”. En avril, Christophe Cavard n’a pas accordé sa confiance au gouvernement Valls I et n’a pas voté le programme de stabilité. Il s’est aussi abstenu sur le budget rectificatif du 1 juillet et a carrément voté contre le budget rectificatif de la sécurité sociale du 8 juillet. Arrivé à mi-mandat, le Gardois confie “avoir des doutes sur la politique de François Hollande qui est en rupture avec ses promesses de 2012“. Et d’en vouloir pour preuve : le pacte de responsabilité et le CICE, “des chèques en blanc fait aux entreprises qui bénéficient d’aides de l’état sans contreparties. L’entreprise Sanofi en profite et ça ne l’empêche pas de licencier“.

Si rupture il y a, le divorce n’est pas pour autant consommé. Christophe Cavard a annoncé  ne pas voter la confiance du gouvernement Valls II mardi prochain  : “Moi je fais partie des abstentionnistes. Quand on vote contre, on espère faire tomber le gouvernement. Lorsqu’on s’abstient on continue de croire que l’on peut travailler ensemble“.

Pour l’instant, Christophe Cavard dit garder “l’espoir” de faire changer le gouvernement d’orientation en lui accordant une sorte de “dernière chance” à l’occasion du vote du budget 2015 en novembre. “Nous devons trouver une large majorité pour faire changer le gouvernement d’orientation. Si le Parlement parvient à mettre en minorité le gouvernement, que cela soit en s’abstenant, en votant contre un projet ou en adoptant un amendement contre l’avis du gouvernement, Hollande pourra réagir de différentes façons. Soit il change de Premier ministre pour changer d’orientation, moi c’est ce que j’espère, soit peut dissoudre l’Assemblée. Dans ce cas là ça ne me fais pas peur“.

Retour aux sources 

En attendant, l’écologiste veut renouer avec le terrain. Une façon de s’assurer un avenir politique ? “Pas du tout. Je veux débattre avec les électeurs écologistes et aussi les socialistes qui ont voté pour moi dans le cadre de l’accord avec le PS. J’ai des doutes et j’ai besoin aussi de prendre leur avis“. A la fin du mois, le député délocalise sa permanence au Mas de Mingue pour “travailler à la mise en oeuvre de projets, comme la rénovation du stade”. Le parlementaire a aussi mis à disposition des associations de sa circonscription ses 130 000 euros de réserve parlementaire afin de financer des projets associatifs. “Ce sont déjà des choses concrètes qui atténueront la colère“, pense le Gardois.

Coralie Mollaret