C’est dans cet objectif qu’Anne Souyris, Tête de la liste « L’écologie pour Paris 13e» et les deux candidat.es de la liste, Wilfried Bitourne et Marie Atallah, ont visité le centre d’hébergement d’urgence « La Mie de Pain », situé au coeur du quartier de Tolbiac dans le 13ème .

Accueilli.es par l’équipe de direction que nous remercions ici très chaleureusement pour le temps consacré à la visite de l’ensemble des espaces de ce centre d’hébergement historique dans notre 13ème arrondissement.

Ensemble avec le directeur du centre et trois de ses collaborateurs et collaboratrices, nous nous sommes arrêtés dans les différents espaces du centre pour écouter et discuter avec des professionnels et des bénévoles qui travaillent avec dévouement, main dans la main, pour accomplir les différentes missions de la Mie de Pain, de l’urgence à l’insertion sociale et professionnelle des publics accueillis.

En observant et en croisant les publics, les professionnels et les bénévoles, nous avons particulièrement apprécié le projet d’établissement pluridimensionnel mis en œuvre par l’équipe de La Mie de Pain : un accueil anonyme et inconditionnel de toute personne qui frappe à la porte demandant de l’aide, une offre de services et de prestations diversifiés assurant un accompagnement sanitaire et social global allant de l’urgence à l’insertion, avec un accompagnement adapté aux besoins et capacités de chaque personne accueillie et aux différents profils de publics concernés.

Parallèlement à un professionnalisme plaçant la personne humaine et sa dignité au coeur de leur projet, nous avons particulièrement apprécié la place de l’art et de la beauté dans l’aménagement des différents espaces communs favorisant ainsi la convivialité, la sérénité et le bien-être individuel et collectif de tous ceux qui y vivent ou qui y travaillent.

Dans un cadre de haute qualité et avec une belle humanité, nous avons également appris qu’une démarche de développement durable est appliquée dans tous les aspects du projet d’établissement et notamment dans son restaurant solidaire qui constitue un chantier d’insertion pour préparer certains publics à s’orienter ver une formation professionnelle.
Très heureuse de cette visite de la Mie de Pain, Anne Souyris a salué la qualité de cette bel établissement malgré sa taille accueillant près de 300 personnes, elle a réaffirmé la volonté des candidat.es écologistes du 13ème de préserver la tradition de solidarité ancrée dans la mémoire collective de ses habitants et de la faire vivre avec l’ensemble des acteurs associatifs pour faire émerger de nouveaux projets solidaires et inclusifs dans nos quartiers.

Nos propositions pour Lutter contre le sans-abrisme à Paris :
• Respecter l’obligation de domiciliation des personnes sans abri.
• Créer un “fonds ville de Paris” pour le maintien dans leur logement des personnes en difficultés financières.
• Respecter le domicile et les biens des personnes sans abri. Mailler Paris de bagageries afin que les personnes sans abri puissent y déposer, en sécurité, leurs affaires. Aujourd’hui trop peu de bagageries sont présentes dans Paris, elles dépendent d’associations soutenues par le budget participatif.
• Ouvrir les sanitaires publics la nuit et de nouveaux services de bains-douches. Actuellement, seuls 10 arrondissements sur 20 ont un service de bains-douches. Il convient d’en ouvrir en s’assurant d’un équilibre territorial et veiller à ce que l’amplitude horaire soit suffisante.
• Enlever et ne pas installer de mobiliers urbains anti-SDF.
• Créer de nouveaux Espaces Solidarité Insertion. La ville de Paris possède 15 Espaces Solidarité répartis sur 10 arrondissements. Il convient d’en créer de nouveaux afin que chaque arrondissement en dispose au moins d’un.

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« Nous voulons des coquelicots » est un collectif citoyen créé par plusieurs grands noms de l’écologie et réclamant l’interdiction des pesticides de synthèse. La pétition créée par Nous voulons des coquelicots a recueilli plus de 1 000 000 de signatures depuis son lancement fin 2017. Chaque premier vendredi du mois, les Coquelicots se rassemblent devant les mairies d’arrondissements (à Paris) pour faire entendre leur voix et collecter des soutiens. Rejoignez les !

Plus d’information : https://nousvoulonsdescoquelicots.org/agir-ensemble/

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Samedi 18 janvier 2020

10 heures : Rendez-vous à l’entrée du Parc Kellermann (entrée du Centre Sportif Poterne des Peupliers, rue Max Jacob). Pour lancer la campagne écologiste du 13e arrondissement de Paris, nous organisons une balade exploratoire à pied, en vélo, en trottinette, en fauteuil roulant, de la rue Max-Jacob à la rue Berbier-du-Mets.

12 heures : A l’issue de cette marche, point presse (dossiers de presse et images à disposition) au café Le Réveil matin, 32 avenue des Gobelins, 75013 Paris.

La Bièvre entrait dans la capitale non loin de la Porte d’Italie, puis sur 5 km environ, elle traversait le 13ème Arrondissement puis le 5ème avant de se jeter dans la Seine, au niveau du Pont d’Austerlitz. 

Paris a perdu la Bièvre au début du 20e siècle : elle fut recouverte, puis déviée dans des égouts.

Elle était pourtant la seule rivière à se jeter dans la Seine à Paris. Nous, écologistes de Paris du 21e siècle, avec Anne Souyris, tête de liste aux élections municipales de 2020 dans le 13e arrondissement, avons décidé de la faire renaître.

En l’amenant à nouveau jusqu’à la Seine et en la découvrant progressivement sur la totalité de son parcours parisien. 

Nous commencerons par :

la piétonnisation et la végétalisation du tracé de la Bièvre du parc Kellermann à la Gare d’Austerlitz. 

la découverte de la rivière dans trois espaces propices au rafraîchissement et à la promenade : le parc Kellermann, le square René-Le Gall et le Muséum d’histoire Naturelle.

Dans un second temps, nous découvrirons des tronçons de la Bièvre le long des rues où elle coulait autrefois – et lorsque cela n’est plus possible, sur un parcours proche de l’ancien tracé. 

Cette action symbolique et concrète sera la première étape d’un Paris capable de lutter contre le réchauffement climatique, de s’y adapter, de retrouver de la nature en ville et de mieux respirer.  

La pollution de l’eau de la Bièvre est à l’origine du recouvrement de la rivière aux XIXème et au XXème siècle. Dans les années 2000, la ville et la Région Ile-de-France envisagent de restaurer la rivière. Mais la pollution de l’eau, en amont, et le manque de volonté politique conduisent à l’enterrement du projet. Aujourd’hui la principale objection à cette restauration n’est plus fondée : la qualité de l’eau a été largement améliorée par les communes en amont et la rivière est propre. C’est un argument majeur pour agir et faire renaître la Bièvre à Paris.  

Une dynamique est enclenchée en proche banlieue, profitons-en : dans le Val-de-Marne, les travaux de dégagement de la rivière ont déjà commencé. En 2021, la Bièvre devrait s’écouler sur plusieurs tronçons à Arcueil et Gentilly. Depuis 2016, elle est partiellement découverte
 à L’Haÿ-les-Roses. 

Aujourd’hui, la municipalité parisienne envisage à collecter l’eau propre de cette Bièvre pour l’envoyer vers la Seine via… un égout, le collecteur Watt. Quelle triste perspective ! 

La topographie parisienne a changé depuis le début du XXème siècle, aussi nous commencerons par amener l’eau de la Bièvre dans trois jardins où toutes les conditions sont réunies pour une mise en oeuvre immédiate : le Parc Kellermann, le square René-Le Gall et le Muséum d’histoire Naturelle. A plus long terme, nous ouvrirons des canaux dans les rues qui relient ces trois parcs. Mais sans attendre la fin de ce chantier, nous créerons une coulée verte sur l’ensemble du tracé, du périphérique jusqu’à la Seine. 

Ce chemin permettra d’envisager nos déplacements dans Paris d’une autre façon. Il sera le premier segment d’une nouvelle cartographie de la capitale pour des déplacements en mobilité douce et active, sur des axes végétalisés, sans moteurs thermiques, où la nature retrouvera toute sa place en ville.  

La nouvelle Bièvre transformera profondément notre arrondissement, mais aussi Paris. Ce sera une priorité de notre mandat. 

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Cirques sans animaux, alternative végétarienne dans les cantines,, places des animaux liminaires et de compagnie dans la ville… Il reste beaucoup à faire pour les animaux à Paris.

Avec David Belliard, les candidat·e·s de l’Ecologie pour Paris présentent leur plan pour défendre la cause animale dans notre ville, le jeudi 16 janvier au VG Lab, 10 rue Charles Fourier (13e, métro Tolbiac)

Programme complet de la soirée à venir…

contact@ecologieparis.fr

16 JANVIER de 19H30 À 22H30VG Lab, 10 rue Charles Fourier, 75013 Paris

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Un accord historique

“Je suis très heureux de voir la coalition climat s’agrandir avec les candidat.e.s du Parti Animaliste, ​souligne David Belliard. C’est un accord historique, qui marque notre volonté de changer en profondeur la place des animaux, et plus généralement de tous les vivants, à Paris et dans sa métropole”​. EELV ainsi que le Parti Animaliste se sont engagés notamment pour faire de Paris une ville vegé-friendly, avec en particulier l’alternative végétarienne quotidienne dans les cantines scolaires et dans tous les restaurants collectifs de la ville, sur l’interdiction des cirques avec animaux sauvages sur le territoire parisien, et sur la création d’une délégation à la condition animale au Conseil de Paris.

Mettre le bien-être animal au coeur des actions municipales

“​De nombreuses décisions municipales concernent les animaux. Nous allons faire en sorte que leurs intérêts soient pris en considération. Ce vaste chantier que nous ouvrons à Paris correspond à une forte attente pour une très grande partie de la population parisienne.​”, souligne Muriel Fusi, correspondante parisienne du Parti animaliste à Paris et qui portera la campagne dans le 16ème arrondissement. Des candidat·e·s animalistes seront présent·e·s sur chacune des 17 listes “L’Écologie pour Paris” en arrondissement, notamment dans le 18e avec Douchka Markovic, co-fondatrice du Parti animaliste et dans le 11e avec Grégory Moreau, représentant du Bureau régional IDF.

Avec cet accord, les candidat·e·s « L’écologie pour Paris » prennent aussi l’engagement de mettre la condition animale au cœur de leur mandat.

David Belliard, candidat écologiste à la mairie de Paris
Hélène Thouy, co-fondatrice du Parti animaliste, tête de liste aux élections européennes
Muriel Fusi, candidate animaliste, tête de liste “l’Écologie pour Paris” dans le 16ème

Pour rencontrer les candidat·e·s animalistes et écologistes : RDV le 16 janvier à 19h au VG Lab’ – 10 rue Charles Fourier 75013 Paris

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