Élu-e-s EELV au Conseil Régional de Basse-Normandie » JEM http://elus-bassenormandie.eelv.fr Site du groupe d'élus au Conseil Régional de Basse Normandie Wed, 19 Aug 2015 16:23:45 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=4.3.2 JEM : 3 questions à François Dufour http://elus-bassenormandie.eelv.fr/jem-3-questions-a-francois-dufour/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/jem-3-questions-a-francois-dufour/#comments Tue, 21 Oct 2014 10:16:51 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=5260 Les Jeux Équestres Mondiaux se sont achevés il y a déjà deux mois, quel bilan pouvons nous en tirer ? ...]]>

Les Jeux Équestres Mondiaux se sont achevés il y a
déjà deux mois, quel bilan pouvons nous en tirer ?

Ce fut un grand moment, pour tous les bas-normand-e-s
mobilisé-e-s : bénévoles, organisateurs, entreprises et bien
sûr sportifs et partenaires. On ne vit ce type d’évènement que
trop rarement, il a fallu en profiter. La Normandie s’est trouvée
emportée dans l’élan, je pense ça a fait du bien à tout le
monde. Enfin, nous avons tous découvert des disciplines
sportives, belles et impressionnantes.

Il y a eu des critiques sur l’organisation, la faible
popularité des jeux ou leur manque d’éco-exemplarité.

Par nature, les Jeux Équestres allaient être moins populaires
que tout autre évènement. Malgré tout, beaucoup de
normands y ont pris part notamment grâce à ce qui a été
organisé à côté de la compétition qui a bien complété le
programme officiel. Sur l’organisation, les couacs ont pu être
pénibles à vivre : je pense au concours complet au Haras,
c’est vraiment dommage. De plus, l’éco-exemplarité que nous
avions, nous écologistes, porté, à été présente mais trop
discrètement. Nous avions toutefois déjà obtenu la garantie
du moindre impact sur les milieux naturels, notamment à la
Prairie à Caen.

Et après, quels impacts auront ces jeux sur la région ?

Déjà, cela a permis de faire vivre le lien entre la Normandie et
le cheval. Personne ne peut dorénavant ignorer que nous
sommes LA région équestre ! d’où le souci de la préserver
face, par exemple, à une méga-déchargeO Le cheval est
aussi sorti du folklore. Au-delà du sport, c’est une vraie
économie qui génère 1 ,1 milliard d’euros de chiffre d’affaire et
1 2.500 emplois dans notre région ! C’est bien sûr un secteur
que nous soutenons fortement : création du Pôle hippique à
Saint-Lô, soutien continu au pôle de compétitivité Hippolia, à
la fondation de recherche et à différents équipements (Haras
du Pin, centre d’entraînement de Dragey-Ronthon, etc.). A
l’heure du croisement des défis énergétiques, climatiques,
sociaux et économiques, le cheval apparaît comme une
petite pierre en plus dans l’édifice des solutions.

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JEM : un final inattendu pour François Dufour ! http://elus-bassenormandie.eelv.fr/francois-dufour-est-aussi-eleveur-de-cheval/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/francois-dufour-est-aussi-eleveur-de-cheval/#comments Mon, 08 Sep 2014 09:36:53 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=4784 Notre élu François Dufour est décidément un homme extraordinaire ! Non seulement il est Vice-Président du Conseil régional de Basse-Normandie, activité qui lui prend ses journées, week-end, ses soirs et matins mais il est aussi resté paysan bio dans le sud manche où il élève poulets, vaches à lait, pommes et chevaux. Cette dernière activité lui a valu un final des Jeux Équestres Mondiaux en beauté, comme le rapporte cet article de Ouest-France. François Dufour, l'engagement sous toute ses formes. ...]]>

Notre élu François Dufour est décidément un homme extraordinaire ! Non seulement il est Vice-Président du Conseil régional de Basse-Normandie, activité qui lui prend ses journées, week-end, ses soirs et matins mais il est aussi resté paysan bio dans le sud manche où il élève poulets, vaches à lait, pommes et chevaux. Cette dernière activité lui a valu un final des Jeux Équestres Mondiaux en beauté, comme le rapporte cet article de Ouest-France. François Dufour, l’engagement sous toute ses formes.

FDjument

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La Normandie, terre d’excellence équine et de défis à venir (AFP – avec François Dufour) http://elus-bassenormandie.eelv.fr/la-normandie-terre-dexcellence-equine-et-de-defis-a-venir-afp-avec-francois-dufour/ http://elus-bassenormandie.eelv.fr/la-normandie-terre-dexcellence-equine-et-de-defis-a-venir-afp-avec-francois-dufour/#comments Tue, 26 Aug 2014 09:34:15 +0000 http://elus-bassenormandie.eelv.fr/?p=4730 Dépêche AFP - Par Chloe COUPEAU | AFP – dim. 24 août 2014 La Normandie, qui accueille les Jeux Equestres mondiaux jusqu'au 7 septembre, est une terre d'élection du cheval, de réputation internationale, en pleine mutation mais confrontée à une baisse récente du nombre d'élevages. ...]]>

Dépêche AFP –

La Normandie, qui accueille les Jeux Equestres mondiaux jusqu’au 7 septembre, est une terre d’élection du cheval, de réputation internationale, en pleine mutation mais confrontée à une baisse récente du nombre d’élevages.

« La Normandie est une terre de réputation internationale pour l’élevage équin », assure le Belge Ingmar De Vos, secrétaire général de la Fédération Equestre Internationale (FEI), interrogé par l’AFP.

Les dernières ventes aux enchères de futurs galopeurs pur sang à Deauville, les 15, 16 et 17 août, ont confirmé que la région tenait son rang: en ces temps de crise, elles ont affiché une insolente hausse de plus de 12%. Et, outre les émirs du Moyen Orient, habitués des lieux, elles ont attiré de nouveaux investisseurs étrangers venus d’Afrique du Sud, d’Australie et des Etats-Unis, selon Arqana, l’agence organisatrice de ces enchères qui se situent au second rang européen des ventes de yearlings derrière celles de Tattersalls (Grande-Bretagne).

Nombre d’investisseurs étrangers ont « pour intérêt et objectif de laisser leurs chevaux en exploitation en France », selon Arqana.

Et, côté vendeurs, c’est un haras du Pays d’Auge, l’Ecurie des Monceaux, qui s’est retrouvé sous les projecteurs en cédant le premier jour neuf yearlings pour 4,5 millions d’euros.

Car sur cette terre qui a vu grandir de nombreux champions, d’Ourasi à Ready Cash, le trotteur aux 40 victoires, double vainqueur du Grand prix d’Amérique en 2011 et 2012, « le cheval est dans l’ADN des gens depuis longtemps », relève Ingmar De Vos.

Environ 90.000 équidés paissent les précieux pâturages de Basse-Normandie, sous le regard de 9.500 éleveurs pour une filière qui affiche un chiffre d’affaires de 1,1 milliard d’euros et génère 12.600 emplois. Au-delà des prestigieux haras, dans cette région, un agriculteur sur cinq élève des équidés, soit « deux fois plus que la moyenne nationale », selon la Direction régionale de l’Agriculture (DRAAF).

Ici, la vente de poulains constitue ainsi, bien plus souvent qu’ailleurs, un complément de revenus agricole bienvenu.

Reste que si le cheptel est en légère croissance depuis au moins 2010, selon la DRAAF, depuis le début de l’année, le nombre d’élevages baisse, en particulier les petits.

– Apprendre à vendre –

Pour François Dufour, vice-président EELV du conseil régional et ancien porte-parole national de la Confédération paysanne, ce recul s’explique d’abord par le vieillissement des éleveurs. « Le principal enjeu à l’avenir, c’est le renouvellement des générations, l’accès aux terres et à l?élevage équin pour les jeunes ».

En attendant, la famille de l’émir du Qatar a racheté trois haras normands ces deux dernières années, « un bon signe » de l?attractivité de la région et pour l’emploi dans la filière, selon Nicolas Bourgault, directeur du Conseil des chevaux de Basse-Normandie, association des éleveurs. Mais certains redoutent une « concurrence sur les terres ».

La hausse des prix des saillies depuis la privatisation, à partir de 2009, de l’activité « reproduction » assurée auparavant par les haras nationaux, a aussi contribué aux difficultés de petits éleveurs, selon M. Dufour. Et elle s’ajoute à celle des matières premières. L’enjeu est donc aussi de « développer des coopérations » entre éleveurs dans l’activité « reproduction » de chevaux pour que les saillies restent accessibles, poursuit l’élu.

Un autre défi pour la Normandie équine, au-delà de l’élevage, est d’apprendre à vendre ses chevaux de sport (concours hippique), à démarcher les acheteurs à l’étranger, selon M. Bourgault. « Pour les chevaux de courses (galop, trot), on est leaders, on sait vendre. Pour les chevaux de sport, on est distancés », précise-t-il. Il y a près de 22.500 trotteurs et 20.000 galopeurs et chevaux de sport en Normandie.

Par ailleurs, de grands haras ont engagé un bras de fer juridique contre une décharge légale récente de Guy Dauphin environnement (GDE), tout près du haras du Pin, dans l’Orne, dont ils redoutent qu’elle pollue leurs terres.

Et le « Versailles du cheval », le haras du Pin, lui-même, attend de « gros investissements », selon les éleveurs. Des élus locaux avaient dénoncé en 2012 son « délabrement » derrière les belles façades.

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