Élu, je privilégierai les solutions à long terme en matière d’infrastructures télécom et lutterai contre la fracture numérique 📱
La couverture haut débit, qu’elle soit filaire au mobile, était le parent pauvre des différentes politiques du département. Et pourtant , parmi les premiers critères au moment d’aménager dans un nouveau territoire est bien la couverture numérique.
Pire : les élus actuels s’entêtent à adopter des mesures court-termistes qui consistent à financer par la collectivité des montées en débit de l’ADSL actuel en subventionnant un monopole. Un monopole où un seul opérateur s’attribue l’exclusivité du traffic empêchant ainsi des initiatives d’opérateurs locaux ou de déploiement de nouvelles technologies de télécommunication, le tout , au frais du contribuable ornais. Le numérique est un enjeu trop important pour en confier la stratégie au seules entreprises privées.
Elu je m’engage :
- À freiner les montés en débit sur cuivre et favoriser l’implantation des réseaux d’initiative publique. Ces réseaux , installés aux frais de la collectivité avec les dernières technologies, offrent aux collectivités la capacité de LOUER cette même infrastructure aux opérateurs historiques ou alternatifs et ainsi devenir une source de financement des collectivités (ou choisir l’option de dynamiser et faire naitre un opérateur local), le tout en toute transparence et sans contribuer à un quelconque monopole sans contre partie. D’autres départements l’ont adopté : il n’y a pas de raison de ne pas le faire dans l’Orne.
- À promouvoir des initiatives associatives plus proches des usages et des utilisateurs tels que les « fablabs » ou « worklabs » et tisser les liens entre les acteurs locaux numériques et la filière agricole.
- À promouvoir la formation à l’utilisation mais aussi à la programmation : le code doit devrait devenir la troisième langue enseignée.
- À généraliser les équipements numériques en libre service dans les bâtiments publics.