L’utilisation des listes de distribution au sein de notre mouvement peut permettre une meilleure circulation de l’information, le développement de nos capacités de mutualisation et l’approfondissement de notre réflexion collective.
Pour atteindre ces objectifs, il convient que chacun fasse l’effort de respecter quelques usages qui profiteront à tous :
- respecter le thème ou le caractère de la liste
Certaines listes sont plutôt généralistes, d’autres ont un thème ou un objectif bien défini. Dans ce deuxième cas, il faut, dans l’intérêt de tous, s’en tenir au sujet. En cas de besoin, on peut s’inscrire à d’autres listes, voire en créer de nouvelles.
- régler les différends personnels par courrier personnel
La communication distante, désincarnée, favorise parfois des incompréhensions qui peuvent dégénérer. Il convient de chercher à les éviter en s’exprimant autant que possible de façon simple et claire. Quand ça dérape, il importe d’essayer de réduire le conflit par quelques échanges privés (par courriel direct).
- ne pas enfreindre le droit d’auteur
Sur une liste on est, en général, dans un espace public. En y publiant on devient en quelque sorte éditeur. En utilisant cette possibilité d’expression on veillera à respecter les dispositions légales, notamment celles qui préservent le droit d’auteur, en ne recopiant pas des textes dont on ne détient pas les droits.
- ne pas recopier, sauf accord explicite, un message hors de la liste
Ceci s’applique, bien entendu, aux messages publiés par d’autres abonnés. Un message est publié dans un contexte précis, à un moment donné. Son auteur en garde la maîtrise. Hors de question d’en faire copie ailleurs sans son autorisation.
- ne pas envahir les listes de messages en nombre excessif
Les listes comportent souvent de nombreux abonnés. Il est de la responsabilité de tous qu’elles restent lisibles. Cela suppose, entre autres qu’on s’interdise de les inonder de messages. La participation de tous requiert la modération de chacun.
- faire un effort particulier d’information des Verts non connectés.
Gardons à l’esprit que beaucoup, par choix ou par impossibilité, ne sont pas abonnés. Ils n’en restent pas moins des adhérents à part entière. Sachons saisir les occasions pour leur transmettre les informations que nous glanons et retranscrire les débats que nous menons.