La campagne est lancée

Des militants nombreux, des candidats unis autour d’Yves Aurégan, de l’enthousiasme et de la détermination. Tous les ingrédients étaient réunis ce mercredi 18 décembre pour lancer la campagne d’Angers Ecologique et Solidaire.

Il est près de 20h30 quand « le Club des 5  » monte sur la petite estrade installée salle du Doyenné à Angers. « Le Club des 5 » , c’est le surnom donné au groupe formé par Yves Aurégan, la tête de liste et ses colistiers : Anne-Sophie Hocquet ( Nouvel Elan ) Arash Saiedi ( Génération·s ) Elsa Richard ( EELV ) et Alain Pagano ( PC ). Le « Club des 5 », c’est la réussite d’une alliance politique prête à engager la transition écologique et solidaire en mars prochain.

« Ça fait plaisir de voir des têtes bien connues, des militants de différents partis réunis pour la première fois » lance Arash Saiedi en guise d’introduction, rappelant les différentes phases ayant mené à cette alliance. Et il est vrai que les rangées sont pleines. Près d’une centaine de sympathisants ont fait le déplacement pour découvrir Yves Aurégan et les premières mesures de son programme.

« On va gagner parce qu’il le faut »

Faire d’Angers une ville écologique, solidaire et émancipatrice. Voilà le cap fixé par Yves Aurégan, avant de laisser ses colistiers dévoiler les grandes priorités et les objectifs ambitieux du programme. « Nous avons pour ambition de devenir un territoire à énergie positive », explique Elsa Richard. « Demain Angers sera une ville nourricière qui aide les agriculteurs à passer en bio » ajoute Arash Saeidi. Pendant moins d’une heure, le micro passe de main en main. « Nous voulons réinventer la démocratie locale » reprend Anne-Sophie Hocquet. Alain Pagano insiste lui sur la nécessité de « construire du logement social à taille humaine et à loyer modéré pour répondre à la souffrance sociale ».

Un point commun entre les différentes interventions : l’alliance entre la justice climatique et la justice sociale. Une conviction que compte bien défendre Yves Aurégan jusqu’en mars prochain. « On peut gagner et on va gagner simplement parce qu’il le faut » conclut le candidat déterminé sous les applaudissements des militants.