Élu-e-s EELV au Conseil Régional de Basse-Normandie » Formation http://elus-bassenormandie.eelv.fr Site du groupe d'élus au Conseil Régional de Basse Normandie Wed, 19 Aug 2015 16:23:45 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=4.3.2 La Région met le paquet contre le chômage des jeunes (Liberté 26 – 02 -15) http://elus-bassenormandie.eelv.fr/la-region-met-le-paquet-contre-le-chomage-des-jeunes-liberte/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/la-region-met-le-paquet-contre-le-chomage-des-jeunes-liberte/#comments Thu, 26 Feb 2015 11:29:50 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=5311 ]]>

Regionpaquetlib

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Le SPRFP en Basse-Normanide. Entretien avec Yanic Soubien – Point Virgule. Magazine de l’ERREFOM http://elus-bassenormandie.eelv.fr/le-sprfp-en-basse-normanide-entretien-avec-yanic-soubien-point-virgule-magazine-de-lerrefom/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/le-sprfp-en-basse-normanide-entretien-avec-yanic-soubien-point-virgule-magazine-de-lerrefom/#comments Thu, 19 Feb 2015 13:50:45 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=5379 Lire ici l'intégralité du dossier réalisé par l'ERREFOM Parler de formation, c’est avoir une vision des différentes “briques” qui constituent un ...]]>

Lire ici l’intégralité du dossier réalisé par l’ERREFOM

Parler de formation, c’est avoir une vision des différentes “briques” qui constituent un
itinéraire d’accès à l’emploi, avoir une vision de la dynamique des différentes étapes.
Cela va de l’information, de la socialisation, de l’orientation, de l’acquisition du socle
de compétences, de la qualification, au processus de rencontre avec l’entreprise.
C’est tout un chainage que le service public se doit d’organiser et de sécuriser, surtout
pour les personnes plus éloignées de l’emploi.
Le Service Public Régional de la Formation Permanente se structure et évolue dans ce
sens depuis 2009. Il se définit par ces missions : continuité et régularité de la prestation
d’accompagnement et de formation, adaptabilité de l’offre de formation notamment
en fonction des acquis et potentiels des personnes, transparence de la prestation,
évaluation et amélioration tant par les bénéficiaires que par la Région au regard de ses
engagements politiques.
Dans le service public, on prend en compte les risques, qui peuvent faire qu’un parcours
ne soit pas sans écueils. On se préoccupe des conditions périphériques (hébergement,
transport, rémunération…) comme facteurs de réussite pour une action
de formation ou d’orientation.
Dans notre région, la mise en place de ce service public est progressive et concertée
sur les territoires, avec les partenaires régionaux au sens large (réseaux d’accueil, organismes
de formation, OPCA, départements, partenaires sociaux…). En effet, nous
n’avons pas fait l’économie d’un vrai travail avec les partenaires afin d’avancer collectivement
sur le sujet de la prise en compte des publics les plus éloignés de la qualification
et de l’emploi.
La loi du 5 mars 2014 relative à “la formation, à l’emploi et à la démocratie sociale “
vient conforter notre démarche en renforçant les compétences régionales et en nous
outillant avec la possibilité de recourir au SIEG. Parce que les publics concernés par
le SIEG sont les plus éloignés de l’emploi et d’une qualification, mais ne sont pas forcément
les moins motivés, la Région affirme sa volonté de les accompagner, en sécurisant
aussi parallèlement les opérateurs.
Elle nous permet par ailleurs de poser une « brique » qui est celle de l’orientation tout
au long de la vie, à travers le SPRO. Cette loi nous dit en substance que dans le SPRO,
il y aura une mission de conseil et d’accompagnement pour tous les publics en transition
ou en évolution professionnelle.
Ce service, impulsé par l’initiative individuelle, évolue de la prescription vers le conseil
et permettra de mieux définir ce que la personne engage dans son parcours.
A travers toutes ces évolutions, la principale ambition et condition de réussite restent
de susciter l’envie et la motivation, donner du sens et rendre le bénéficiaire acteur dynamique
de son parcours de formation et d’insertion.

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Un Comité régional pour l’emploi, l’orientation et la formation professionnelle http://elus-bassenormandie.eelv.fr/un-comite-regional-pour-lemploi-lorientation-et-la-formation-professionnelle/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/un-comite-regional-pour-lemploi-lorientation-et-la-formation-professionnelle/#comments Mon, 05 Jan 2015 15:22:54 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=5187 Communiqué de presse du Conseil régional de Basse-Normandie et de la Préfecture de Région Jean Charbonniaud, Préfet de la région Basse-Normandie, Préfet du Calvados et Laurent Beauvais, Président de la Région Basse-Normandie, représenté par Yanic Soubien, vice-président en charge de la formation, ont installé ce jour le Comité régional de l’emploi, de l’orientation et de la formation professionnelles (CREFOP). ...]]>

Communiqué de presse du Conseil régional de Basse-Normandie et de la Préfecture de Région

Jean Charbonniaud, Préfet de la région Basse-Normandie, Préfet du Calvados et Laurent Beauvais, Président de la Région Basse-Normandie, représenté par Yanic Soubien, vice-président en charge de la formation, ont installé ce jour le Comité régional de l’emploi, de l’orientation et de la formation professionnelles (CREFOP).

Ce comité a été créé par la loi relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale promulguée le 5 mars 2014 dite loi Sapin. Cette dernière prévoit notamment le remplacement du Droit Individuel à la Formation (DIF) au 1er janvier 2015 par un Compte Personnel de Formation (CPF). Celui-ci comporte des droits transférables tout au long de la vie professionnelle ainsi que la mise en place d’un Conseil en Evolution Professionnelle (CEP) et une garantie d’accès à la formation pour les salariés. Le Compte Personnel de Formation doit faciliter l’accès à la formation qualifiante de l’ensemble des actifs et notamment des actifs en précarité face à l’emploi.

Le CREFOP a pour mission de coordonner les actions menées par les différentes instances de l’Emploi, de la Formation et de l’Orientation, d’assurer la cohérence des programmes de formation et d’évaluer ces politiques en matière de formation professionnelle. Il permettra d’enrichir le dialogue social entre la Région, l’Etat et les partenaires sociaux sur l’analyse des besoins et la mise en place des plans d’action.

Le comité est une instance consultative sur la stratégie emploi, formation, orientation et apprentissage. Il est composé, à parité, de représentants de l’Etat et de représentants de la collectivité régionale, ainsi que de représentants des opérateurs et des partenaires sociaux.

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LOCALTIS Formation professionnelle Publié le vendredi 28 novembre 2014

La réforme de la formation professionnelle va prendre vie en 2015, avec la mise en place du compte personnel de formation (CPF) dès le 5 janvier. Un colloque organisé le 26 novembre 2014 par l’AEF et la DGEFP a permis de mettre en avant les atouts, mais aussi les faiblesses du dispositif, et de révéler la place importante que les régions acquièrent avec cette réforme.

A quelques semaines du lancement du compte personnel de formation (CPF), opérationnel le 5 janvier 2015, les acteurs de la formation s’activent. Le colloque organisé le 26 novembre 2014 par l’AEF et la DGEFP, « Former, un enjeu stratégique », a été l’occasion de donner la tendance pour ce démarrage. D’après Jean-Marie Marx, président du Conseil national de l’emploi, de la formation et de l’orientation professionnelle (Cnefop), interrogé par Localtis, « plusieurs centaines de milliers de personnes devraient s’intéresser au CPF dès 2015, qui sera une année de transition ». Du côté des entreprises, on s’attend surtout à ce que ce soit d’abord les personnes initiées qui s’intéressent au dispositif. « Seuls 5% des gens vont s’y intéresser et ce sera un peu les mêmes que d’habitude, a ainsi expliqué Jean-Marie Lambert, directeur des ressources humaines du Groupe Veolia, c’est à nous de nous organiser pour nous adresser aux 95% qui ne viennent pas spontanément. »
L’appétance pour cette réforme est pourtant là. « Il y a un fort intérêt des entreprises pour cette réforme de la formation professionnelle, une appétance plus forte qu’au cours des précédentes réformes ; il y a un mouvement qui est en cours », a affirmé Jean-Marie Marx, tandis que Pascale d’Artois, directrice générale du fonds d’assurance formation du travail temporaire (FAF.TT), a assuré que « c’était une attente de longue date qu’un dispositif puisse prendre en compte le financement d’une qualification sans parler du statut de la personne concernée ».
Le CPF doit en effet permettre aux salariés et demandeurs d’emploi qui le souhaitent d’obtenir une qualification. Une première liste nationale interprofessionnelle des formations éligibles à ce dispositif a été rendue publique par le Comité paritiare national de l’emploi et de la formation (Copanef) le 26 novembre. Etablie par les partenaires sociaux, elle liste 482 formations correspondant à des métiers-supports transversaux. La liste doit être soumise pour examen au Cnefop le 16 décembre, avant d’être accessible au grand public par le biais du nouveau site internet, moncompteformation.gouv.fr début 2015. Elle est amenée à évoluer. Des mises à jour sont ainsi prévues en février, en mai/juin et en octobre.

Des abondements hypothétiques ?

Pour l’Association des régions de France, représentée le 26 novembre par Pascale Gérard, présidente de la commission formation, et vice-présidente formation professionnelle au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, ces formations doivent « balayer large, en évitant absolument la tentation d’interdire ou de rendre difficile la mobilité inter-régionale ». L’ARF plaide pour une adéquation entre les listes éligibles des régions et les programmes régionaux de formation existant déjà en faveur des demandeurs d’emploi.
Seul hic du dispositif : le nombre d’heures disponibles sur le CPF – 150 heures cumulables sur huit ans -, qui ne permet pas de suivre une formation certifiante ou qualifiante. « 150 heures, ce n’est pas suffisant pour une reconversion, a précisé Joël Ruiz, directeur général d’Agefos PME, d’autre part, pour la première année de fonctionnement, nous n’aurons pas les ressources ; nous allons fonctionner avec des avances de trésorerie pour amorcer la pompe et rendre solvables les premiers projets. » Le CPF a toutefois vocation à être abondé, notamment par les entreprises, les branches professionnelles, Pôle emploi et les régions. « Le CPF correspond au pouvoir d’achat du salarié pour la formation professionnelle, a détaillé Yves Barou, président de l’Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa), il ne marchera que s’il y a des abondements, ceux-ci fonctionneront comme des panneaux indicateurs, donnant l’orientation vers les métiers qui se développent sur les territoires et les métiers d’avenir. » Mais, récemment, l’Institut Montaigne a mis en doute, dans un rapport, la capacité de ces acteurs à abonder le dispositif. Pour Jean-Marie Marx, la mécanique est pourtant simple : sur une formation qualifiante nécessitant 400 heures environ, 150 heures seront financées via le dispositif, à travers les financements du Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP). Les régions pourront combler la différence, en finançant les 250 heures restantes. Dans ce domaine, Pascale Gérard a demandé qu’il y ait une répartition a priori des financements du FPSPP en direction des conseils régionaux. « Si ces financements arrivent a posteriori dans le budget des régions alors que les programmes sont déjà établis, ils ne serviront qu’à faire de l’optimisation budgétaire », a-t-elle souligné durant le colloque du 26 novembre.

La place des régions renforcée

Au-delà de ces abondements, les régions tirent aussi de la réforme un rôle supplémentaire : elles vont coprésider les nouveaux comités régionaux de l’emploi, de la formation et de l’orientation professionnelle (Crefop) aux côtés du représentant de l’Etat et sont responsables de créer les services publics régionaux de l’orientation (SPRO). « La place des régions sort renforcée par le SPRO et la coordination des acteurs régionaux au sein du Crefop », assure ainsi Jean-Marie Marx.
Certaines n’ont toutefois pas attendu l’échéance de la réforme pour s’organiser. « Avec la crise de 2008, les régions ont très vite participé à une réflexion quadripartite régionale, a détaillé Yanic Soubien, vice-président du conseil régional de Basse-Normandie, chargé de la formation tout au long de la vie et de la politique emploi, dans ma région nous nous sommes initiés à cette pratique très rapidement, à travers la mise en place de comités locaux emploi, économie, formation (CLEEF). » Ces comités sont les garants de la mise en oeuvre d’une stratégie territoriale partagée, au croisement des politiques publiques déployées par les différents acteurs et des projets d’initiatives locales. Onze comités de ce type ont été déployés en Basse-Normandie, qui « nous ont appris à avoir une vision précise des territoires », a signalé Yanic Soubien. En revanche, la région n’a pas encore mis en place son Crefop, qui lui permettra de « ne pas avoir trop d’instances ». Au niveau national, le Cnefop devait quant à lui être officiellement installé ce 28 novembre. Parmi ses membres : Pascale Gérard, qui en est la vice-présidente.

Emilie Zapalski

http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&cid=1250268100570

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Mobilisation régionale pour l’apprentissage http://elus-bassenormandie.eelv.fr/mobilisation-regionale-pour-lapprentissage/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/mobilisation-regionale-pour-lapprentissage/#comments Tue, 04 Nov 2014 12:40:19 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=5006 Lors de la Plénière du 16 octobre, Yanic Soubien, Vice-Président en charge de la formation a présenté un plan de relance de l'apprentissage en Basse-Normandie (voir vidéo ici). En effet, le nombre d'apprentis diminue dans notre région (9400 en 2014 contre 11000 en 2010) à cause de plusieurs facteurs combinés : démographie, crise économique et faible mobilisation des acteurs.  C'est un danger pour des secteurs qui ont besoin de main d’œuvre qualifiée mais aussi pour la pérennité de filières qui ont bénéficié d'investissements régionaux ces dernières années. Pour rappel, la Région a ouvert près de 30 sections d'apprentissage y compris dans le supérieur. ...]]>

Lors de la Plénière du 16 octobre, Yanic Soubien, Vice-Président en charge de la formation a présenté un plan de relance de l’apprentissage en Basse-Normandie (voir vidéo ici). En effet, le nombre d’apprentis diminue dans notre région (9400 en 2014 contre 11000 en 2010) à cause de plusieurs facteurs combinés : démographie, crise économique et faible mobilisation des acteurs.  C’est un danger pour des secteurs qui ont besoin de main d’œuvre qualifiée mais aussi pour la pérennité de filières qui ont bénéficié d’investissements régionaux ces dernières années. Pour rappel, la Région a ouvert près de 30 sections d’apprentissage y compris dans le supérieur.

Ainsi, en complément du plan de relance de l’apprentissage lancé par le Gouvernement en septembre, la Région a annoncé de nouvelles aides : financement des coûts pédagogiques, prime additionnelle pour les entreprises, accompagnement des maîtres de stages, etc. Surtout, Yanic Soubien veut mobiliser les entreprises : il est parti à leur rencontre avec le Président de Région et le Préfet (à Soliers le 21 octobre par exemple) Il s’est également rendu auprès de Centres de Formation des Apprentis (CFA). Nationalement il relaie ces actions en siégeant au Conseil d’Orientation de l’AFPA.

plus d’infos sur le sujet

– Le reportage de France 3

– Les récentes mesures du Gouvernement sur l’apprentissage

– Les infos sur l’apprentissage 

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Plénière du 16 octobre 2014 : mobilisation pour l’apprentissage http://elus-bassenormandie.eelv.fr/pleniere-du-16-octobre-2014-mobilisation-pour-lapprentissage/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/pleniere-du-16-octobre-2014-mobilisation-pour-lapprentissage/#comments Wed, 15 Oct 2014 07:43:54 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=4956 ]]>

CRBNAprentisage151014

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70ème : Journée de mémoire pour les stagiaires de 11 projets ELAN’S http://elus-bassenormandie.eelv.fr/70eme-journee-de-memoire-pour-les-stagiaires-de-11-projets-elans/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/70eme-journee-de-memoire-pour-les-stagiaires-de-11-projets-elans/#comments Wed, 16 Apr 2014 17:09:00 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=4539 Le dispositif ELAN'S permet de remettre en selle des personnes éloignés de l'emploi par la mise en œuvre de différents projets. Dans le cadre du 70ème anniversaire du Débarquement, 11 projets porte sur ces commémorations. Les 130 stagiaires de ces projets ont rencontrés vendredi 11 avril Charles Baron, ancien déporté d'Aushwitz et Christophe Bayard, professeur d'Histoire, qui ont donné vie à la mémoire sur laquelle ils travaillent. Yanic Soubien, Vice Président de la Région en charge de la formation et de l'emploi était présent avec eux. ...]]>

Le dispositif ELAN’S permet de remettre en selle des personnes éloignés de l’emploi par la mise en œuvre de différents projets. Dans le cadre du 70ème anniversaire du Débarquement, 11 projets porte sur ces commémorations. Les 130 stagiaires de ces projets ont rencontrés vendredi 11 avril Charles Baron, ancien déporté d’Aushwitz et Christophe Bayard, professeur d’Histoire, qui ont donné vie à la mémoire sur laquelle ils travaillent. Yanic Soubien, Vice Président de la Région en charge de la formation et de l’emploi était présent avec eux.

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Pour un droit universel à la formation tout au long de la vie – tribune avec Yanic Soubien – médiapart – 06 février 2014 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/pour-droit-universel-la-formation-au-long-de-la-vie-tribune-mediapart-06-fevrier-2014/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/pour-droit-universel-la-formation-au-long-de-la-vie-tribune-mediapart-06-fevrier-2014/#comments Fri, 07 Feb 2014 11:29:11 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=4502 Alors que le projet de réforme de la formation professionnelle est en discussion au Parlement, les élus écologistes Patricia Andriot, Christophe Cavard, Jean Desessard, Jean-Philippe Magnen, Philippe Meirieu et Yanic Soubien rappellent la nécessité de mettre en place un droit universel à la formation tout au long de la vie, et de marquer « beaucoup plus clairement le renforcement de la compétence des régions ». ...]]>

Alors que le projet de réforme de la formation professionnelle est en discussion au Parlement, les élus écologistes Patricia Andriot, Christophe Cavard, Jean Desessard, Jean-Philippe Magnen, Philippe Meirieu et Yanic Soubien rappellent la nécessité de mettre en place un droit universel à la formation tout au long de la vie, et de marquer « beaucoup plus clairement le renforcement de la compétence des régions ».

Le mercredi 22 janvier, Michel Sapin a présenté en Conseil des ministres le projet de loi relatif à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale. Le débat parlementaire commence cette semaine et devrait aboutir fin février. Il sera décisif.

La formation tout au long de la vie concrétise la capacité qu’une société donne à chaque individu de remettre en jeu son projet professionnel, de se former librement à un métier, d’acquérir des connaissances nouvelles, bref de pouvoir décider d’évoluer à tout moment de sa vie, et tout cela dans un cadre sécurisé. Elle concerne évidemment, en priorité, ceux et celles qui n’ont pas pu bénéficier d’une formation initiale solide ainsi que ceux qui sont touchés par le chômage ou la précarisation de leur emploi. C’est pourquoi elle peut être un élément majeur d’une grande ambition de transformation sociale : en donnant à chacune et à chacun les moyens d’avoir prise sur sa propre histoire, en luttant contre les inégalités et les exclusions, en retissant le lien entre les générations, en s’inscrivant dans la perspective d’un vrai partage du travail, en accompagnant la nécessaire transition écologique de notre économie. Parce que toutes ces questions sont fondamentales pour l’individu et pour la société, l’enjeu autour de ce texte est majeur.

Le texte qui nous est proposé agrège la mise en œuvre de l’Accord national interprofessionnel de décembre sur la formation professionnelle continue, des dispositions concernant la démocratie sociale dans l’entreprise, une série de mesure sur la décentralisation prévues initialement dans le deuxième volet de la « loi de modernisation », des dispositions sur l’apprentissage (mais qui ne prévoient pas son financement) et un « cavalier » sur l’inspection du travail pour le moins problématique.

Devant le rassemblement de sujets aussi différents, et face aux enjeux sociétaux que porte la formation tout au long de la vie, force est de reconnaître que le texte, tel qu’il est présenté aujourd’hui, ne constitue, à nos yeux, qu’une première étape à laquelle plus de souffle doit être donné.

En ce qui concerne, plus particulièrement, la formation professionnelle continue, ce texte esquisse une évolution remarquée, mais ne marque pas « l’avancée décisive » attendue. C’est pourquoi les écologistes souhaitent que les parlementaires lui fassent opérer un saut qualitatif dans deux domaines au moins : d’une part, en œuvrant délibérément à la mise en place d’un « droit universel à la formation tout au long de la vie » ; d’autre part, en marquant beaucoup plus clairement le renforcement de la compétence des régions – qui constituent le bon échelon dans ce domaine – avec une réelle clarification de la gestion des moyens, afin de mettre vraiment en cohérence l’ensemble des politiques publiques en matière d’orientation, de formation et d’accès à l’emploi.

Le texte de loi qui nous est proposé est le fruit du dialogue social, et, à ce titre, il marque un changement de méthode à saluer. La principale « avancée » relevée par tous est le passage du droit individuel à la formation (DIF) au compte personnel de formation (CPF). La création du CPF était attendue depuis longtemps. C’est un progrès car, d’une part, il est attaché à la personne et, d’autre part, mobilisable sur la seule initiative de son bénéficiaire (en dehors du temps de travail), que l’on soit salarié ou demandeur d’emploi. On peut ainsi espérer que la formation devienne enfin plus accessible à ceux qui en ont le plus besoin : salariés les moins diplômés, demandeurs d’emploi, seniors, jeunes sans qualification, travailleurs temporaires et à temps partiel, artisans, etc. Mais, quantitativement, l’augmentation est trop modeste – on passe de 120 heures sur 6 ans, avec l’ancien DIF, à 150 heures sur 9 ans – et ce crédit ne suffira pas pour acquérir une qualification complète. S’il peut permettre à des salariés d’effectuer une « formation complémentaire » ou une « mise à niveau », il est  encore très loin de permettre à des personnes éloignées de l’emploi de repartir sur de nouvelles bases. C’est pourquoi il faut absolument rendre possible l’augmentation de ce plafond, par accord avec les branches professionnelles, et permettre d’en compléter le financement par l’apport d’organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ou des collectivités territoriales. Mais encore faudrait-il que les régions, qui sont en charge des demandeurs d’emploi, voient leurs moyens augmenter : actuellement, elles peinent à proposer une formation à deux chômeurs sur dix. Et, si rien ne change dans ce domaine, les demandeurs d’emploi resteront les plus défavorisés, bénéficiant des formations existantes sans amélioration particulière de leur sort. L’enjeu est majeur : le signal donné par ce texte en faveur des demandeurs d’emplois doit être beaucoup plus clair. Notre pays ne peut pas se contenter de proclamer, la main sur le cœur, qu’ « il vaut mieux se former que chômer », si rien ne montre concrètement que les demandeurs d’emploi bénéficient fortement de la solidarité nationale.

Tel qu’il est présenté aujourd’hui, le compte personnel de formation indique donc modestement le chemin, mais sans aller assez loin dans le sens d’un droit universel à la formation tout au long de la vie. Il risque, de fait, d’être très insuffisant pour lutter contre les inégalités et est bien loin des propositions écologistes d’un “droit universel à la formation tout au long de la vie” : un droit qui aurait le double mérite d’activer les solidarités intergénérationnelles et de permettre le partage du temps de travail, un élément fondamental pour lutter contre le chômage.

Une autre ambition majeure du texte est de clarifier les modalités de la responsabilité de la formation tout au long de la vie. Partisans résolus de la décentralisation pour mettre les politiques publiques au plus près des citoyens et des territoires, les écologistes regrettent vivement qu’on n’aille pas jusqu’au bout de cette logique et que, notamment, la question du financement,  évidemment essentielle, ne soit pas totalement clarifiée. En d’autres termes, le transfert aux régions de nouvelles compétences risque de ne pas être accompagné du transfert des moyens nécessaires. De plus, le texte reste également au milieu du gué en matière de gouvernance de la formation des demandeurs d’emploi : les régions en sont chargées, mais d’autres organismes – non décentralisés, comme Pôle Emploi – y interviennent aussi avec des prérogatives similaires, au risque d’incohérences et d’un pilotage tâtonnant. Les années de décentralisation qui nous précèdent ont pourtant montré que les régions savent travailler avec l’Etat et les partenaires sociaux. Soyons clairs : les régions ne réclament pas du pouvoir et nous n’en réclamons pas pour elles ; mais nous réclamons qu’on donne à l’instance régionale les moyens d’une politique cohérente. Aujourd’hui, on accroît leurs charges, mais sans accroître ni leurs moyens financiers ni leurs moyens d’intervention : voilà qui permettra, très vite, de trouver le bouc émissaire si le « miracle » n’est pas au rendez-vous !

Nous sommes convaincus que la région est le bon échelon pour traiter – en même temps, avec tous les acteurs concernés et au plus près des territoires – des questions d’orientation, de formation, d’insertion et d’emploi. Nous sommes convaincus que la formation est un outil essentiel de promotion des personnes et de construction du lien social. Nous sommes convaincus que, parce qu’elle parie sur l’infinie richesse des hommes et des femmes, elle peut nous permettre de faire face à la crise écologique que nous devons affronter lucidement. Nous sommes convaincus que la formation est au cœur d’un nouveau modèle de développement, plus juste, plus humain, plus économe en énergie… et que nous ne devons pas nous contenter, ici, d’un toilettage, mais offrir à la France la vision d’avenir dont elle a terriblement besoin.

Patricia Andriot, vice-présidente EELV du conseil régional de Champagne-Ardennes
Christophe Cavard, député EELV du Gard
Jean Desessard, sénateur EELV de Paris
Jean-Philippe Magnen, vice-président EELV du conseil régional des Pays de la Loire
Philippe Meirieu, vice-président EELV du conseil régional de Rhône-Alpes
Yanic Soubien, vice-président EELV du conseil régional de Basse-Normandie

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Exposition l’ELAN des ELAN’s http://elus-bassenormandie.eelv.fr/exposition-lelan-des-elans/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/exposition-lelan-des-elans/#comments Tue, 03 Dec 2013 15:36:42 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=4294 Depuis cette semaine, les projets réalisés dans le cadre d'ELAN sont exposé dans l'enceinte du Conseil régional de Basse Normandie. 34 projets dans des domaines divers et variés ont été concrétisés par des stagiaires dans le cadre de leur formation ELAN. Ce dispositif original a été crée par la Région Basse Normandie, à l'initiative de Yanic Soubien, Vice Président du Conseil régional en charge de la formation et de l'emploi. Il s'agit d'actions d'acquisition de savoirs, de formation, de projets pour préparer un retour à l'emploi ou simplement reprendre pied dans la société. ...]]>

Depuis cette semaine, les projets réalisés dans le cadre d’ELAN sont exposé dans l’enceinte du Conseil régional de Basse Normandie. 34 projets dans des domaines divers et variés ont été concrétisés par des stagiaires dans le cadre de leur formation ELAN. Ce dispositif original a été crée par la Région Basse Normandie, à l’initiative de Yanic Soubien, Vice Président du Conseil régional en charge de la formation et de l’emploi. Il s’agit d’actions d’acquisition de savoirs, de formation, de projets pour préparer un retour à l’emploi ou simplement reprendre pied dans la société.

L’exposition a été inaugurée par Pascale Cauchy et Yanic Soubien ce mardi 3 décembre.

+ d’infos sur les ELAN’S

Photo :  CRBN

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« La région c’est vous » en direct de la Foire de Caen – Emission sur la formation http://elus-bassenormandie.eelv.fr/la-region-cest-vous-en-direct-de-la-foire-de-caen-emission-sur-la-formation/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/la-region-cest-vous-en-direct-de-la-foire-de-caen-emission-sur-la-formation/#comments Sun, 06 Oct 2013 08:09:10 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=4181 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/la-region-cest-vous-en-direct-de-la-foire-de-caen-emission-sur-la-formation/feed/ 0