en Circonscription – Eric Alauzet http://www.alauzet.net Député du Doubs Mon, 30 Apr 2018 12:43:44 +0200 fr-FR hourly 1 Journée Duoday du handicap : Eric Alauzet forme un duo avec Christophe Monange http://www.alauzet.net/journee-duoday-du-handicap-eric-alauzet-forme-un-duo-avec-christophe-monange/ http://www.alauzet.net/journee-duoday-du-handicap-eric-alauzet-forme-un-duo-avec-christophe-monange/#comments Fri, 27 Apr 2018 15:27:11 +0000 http://www.alauzet.net/?p=15944 En France, 12 millions de personnes sont touchées par le handicap. 80% de ces handicaps sont invisibles. Les causes de cette situation sont diverses et peuvent provenir de la naissance, d'une maladie, d'un accident ou encore de la vieillesse. ...]]>

En France, 12 millions de personnes sont touchées par le handicap. 80% de ces handicaps sont invisibles. Les causes de cette situation sont diverses et peuvent provenir de la naissance, d’une maladie, d’un accident ou encore de la vieillesse.

Aujourd’hui, elles ne sont plus taboues et force est de constater que le handicap est une part de la diversité de notre société. Mais le handicap, comme toute autre différence, pose la question du regard. Ce regard porté par nos concitoyens peut faire oublier un handicap ou bien le rappeler sans cesse.

L’initiative Duoday permet à tous les français qui le souhaitent, chefs d’entreprise, salariés, collectivités, associations, sportifs, artistes, élus, ministres, médias, de constituer un duo avec une personne en situation de handicap. 

Dans cette logique d’échanges, chacun à beaucoup à apprendre de l’autre. Ce binôme permet de mettre au cœur de l’activité de nos concitoyens, pour une journée, la personne en situation de handicap. Au delà de l’objectif de communication positive, l’opération vise à faciliter l’inclusion des personnes handicapées dans le monde du travail, en créant les conditions d’une mise en situation des personnes handicapées dans l’emploi.

Dans le cadre de cette journée Duoday invitant à partager son temps avec une personne en situation de handicap, et en partenariat avec l’AFTC Bourgogne Franche-Comté, Eric Alauzet a accueilli à sa permanence parlementaire Christophe Monange, Président de l’association AVC ait et après. L’occasion de découvrir son activité de Député ainsi que celle de ses collaborateurs.

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Compte-rendu du débat public régional sur la Programmation Pluriannuelle de l’Energie http://www.alauzet.net/compte-rendu-du-debat-public-sur-la-programmation-pluriannuelle-de-lenergie/ http://www.alauzet.net/compte-rendu-du-debat-public-sur-la-programmation-pluriannuelle-de-lenergie/#comments Tue, 24 Apr 2018 15:39:02 +0000 http://www.alauzet.net/?p=15908 120 personnes étaient présentes pour assister au débat public portant sur l’entreprenariat et le financement de la transition énergétique co-organisé par la CNDP et Éric Alauzet, député du Doubs. ...]]>

120 personnes étaient présentes pour assister au débat public portant sur l’entreprenariat et le financement de la transition énergétique co-organisé par la CNDP et Éric Alauzet, député du Doubs.

La courte vidéo Motion design du débat a été présentée en introduction. Jacques Archimbaud a introduit et proposé en fin de réunion une première synthèse des échanges.

Éric Alauzet a précisé l’objectif de la rencontre, centré sur la mise en valeur de la parole des entrepreneurs, l’explication de difficultés qu’ils ont pu rencontrer, comment ils les ont dépassées, et quelles sont leurs propositions pour l’avenir. Il a indiqué que la programmation pluriannuelle de l’énergie organisait des séquences pour préciser la maquette énergétique : comment avancer, concrétiser les ambitions de la transition énergétique à des échéances courtes ?

Onze projets de taille différentes ont été présentés. Ces porteurs de projets sur la région Bourgogne-Franche-Comté ont ensuite échangé avec des représentants de collectivités et des financeurs de projets privés et publics.

 L’importance de projets ancrés localement

Les échanges ont porté sur la nécessité de développer la confiance à partir d’un projet local. La transition énergétique passe par une aspiration locale forte et des partenariats pour développer des projets adaptés au territoires (en termes de type d’énergie, de développement de réseaux).

Durant le débat, on pointe une inquiétude sur l’égalité des territoires sur le développement de projets ENR : est-ce qu’on sera en mesure de développer des projets sur la région Bourgogne-Franche-Comté(BFC) ? Lors du 1er appel d’offres sur l’éolien, un territoire a été désigné lauréat en Bourgogne. Mais, pour être rentables, les projets doivent trouver un équilibre : être décentralisés mais avec des tarifs maitrisés. Les territoires sont inégalement dotés en soleil et en vent. Mais les schémas de soutien (tarif d’achat comme marché + prime) sont les mêmes sur tout le territoire. Les tarifs doivent être utiles au lancement d’une filière. Il faut également que chaque territoire joue ses principaux atouts. Ici, c’est le bois, les déchets du bâtiment (pour la pyrogazification par exemple), le vent, la méthanisation agricole ou non, entre autres.

La transition énergétique s’incarne en effet dans un territoire, elle n’est pas éthérée. Par exemple, en Côte d’or, l’objectif d’autonomie est de 14% et repose à 82% sur le bois chaleur. Le Conseil départemental soutien les communes et les communautés de communes qui implantent des chaufferie bois. Le bilan est jugé intéressant : sur l’économie de CO², le développement de l’emploi local, la création de nouveaux métiers, le regroupement d’entreprises. Mais la plupart des chaudières de grande taille sont importées et on ne peut économiquement développer le bois que dans une aire limitée, sinon le coût de transport devient prohibitif. Il faut aussi définir un plafond de prélèvement pour ne pas épuiser la ressource (le département est couvert à 36% de forêt). Le Département est également très ouvert à la méthanisation. Avec les bailleurs sociaux, il mène une politique d’économie d’énergie sur les grands ensembles. Les aides apportées permettent d’aller voir les financeurs.

Il s’agit également de mieux faire accepter les projets localement. 75% des projets éoliens sont soumis à un recours, mais 75% de ceux-ci sont ensuite acceptés. Il s’agit de développer des projets impliquant les citoyens, répondant à l’aspiration d’une partie de la population à participer à la transition énergétique. La transition énergétique est une mutation culturelle qui doit être accompagnée :  il y besoin d’investissements humains, c’est-à-dire d’accompagnements, de prestations intellectuelles (qui ne sont pas forcément aidées ni prises en compte).

Il faut 7 à 8 ans pour concrétiser un projet éolien : on est sur un temps qui n’est quasi pas entrepreneurial. Les projets sont longs à émerger et nécessitent de solides compétences techniques ainsi que des capacités financières importantes. Ces compétences sont à développer, notamment du côté des financeurs (mieux comprendre pour mieux choisir et mieux accompagner). Il est clair que ces compétences, par exemple sur la méthanisation, ne vont pas de soi pour les banques qui doivent mobiliser les compétences nécessaires. Les grandes institutions elles-mêmes ont dû changer fortement leurs logiciels. Mais on reconnait une capacité régionale à se mettre autour de la table pour étudier des projets, des montages financiers sur la base de projet techniquement validés.

Partager le risque

Il a été question du partage du risque dans le développement des projets d’énergie renouvelable. Ils nécessitent de l’innovation en recherche et développement, mais également du foncier, dimension qui n’est pas forcément toujours prise en compte. Des outils d’aides ont été évoqués : un club des financeurs des énergies renouvelables, des fonds de garantie, la régionalisation des aides, l’adaptation et la sollicitation des produits d’épargne. L’épargne longue est la mieux adaptée pour venir à la rencontre des projets d’investissement, les prêts pesant fortement sur l’exploitation dans la phase de montée en puissance des projets. Les participants indiquent que le secteur est en croissance soutenu. Le soutien bancaire se renforce : par exemple, la banque populaire aide pour 1,6 milliard le développement des ENR dans l’éolien et le solaire et, d’ici à 2020, elle a la volonté d’atteindre 10 milliards.

Pour aider ce développement local, il manque encore un parcours. Il s’agit d’optimiser le risque pour mieux financer. On a besoin de diviser le risque sur les gros projets pour aider aussi ensuite les petits projets. Dans le cadre de gros investissements, il faut également faire attention à ne pas mettre en difficulté le porteur de projet. Il est nécessaire d’avoir à ses côtés une expertise forte en ne fragilisant pas le premier métier de l’entreprise. Puis, pour la stabilisation du projet, le volet technique est important.

Des structures sont à développer, notamment les SEM ou les SCIC pour développer une gouvernance de l’énergie sur le territoire pour ne pas se disperser et être plus efficace. On a besoin de passer d’une économie industrielle à une économie sociétale. Pour cela, il semble qu’il manque un animateur permanent.

La donne est en train de changer. On passe d’un modèle très centralisé à un modèle déconcentré. L’élargissement du partenariat local est une clé pour limiter et partager les risques : institutions, banques, fonds spécialisés, entreprises, citoyens impliqués.

Les institutions s’adaptent : la Caisse des Dépôt envisage d’être plus présente dans les SEM départementales.

Le financement citoyen se développe mais cet investissement citoyen n’est pas si simple. Sur la levée de fonds, le bonus-malus prévu dans l’AO est rigide et les seuils trop élevés. Le crowdfunding montre actuellement ses limites. Il faut également s’interroger sur le périmètre géographique des citoyens intéressés, peut-être l’élargir.

Le soutien sous forme de coup de pouce des collectivités publiques existe, malgré la baisse de leur capacité à intervenir financièrement.  Les collectivités indiquent qu’elles manquent d’une reconnaissance financière sur l’appui au développement des ENR. La taxe IFER est répartie entre les EPCI et le département, elle pourrait être redistribuée un peu aux communes. En outre, la nouvelle règle de fonctionnement qui consiste à ne pas dépasser 1,1% d’augmentation de charges empêche tout recrutement sur le volet ENR. Si une part des 5% de la taxe carbone revenait aux collectivités territoriales, cela aiderait les collectivités. Éric Alauzet souligne que les collectivités doivent arbitrer différemment pour permettre le soutien aux ENR dans le périmètre de leur budget.

Des arbitrages sont de toute façon nécessaires en termes d’énergie, de priorité de réseaux et de mobilisation de fonds. A titre d’exemple, la méthanisation a été régulièrement évoquée. Elle sera agricole à 90%. C’est un enjeu de territoire : réussir à rejoindre les intérêts urbains et ruraux. Il faut que le réseau soit fait pour collecter les productions de méthane. Un droit à l’injection est donc à construire. Cette réflexion est en cours dans le cadre d’un groupe de travail piloté par le secrétaire d’Etat Sébastien Lecornu. Si on doit construire un réseau, on l’estime à 2 milliard d’euros.

Des freins repérés

Les participants notent des limites dans l’ingénierie financière et les montages financiers : les capacités des fonds de garantie sont insuffisantes et certaines limites imposées par la régulation européenne (règle des minimis) contraignent le développement des plus gros projets. La question de la baisse des tarifs liés aux appels d’offres limite le développement des énergies renouvelables.

On a des tarifs très bas, mais les porteurs qui répondent avec un prix très bas ne font jamais leurs projets. Sur les appels d’offres CRE1 à CRE4, on a désigné 80 projets, mais 10 seulement ont vu le jour. Il faudrait mettre plus de mégawatt : sur CRE5, les projets sont de 10 mégawat, c’est trop petit, il faut augmenter la capacité.

Un facteur clé de succès de la PPE, c’est le cout final des ENR. Celui-ci est extrêmement lié à l’évolution des taux à long terme puisque les ENR sont financées à 85% des investissements par la dette bancaire. Le succès repose donc sur des taux très bas, mais il est probable que les taux long termes remontent, ce qui constituerait un frein majeur au développement des objectifs de la PPE. Il manque donc un acteur qui va refinancer, c’est le modèle en Allemagne.

D’une manière plus générale la stabilité réglementaire apparaît comme essentielle pour la réussite des projets. De nombreuses interventions ont souligné l’importance de la mobilisation civique, de l’économie sociale et solidaire, et des TPE d’ancrage local. Mais les « nouveaux entrants » dans le système doivent être soutenus et encouragés, faute de quoi le financement des citoyens et des collectivités locales restera marginal.

Conclusion

En conclusion le Vice-Président de la CNDP a rappelé que les besoins de financement seraient tels pour la prochaine PPE (doublement nécessaire) qu’on ne pourrait se passer d’aucune initiative. Il a rappelé également que certes la question des relations entre porteurs de projets et financeurs était importante mais que la question essentielle restait celle des changements de comportement de consommation de nos concitoyens. À partir de là, c’est toute une batterie de politiques publiques et d’initiatives privées qui devront être mobilisée pour une fiscalité adaptée, une politique des prix pertinente, une tarification acceptable.

Éric Alauzet a souligné que la nécessaire massification des ENR ne peut passer par le même niveau d’effort public. L’argent public se fait rare, il faut développer de nouvelles solutions, une culture collective. Il a entendu lors de cette rencontre une ode aux territoires, une prise de pouvoir par les territoires sur la question des ENR qui ont la capacité et aspirent à une mobilisation globale pour faire exister les projets localement.

Les projets présentés

  • L’entreprise Bonnefoy a présenté son projet SINNOV portant sur le traitement thermique des déchets par gazéification (production d’énergie électrique et de chaleur à partir des déchets du bâtiments le plus souvent orientés vers l’enfouissement). La rentabilité de ce type de projet est problématique. Les tarifs de rachat ont permis de sécuriser le business plan, mais ceux-ci ont été supprimés. L’entreprise souhaite donc soit un retour des tarifs de rachat ou bien la création d’appels d’offres spécifiques sur des projets innovants pour sécuriser le financement à l’amorce du projet. Le tarif appliqué à l’enfouissement de ces déchets pose la question de la trajectoire de la TGAP.
  • Papeteries – Laurent Grenier. Pour la papeterie Gemdoubs, l’énergie est le 2e poste de coût dans l’entreprise. Pour le réduire et le verdir, l’entreprise a créé une centrale de 20 mégawatt qui produit de l’électricité et de la vapeur (utilisée pour sécher le papier) à partir de la biomasse. Il s’agit d’un chantier de 87 millions d’euros. Le projet a connu des soubresauts : initié en 2006-2007 puis arrêté à deux reprises, il est en cours depuis 2 ans. Il faut une volonté forte, un partenaire compétent, un soutien moral des collectivités et le bras financier de l’Etat.
  • Méthanisation – Desessard / Cugnot. Les projets de biométhane sont onéreux et se mettent en place dans un secteur agricole en crise. Ils concernent des acteurs privés qui gèrent par ailleurs une autre activité agricole, qui est leur activité principale. On dénombre 44 projets qui fonctionnent en France dont 3 en BFC : il en faudrait 5000. L’une des difficultés, c’est donc le financement : les aides à la transition énergétiques sont insuffisamment ciblées sur le biométhane (100 millions d’euros sur 8 milliards d’aide). Pourtant, le gaz peut répondre à la moitié de la demande hivernale : il est donc important qu’il se décarbone et devienne renouvelable. Il faut que l’ensemble des acteurs se structurent pour traiter les dossiers clés : gouvernance, étude des dossiers, sécurisation des entrants… il faut aussi des fonds de garantie (BPI, CDC).
  • Grand Besançon – Céline Boucheron. Les élus ont voté un plan climat en 2015, pour aller vers un territoire à énergie positive en 2050 par le développement des énergies renouvelables. La région a été lauréate de 2 appels à initiatives. Elle a pu orienter 2 millions d’euros sur le développement des modes doux. Elle aide à l’investissement. Elle expérimente des groupements d’entreprises pour massifier la rénovation thermique. : proposer des travaux cohérents, orienter les particuliers vers une rénovation basse consommation, convaincre, accompagner le changement, et mettre en relation l’offre et la demande.
  • L’entreprise Bourgeois est positionnée sur l’outillage de découpage pour transformer l’acier magnétique. En tant que fournisseur des constructeurs automobiles, l’entreprise « subit un véritable tsunami» : la production doit être revue, les rotor-stators deviennent plus précis pour accompagner la mutation vers l’electro-mobilité. Cela implique :
  • Le renouvellement complet du parc de machines de la société pour aller vers des chaines de côte et une tolérance sur l’efficience jamais atteinte. Le niveau d’investissement qui était d’environ 4% du chiffre d’affaires sur 5 ans, va grimper à 15%. La BPI accorde un prêt vert avec un taux bonifié sur 50% de la valeur d’investissement de ces équipements.
  • Le développement de la recherche et du développement pour répondre aux nouvelles exigences des clients. La R&D est soutenue par BPI (subvention et avance remboursable)
  • Les besoins en expansion foncière (réhabilitation de bâtiments pour accueillir les nouvelles machines, construction) ne sont pas aidés financièrement pour Les ETI (plus de 250 salariés). En outre, la règle européenne des minimis (pas plus de 200k€ d’aides publiques sur 3 ans) est une contrainte lourde.
  • MW Energie : Thibault Maniglier. Megawatt Energie, c’est 3 centrales hydroélectriques et un parc éolien. Les risques sont très élevés sur la phase de développement dans l’éolien. Pour ce projet, l’entreprise a déjà dépensé 400k€ sur le développement sans être sûre d’aller au bout. Il faut passer les autorisations administratives, et se faire accepter localement, donc adapter le projet au niveau local. L’entreprise souhaite partager les richesses, en faisant le pari que l’acceptation sera meilleure et mise sur un relais de partenariat local : les élus, les bureaux d’études locaux. L’entreprise a la volonté d’ouvrir la gouvernance des projets aux citoyens et aux élus locaux, mais le calendrier d’ouverture du capital pose problème puisqu’il pourrait faire peser le risque sur -parfois- 40 administrés, ce qui n’est pas possible. Il faut donc trouver des voies pour faciliter cette ouverture du capital.
  • Jurascic est une coopérative sur financement participatif. Sur la commune de Chamole, Jurascic achète – avec une SEM – une éolienne dans un parc de 6. L’entreprise cherche à acquérir dans l’existant, mais également à s’impliquer dans des projets à développement proche. Elle souhaite que le financement citoyen devienne un réflexe, et que soit mieux travaillée la question de la garantie financière et de la couverture de coûts à engager sans assurance de succès, dans un domaine très capitalistique.
  • 35 associés au départ, plus de 170 aujourd’hui. L’entreprise exploite 4 petites centrales hydroélectriques et une solaire. L’électricité produite devrait couvrir la consommation de 1300 ménages (hors chauffage électrique). L’intuition de départ – le projet a 8 ans – c’est de développer en France ce qui se fait régulièrement en Allemagne. Les atouts repérés par l’entreprise sont la confiance des banques et celle des sociétaires : un ancrage local qui permet d’optimiser les coûts, de faire travailler local, de faire mûrir des projets moins chers. Une structure qui a réussi une mode de fonctionnement réactif, ce qui est important dans ce domaine.
  • La fruitière à énergie. Une société qui mobilise la société humaine locale : faire participer ensemble les acteurs. L’entreprise a fait le choix d’être en SAS, avec statut ESUS (Entreprise Solidaire d’utilité sociale). 7 communes et un syndicat ; 51% actions impartageables. Elle bénéficie du soutien d’un fonds de confiance. La problématique que soulève l’entreprise est celle d’un manque de soutien dans la phase d’animation.
  • Anne Vignot, adjointe au Maire de Besançon. Monter des supports juridiques pour développer des politiques avec un partenariat public, privé mais incluant aussi avec des citoyens. La Ville de Besançon est historiquement sur le bois Energie, s’intéresse depuis plus récemment à l’autoconsommation. Chaque fois qu’on lance une politique, elle est débordée et on en trouve les limites. Les collectivités sont de « faux entrepreneurs ». Elles sont obligées de constituer d’autres structures comme des SEM. La collectivité doit entrer dans une nouvelle culture… c’est toujours long de changer de culture.
  • Benoit Bourgeois. La complexité administrative freine le déploiement des projets. Les dossiers de subvention pour les particuliers, sont vraiment compliqués. Malgré un accompagnement, une grande majorité ne vont pas au bout de leur démarche par découragement. Du côté des entreprises, c’est l’obtention du label RGE qui s’avère compliqué et cher (temps passé) pour les petites entreprises. Les petites entreprises connaissent également des problèmes de trésorerie puisqu’ils sont payés à la toute fin des travaux. Il faudrait que l’ingénierie financière soit mieux accompagnée. Un packaging complet serait intéressant, permettrait d’aller au terme du dossier.
  • Pole Energie de Franche-Comté. On finance des travaux mais sans penser à la production intellectuelle. Une réflexion sur les usages et la sobriété énergétique. Il faudrait un guichet unique indépendant pour subventionner les prestations intellectuelles pour des travaux de meilleure qualité.
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Un « Propulseur » en Bourgogne-Franche-Comté : accélérateur de développement pour startups et entreprises innovantes http://www.alauzet.net/un-propulseur-en-bourgogne-franche-comte-accelerateur-de-developpement-pour-startups-et-entreprises-innovantes/ http://www.alauzet.net/un-propulseur-en-bourgogne-franche-comte-accelerateur-de-developpement-pour-startups-et-entreprises-innovantes/#respond Fri, 20 Apr 2018 15:09:14 +0000 http://www.alauzet.net/?p=15870 Accélérer l'innovation et individualiser l'accompagnement des start-ups en devenir ou des entreprises innovantes, notamment dans le secteur bio médical : le nouveau dispositif d'accompagnement dans le cadre du réseau Health Tech a été présenté mardi 17 avril 2018 à Témis Innovation à Besançon.  ...]]>

Accélérer l’innovation et individualiser l’accompagnement des start-ups en devenir ou des entreprises innovantes, notamment dans le secteur bio médical : le nouveau dispositif d’accompagnement dans le cadre du réseau Health Tech a été présenté mardi 17 avril 2018 à Témis Innovation à Besançon. 

 

Depuis 2016, au titre de la French Tech pour la Bourgogne-Franche-Comté, Besançon a intégré le réseau #Health Tech qui valorise les territoires les plus dynamiques en matière d’innovation et de création de startups dans le domaine de la santé. La labellisation French Tech s’appuie sur un plan d’actions à 5 ans, validé par l’État et destiné à renforcer l’écosystème de l’innovation en région.

En réponse, le Pôle des Microtechniques a créé une commission composée de startups qui pilote la démarche sur le territoire. Elle anime et fédère l’écosystème et met en œuvre des actions concrètes conçues par des startups pour des startups. Prenons l’exemple des «apéros-challenges» qui permettent à un créateur de startup d’être confronté à des experts et dirigeants d’entreprise passant au crible son projet sous les angles business, marketing, juridique, technologique, capacité à lever des fonds, etc.

Cette commission pose le diagnostic mais n’apporte pas tous les moyens aux porteurs de projet pour résoudre leurs problématiques. Propulseur est donc né de cette analyse et vise à compléter et améliorer les services des dispositifs d’accompagnement existants.

Propulseur, mis en place par le Pôle des Microtechniques, propose un accompagnement intense et sur mesure aux startups et entreprises innovantes plus anciennes sur une période très courte, qui va de trois à dix-huit mois. Il s’agit de proposer un parcours d’innovation structuré, efficace, rapide pour accélérer la mise sur le marché des produits et services.

Des solutions sont apportées pour toutes les phases du développement de l’entreprise, allant de la propriété intellectuelle à l’organisation interne, aux financements, à l’industrialisation du produit en passant par l’international…

 

Un appel à candidature est d’ores et déjà ouvert aux startups et entreprises innovantes depuis le 17 avril 2018 pour intégrer le dispositif. L’objectif pour ces entreprises est d’accéder plus rapidement à l’industrialisation des produits et services. Mais ‘Propulseur’ est également dédié aux entreprises en croissance qui souhaitent accéder à de nouveaux marchés ou se diversifier en sécurisant leur innovation. Sur l’ensemble de la Bourgogne-Franche-Comté, une douzaine devraient intégrer le dispositif dès la première année.

Plus d’information sur le site de « Propulseur »

 

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Inauguration d’une « Ecole de Production » à Palente http://www.alauzet.net/inauguration-dune-ecole-de-production-a-palente/ http://www.alauzet.net/inauguration-dune-ecole-de-production-a-palente/#respond Fri, 20 Apr 2018 15:08:26 +0000 http://www.alauzet.net/?p=15875 Le député a participé lundi 16 avril à l’inauguration des 1000 m² de l'Ecole de Production de Besançon, sur la zone industrielle de Palente, dans les anciens locaux de Polycaptil. ...]]>

Le député a participé lundi 16 avril à l’inauguration des 1000 m² de l’Ecole de Production de Besançon, sur la zone industrielle de Palente, dans les anciens locaux de Polycaptil.

L’école de production de Besançon est un établissement fondé par l’UIMM Franche-Comté en octobre 2017 (et basé jusqu’au mois dernier à Thémis), qui vise à insérer et former par l’activité professionnelle les « décrocheurs du système scolaire » de 15 à 18 ans, tout en répondant aux besoins des entreprises du bassin de Besançon, en particulier dans la mécanique et l’usinage.

Pour ce secteur de l’usinage, par exemple, il est prévu 250 à 500 embauches sur le bassin d’emploi de Besançon en 2018 (estimations fournies par l’Observatoire de la métallurgie), pour lesquelles les entreprises peinent souvent à trouver des candidats, au point parfois de devoir renoncer à des marchés.

Le recrutement pour intégrer l’Ecole de Production se fait via les maisons de quartier et la Mission Locale.

L’École de Production est un établissement privé à but non lucratif, déclaré auprès du rectorat, habilité à délivrer des diplômes d’Etat (CAP, Bac Pro). Il existe en France 25 Ecoles de Production (une autre en Franche-Comté à Dôle), dont 6 qui ont ouvert leurs portes à la rentrée 2017.

A Besançon, 9 élèves sont d’ores et déjà accueillis en 1re année de CAP « métier de conducteur d’installation de production », avant d’accéder au Bac Pro « Technicien d’usinage ». A terme, l’école formera 40 élèves par an. L’encadrement et l’équipe pédagogique compteront 7 à 8 personnes en CDI.

Le principe des Ecoles Pédagogiques consiste à travailler en situation de production réelle pour le compte des entreprises. Sous la tutelle de maîtres professionnels, les élèves répondent à de vraies commandes, selon les règles et les rythmes du marché. L’approche pédagogique complémentaire vise à développer les savoir-être et à renforcer la confiance en soi des jeunes. Le ratio temps passé en atelier / théorie est de 80/20.

La quasi totalité des jeunes ayant suivi ce type de formation trouvent un projet professionnel et intègrent le marché du travail dans les 4 mois suivant la fin du cursus.

A noter la proximité de l’Ecole de Production avec l’école dy chef Thierry Marx, qui développe des principes pédagogiques simimlaires pour le secteur de la restauration.

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Nette embellie sur le champ de l’emploi pour le bassin de Besançon et en Bourgogne-Franche-Comté http://www.alauzet.net/nette-embellie-sur-le-champ-de-lemploi-pour-le-bassin-de-besancon-et-en-bourgogne-franche-comte/ http://www.alauzet.net/nette-embellie-sur-le-champ-de-lemploi-pour-le-bassin-de-besancon-et-en-bourgogne-franche-comte/#respond Fri, 20 Apr 2018 15:06:38 +0000 http://www.alauzet.net/?p=15888 Pôle Emploi a présenté le 13 avril dernier les résultats et perspectives de l'emploi sur le bassin de Besançon. D'après l'enquête annuelle qui porte sur les projets de recrutement des entreprises, 23,5% des établissements ont déclaré avoir des perspectives d'embauches en 2018. Ils étaient 20,9% en 2017. ...]]>

Pôle Emploi a présenté le 13 avril dernier les résultats et perspectives de l’emploi sur le bassin de Besançon. D’après l’enquête annuelle qui porte sur les projets de recrutement des entreprises, 23,5% des établissements ont déclaré avoir des perspectives d’embauches en 2018. Ils étaient 20,9% en 2017.

Le directeur territorial Doubs / Territoire de Belfort, Eric Schmidt, a indiqué :  » On est toujours sur l’embellie de 2017. Une bonne partie des emplois qualifiés ont trouvé preneurs. On se retrouve avec des emplois de moins en moins qualifiés pour répondre à une demande des entreprises de plus en plus conséquente. On est sortis de la période où il fallait juste publier une annonce pour trouver des candidats à l’emploi. Les entreprises s’adaptent à une demande moins importante« .

Les 10 métiers les plus difficiles à recruter sur le bassin d’emploi de Besançon seront les suivants :

1 : employés de ménage et personnel de ménage

2 : bouchers

3 : représentants auprès des particuliers

4 : couvreurs

5 : ouvriers qualifiés travaillant par enlèvement de métal (moulistes, usineurs)

6 : masseurs-kinésithérapeutes, diététiciens

7 : mécaniciens et électroniciens de véhicules

8 : employés de l’hôtellerie

9 : conducteurs de taxis, ambulanciers

10 : ouvriers non qualifiés travaillant par enlèvement ou formage de métal

 

A l’échelle régionale, ce sont 22,7% des entreprises qui envisagent de recruter, surtout dans l’agroalimentaire, l’agriculture et la construction.

Par rapport à l’année, dernière, le volume des offres collectées par Pôle Emploi a augmenté de 25%, tandis que le nombre de demandeurs d’emploi a baissé de 4%. (Pour rappel, il y a 250 000 chômeurs toutes catégories confondues en Bourgogne-Franche-Comté).

Le secteur de l’intérim a lui progressé en région de 16,7% en février 2018 par rapport à février 2017, selon le baromètre Prism’emploi de la profession. Il s’agit de la progression la plus importante de toutes les régions françaises. Dans le Doubs, elle atteint même 30%. Les secteurs d’activités qui enregistrent les plus fortes hausses sont les transports (+27 %), l’industrie (+19 %) et le commerce (+10 %). La hausse est en revanche plus modérée pour les services (+5 %) et le BTP (+2 %). A noter que l’industrie a recours à l’intérim dans une proportion qui atteint 70 % de ses effectifs.

Les ouvriers non qualifiés (50,8 %) et qualifiés représentent d’ailleurs plus de 80 % des profils sous contrat.

Ces résultats encourageants sur le front de l’emploi donnent tout leur sens aux mesures mises en place par le gouvernement pour favoriser la formation des demandeurs d’emploi. Comme l’a indiqué le directeur régional de Pôle Emploi, Frédéric Danel, ce sont « 26 millions d’euros que l’Etat consacrera en Bourgogne-Franche-Comté à la formation et à l’accompagnement des demandeurs d’emploi. Dans les faits, cela représentera 24 000 formations« . A noter que 4 fois sur 10, un demandeur d’emploi qui retrouve un contrat le fait dans un métier différent de celui qu’il occupait avant d’être au chômage.

 

 

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Besançon retenue dans le Programme « Action cœur de ville » http://www.alauzet.net/besancon-retenue-dans-le-programme-action-coeur-de-ville/ http://www.alauzet.net/besancon-retenue-dans-le-programme-action-coeur-de-ville/#respond Fri, 20 Apr 2018 15:04:12 +0000 http://www.alauzet.net/?p=15866 « Revitaliser les centres-villes […], [assurer leur] accès dans d’excellentes conditions au numérique, […] [les] inscrire dans la transformation du monde sans [les] rélégu[er]», la profession de foi du Premier Ministre exposée lors de la Conférence Nationale des Territoires avait le mérite d’être claire : les villes moyennes sont au cœur des préoccupations du gouvernement. Ces annonces ont trouvé leur teneur dans le programme « Action Cœur de ville » annoncé par Jacques Mézard, ministre de la Cohésion des Territoires le 27 mars dernier. Besançon a ainsi été retenue parmi les 222 communes choisies pour être accompagnées dans un projet de revitalisation et de réhabilitation de leur centre-ville, et ceci autour de quatre axes : ingénierie, logement, commerce et service. ...]]>

« Revitaliser les centres-villes […], [assurer leur] accès dans d’excellentes conditions au numérique, […] [les] inscrire dans la transformation du monde sans [les] rélégu[er]», la profession de foi du Premier Ministre exposée lors de la Conférence Nationale des Territoires avait le mérite d’être claire : les villes moyennes sont au cœur des préoccupations du gouvernement. Ces annonces ont trouvé leur teneur dans le programme « Action Cœur de ville » annoncé par Jacques Mézard, ministre de la Cohésion des Territoires le 27 mars dernier. Besançon a ainsi été retenue parmi les 222 communes choisies pour être accompagnées dans un projet de revitalisation et de réhabilitation de leur centre-ville, et ceci autour de quatre axes : ingénierie, logement, commerce et service.

Tour d’horizon de ce programme à travers 5 questions :

 

 « Action Cœur de ville », pour quoi faire ?

Le plan présenté par Jacques Mézard poursuit un double objectif. Il s’agit d’abord de redynamiser les centres-villes à travers une nouvelle offre commerciale, des espaces de vie rendus plus attractifs, ainsi que l’acquisition et la réhabilitation des logements de centre-ville. A ainsi été mis en exergue la nécessité de simplifier les conditions d’installation des commerçants jugées parfois trop contraignantes. A cela s’ajoute la volonté d’améliorer le confort des logements de centre-ville et leur performance énergétique souvent peu efficiente. Enfin, le programme poursuit également un objet d’attractivité qui vise à consolider le rôle moteur des villes moyennes dans le développement du territoire à une échelle régionale.

 

Concrètement quelles mesures seront mises en place ?

Sur le plan commercial, la simplification des démarches d’implantation passera notamment par la dispense de demande d’autorisation auprès de la commission départementale pour les commerçants qui souhaitent s’implanter en centre-ville, afin de rééquilibrer les conditions d’implantation avec la périphérie.

Pour l’acquisition et la réhabilitation des logements, 1,5 milliard d’euros seront dédiés, avec des fonds pilotés par Action Logement. 1,2 milliard d’euros seront consacrés à l’amélioration de la performance énergétique des habitations et à la lutte contre la précarité énergétique, sous la supervision de l’Agence Nationale de l’Habitat.

 

Qui seront les acteurs ?

Le gouvernement a souhaité sur ce point assurer une véritable gouvernance décentralisée pour s’assurer que les actions conduites s’ajusteront au mieux aux conditions des territoires concernés. Ainsi, les villes concernées signeront une convention cadre qui définira des objectifs communs et des orientations générales. La Caisse des dépôts, Action Logement et l’Agence Nationale de l’Habitat seront également mis à contribution en tant que pourvoyeurs de fonds et pôles d’expertise dans les politiques à mener.

 

Les moyens financiers seront-ils au rendez-vous ?

L’enveloppe est ambitieuse : ce sont en tout 5 milliards d’euros qui ont été promis et qui se décomposent comme suit :

  • La Caisse des dépôts financera les projets à hauteur de 1 milliard d’euros en fonds propres et 700.000 euros en prêts.
  • 1,5 milliard d’euros seront mobilisés par Action Logement.
  • Enfin, l’Agence Nationale de l’Habitat sera amenée à dédier plus de 1,2 milliard d’euros au plan annoncé.

 

Et Besançon ?

La ville sera amenée à signer une convention cadre dans les prochains mois et travaillera en étroite collaboration avec les acteurs cités précédemment. A la phase de préparation qui s’étendra jusqu’en 2020, succédera la mise en place des actions annoncées pour une mise en place effective d’ici 2025. L’enveloppe qui sera allouée à la ville permettra de consolider les politiques d’attractivité et de revitalisation initiées depuis plusieurs années, à l’instar du dispositif « Samedis Piétons », qui assure aux piétons un monopole de circulation en centre-ville durant des samedis prédéfinis. Le dispositif est d’ailleurs toujours en place et les prochaines dates ont déjà été annoncées : il s’agira du 12 mai et du 9 juin. A vos agendas !

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Retour sur l’agenda du mois de mars http://www.alauzet.net/retour-sur-lagenda-du-mois-de-mars/ Fri, 13 Apr 2018 16:15:44 +0000 http://www.alauzet.net/?p=15805 L’agenda passé d’Eric Alauzet : les journées en circonscription et les principaux temps forts à l’Assemblée nationale. ...]]>

L’agenda passé d’Eric Alauzet : les journées en circonscription et les principaux temps forts à l’Assemblée nationale.

 

Du 1er au 4 mars 2018

 

Circonscription

  • RDV à la permanence : problème d’emploi, fédération des acteurs de la solidarité BFC, problème logement
  • Visite AMTE – Thise
  • Visite du CHU – Besançon
  • Assemblées Générales : Besac RC ; Caisse Agricole ; Comité départemental des médaillés de la jeunesse ; Union Locale CLCV
  • Maison de boîtes – Banque Alimentaire
  • Inauguration de l’Espace restauration de l’ADAPEI
  • GBDH – Billère
  • CFA Hilaire de Chardonnet
  • ESBF – Bourg
  • Tournoi de tennis – Nancray
  • Concert CRR du Grand Besançon
  • Besac RC – Lons le Saunier

 

Du 5 au 11 mars   

Circonscription

  • RDV à la permanence : problème impôts, projet méthanisation … DV – ADDSEA
  • Point d’étape sur le déroulement du projet de centrale de gazéification – Villers sous Montrond
  • Forum de la presse
  • Table ronde Intersyndicale retraités sur les EHPAD
  • GBDH – Dijon
  • ASPTT – Le Sport des Elles
  • Conférence sur l’organisation du temps de vie enfants et adolescents

 

Paris

  • RDV au bureau : ADREA Mutuelle, Republic tech, Amgen …
  • Mission d’information commune sur les procédures de poursuite des infractions fiscales
  • Emission La République LCI
  • Réunion Commission des Finances LREM
  • Questions au Gouvernement
  • Dîner GICAT « Comment les forces spéciales innovent pour répondre aux crises d’aujourd’hui et de demain ? »

 

Du 12 au 18 mars   

Circonscription

  • RDV à la permanence : projet de travail à distance et numérique, problème CAF, immigration, UNA …
  • Déjeuner avec l’intersyndicale retraités sur la CSG
  • Soirée de l’orientation : Bac +2 à bac +5 en apprentissage, que choisir ?
  • Soirée Privée de lancement du programme CAP’ETUDES à Besançon
  • Visite Alstom Ornans
  • Déplacement Mme Vidal, Ministre enseignement supérieur
  • Assemblées Générales: Tambour Battant ; Compagnie Mala Noche ; Asso Palente
  • Spectacle soirée orientale
  • Soirée DisKO – RODIA
  • Premières Rencontres avec les artistes des Chaprais
  • Carnaval Palente Orchamps (Michèle de Wilde, députée suppléante)
  • Concert en hommage au grand organiste récemment disparu Michel CHAPUIS
  • Compétition Gymnastique Rythmique
  • Coupe de France d’Apnée 2018
  • Racing – CA Pontarlier
  • Concert de l’Ecole de musique du plateau – Mamirolle
  • Concert pour les orphelins des sapeurs-pompiers

Paris

  • RDV au bureau : Parlons Vélo ; Gilead (gouvernance et innovation système de santé) ; Fermes d’avenir agroécologie ; AF3V (assoc Vélos routes et Voies Vertes) ; Confédération des Retraités
  • Réunion Groupe LREM
  • Quelles innovations dans les services de santé ?
  • Réunion Commission des Finances LREM
  • Questions au Gouvernement
  • Commission des finances : Présentation rapport PO sur le capital des ménages de la Cours des comptes
  • Réunion de travail sur le projet de loi Asile/Immigration
  • Fédération nationale des offices publics de l’habitat – Quelles propositions pour améliorer le logement social en France ?
  • Réunion d’échange sur l’Aide Publique au Développement

 

 

Du 19 au 25 mars

Circonscription

  • RDV à la permanence : immigration ; collectif état généraux de l’immigration ; ONF ; apprentissage …
  • Cérémonie à l’occasion de la Journée Nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc
  • Cérémonie du 56ème anniversaire de la fin des combats en Algérie – Thise
  • Rencontre chef entreprise PME – dans le cadre de la semaine de l’artisanat
  • Assemblées Générales : Réseau des échanges réciproques de savoirs des clairs soleils ; Oikocredit
  • Soirée sur l’intelligence artificielle – CPME 25

  • Réunion publique sur le nouveau réseau à la rentrée 2018 (avec Michèle de Wilde, députée suppléante)
  • Inauguration nouvelle chambre des métiers et de l’artisanat de Franche-Comté
  • Inauguration de la Maison du projet de l’écoquartier Vauban
  • GBDH – Sélestat
  • Visite guidée sur l’ancien grenier à blé Conservatoire de Besançon
  • Concert Mars Attack – Marchaux
  • Besac AC – Montbrison

 

Paris

  • Mission d’information Fraude fiscale
  • Réunion Groupe LREM
  • Questions au Gouvernement
  • LCP, question d’actualité
  • Réunion Commission des Finances LREM
  • Matinale l’attractivité de la France pour la recherche clinique – Novartis
  • Commission des finances : Réunion d’information réforme fiscale américaine ; Audition Conseil national de l’ordre des médecins ; Audition CNAM

 

Du 26 au 31 mars

Circonscription

  • RDV à la permanence : discussion autour du projet de loi asile et immigration ; retraités ; alternatrain ; militaire …
  • Confirmé Michèle AG – Récidev
  • Cérémonie en hommage au Lieutement Colonel Arnaud BELTRAME – Besançon (Michèle de Wilde, députée suppléante)

  • Semaine des TPE PME (Michèle de Wilde, députée suppléante)
  • 60eme anniversaire du CLA (Michèle de Wilde, députée suppléante)
  • Commission de gestion du Ceeda
  • Visite de CETIM – Senlis

  • Gabriel Attal – parcours sup

  • Rassemblement parvis des droits de l’homme – Besançon
  • Rencontre publique sur le thème des éoliennes

  • ESBF – Chambray

 

Paris                

  • RDV au bureau: Mutualité française
  • Commission des finances: Audition nomination du Haut Commissaire des finances publiques
  • Réunion Groupe LREM
  • Question au Gouvernement
  • Réunion d’information sur la proposition de loi visant à étendre la carte d’ancien combattant
  • Marche blanche en hommage à Mireille Knoll
  • Diner Groupe Amitié Chine
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Calendrier et carte des initiatives du débat PPE http://www.alauzet.net/calendrier-et-carte-des-initiatives-du-debat-ppe/ Fri, 06 Apr 2018 14:22:59 +0000 http://www.alauzet.net/?p=15688 Dans le cadre du débat public sur la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) qui se déroule de mars à juin 2018, la commission en charge du débat a lancé un appel à initiatives pour l'organisation de réunions, ateliers, conférences... Voici la liste et la carte des rendez-vous issus de cet appel. ...]]>

Dans le cadre du débat public sur la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) qui se déroule de mars à juin 2018, la commission en charge du débat a lancé un appel à initiatives pour l’organisation de réunions, ateliers, conférences… Voici la liste et la carte des rendez-vous issus de cet appel.

Pour certains rendez-vous, les informations sont encore partielles et seront complétées progressivement. D’autres événements seront également ajoutés au fil du débat.

Sur la carte ci-dessous, les pastilles bleues représentent les rendez-vous (initiatives) ouverts au public. Les points gris correspondent aux rendez-vous passés.

Voir en plein écran

Calendrier des initiatives

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Eric Alauzet vous parle de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie http://www.alauzet.net/eric-alauzet-vous-parle-de-la-programmation-pluriannuelle-de-lenergie/ Fri, 06 Apr 2018 14:22:02 +0000 http://www.alauzet.net/?p=15780 Merci de confirmer votre présence au débat par courriel à debatppe9avril@gmail.com ...]]>

Merci de confirmer votre présence au débat par courriel à debatppe9avril@gmail.com

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Invitation au débat sur la Programmation Pluriannuelle de l’Energie – Lundi 9 avril 2018 http://www.alauzet.net/invitation-au-debat-sur-la-programmation-pluriannuelle-de-lenergie-lundi-9-avril-2018/ http://www.alauzet.net/invitation-au-debat-sur-la-programmation-pluriannuelle-de-lenergie-lundi-9-avril-2018/#comments Fri, 06 Apr 2018 14:21:41 +0000 http://www.alauzet.net/?p=15783 Nous vous prions de bien vouloir trouver ci-dessous l'invitation du Député Eric ALAUZET.    Cette invitation est accompagnée d'un programme détaillé ainsi que d'un plan d'accès que vous pouvez télécharger en cliquant ici. ...]]>
Nous vous prions de bien vouloir trouver ci-dessous l’invitation du Député Eric ALAUZET
 
Cette invitation est accompagnée d’un programme détaillé ainsi que d’un plan d’accès que vous pouvez télécharger en cliquant ici.
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