Yannick Jadot est le candidat de l’écologie à la prochaine élection présidentielle. Pour contribuer à la campagne numérique, à la diffusion du projet ou encore aux déplacements de campagne, vous pouvez faire un don :

Comme Lambert Wilson, par un chèque à l’ordre d’AFE l’écologie avec Jadot, et l’envoyer par la Poste au 3, rue de Vincennes 93100 Montreuil.

( Et retrouvez sur la page Facebook de Yannick Jadot, la vidéo de soutien de Lambert Wilson).

Ou bien par carte bleue, en ligne sur www.donner.eelv.fr  

En plus, si vous êtes assujetti-e à l’impôt, votre don vous donne droit à 66% de déduction fiscale. Par exemple, pour un don de 10 euros, le coût réel après déduction fiscale sera donc pour vous de seulement 3,4 euros !

Pour le moment, 800 000 euros, c’est le budget de la campagne présidentielle de Yannick Jadot. Pour avoir un ordre de grandeur, ayez en tête que le seul meeting de la primaire socialiste du 3 décembre a coûté… 700 000 euros ! Pour pouvoir mieux porter notre message, vous pouvez nous aider à accroitre le budget de la campagne de l’écologie. Nous vous assurons que nous resterons très sobres dans nos dépenses.

Pour suivre la campagne de Yannick Jadot, rendez-vous sur le site internet avecjadot.fr, ou encore sur la page Facebook et le compte Twitter de Yannick Jadot.

L’ÉCOLO, LE POLICIER ET LE VÉLO

Imaginez un homme du monde,
Connu pour ses convictions profondes
Défendant de modeste manière
Les droits des Roms, vivant en galère

Lille, le 09 août 2016,

Les explosions au dépôt de munitions de Vimy les 7 et 8 août, nous rappellent la dangerosité des vestiges de guerre centenaires et doit nous pousser à la plus grande prudence.
Les aménagements effectués sur le site après la grande évacuation de Vimy, d’ Avion et des communes voisines en avril 2001 , nous ont certainement permis d’éviter le pire. Cependant, cet événement nous rappelle que, si le risque zéro n’existe pas, on doit toujours le rechercher.

Pourtant à environ 2 km de ce dépôt de munitions, la « Française de l’Énergie », ex-société EGL qui vient d’entrer en bourse après le rachat de GAZONOR, prévoit d’exploiter le gaz de couche à Avion.
Cette activité, coûteuse et néfaste pour l’environnement, entraînerait nécessairement la déstabilisation du sous-sol, ici friable et déjà fragilisé par plus d’un siècle d’exploitation minière. En effet, les phases de forage, d’exploration et a fortiori d »exploitation, provoqueront des microséismes et des fuites de gaz incontrôlables. Sur ce site, ces fuites et tremblements auraient alors des conséquences bien plus dangereuses pour les habitants et pour l’environnement.

Ici, comme ailleurs, les risques environnementaux et sanitaires encourus par les populations locales ne sont justifiés par aucun bénéfice commun : Pas de gaz moins cher, pas d’impact sur l’emploi (uniquement 2 emplois non locaux par forage).

Le choix de cet emplacement par La Française de l’Énergie, a t-il tenu compte de la proximité de ce site particulièrement dangereux ?
Puisque la population n’est absolument pas consultée pour ce genre de projet pouvons nous faire confiance aux industriels quand il s’agit de faire passer l’intérêt général avant leurs intérêts particuliers ?

EELV Bassin minier et NPdC ne cessent de dénoncer, avec les collectifs anti-gaz de couche, ce Projet Inutile et Imposé par les lobbies financiers et gaziers. Nous réaffirmons notre opposition ferme à la recherche et à l’exploitation de gaz de couche, et de schiste qui même consommé localement n’est pas une solution pour réduire le réchauffement climatique.

Audrey Théry et Julien Wojcieszak, porte-paroles d’EELV Bassin Minier

Lisette Sudic et Jamel Oufqir, porte-paroles d’EELV Nord-Pas de Calais

En ce moment même se déroule en Région un débat public sur le projet d’infrastructure nouvelle de transport ferroviaire entre la gare Lille Flandres et Hénin-Carvin, appelé REGL (voir : http://regl.debatpublic.fr).
Pour EELV Artois-Ternois, le projet REGL accentuerait la dynamique en cours de concentration et de métropolisation, au détriment d’un maillage équilibré de pôles urbains efficacement reliés à l’échelle de la grande et nouvelle Région. Tracé hors des centres des villes, il génèrerait de nouveaux déplacements automobiles, consommerait de précieux hectares de terres agricoles et constituerait une nouvelle fracture préjudiciable à la biodiversité.
D’un coût (sous-) estimé d’ores et déjà à 2,1 milliards d’€ (compte non tenu des nouvelles gares à prévoir) il grèverait, et pour longtemps, les capacités d’investissement des collectivités territoriales sans répondre pour autant aux besoins actuels et futurs de mobilité des habitants.
Le projet de 3ème gare européenne présenté par l’exécutif de la CUA, ne fait qu’alourdir la facture. Comment les maires de l’Arrageois peuvent-ils unanimement envisager d’implanter une gare européenne au cœur d’une zone humide protégée et priver la ville centre de ses dessertes LGV ?

Pour EELV Artois-Ternois, les besoins de mobilité durable et d ‘aménagement équilibré du territoire régional Picardie-Nord-Pas-de-Calais, passe par le développement d’un réseau ferroviaire dense, fiable, accessible et performant qui permettrait par exemple aux Artésiens d’être reliés fréquemment à Lille, mais aussi à Amiens, Abbeville ou Courtrai par un réseau de transport régional intelligemment connecté aux lignes grande vitesse européennes.

EELV Artois-Ternois demande la mise à l’étude de ce scénario alternatif.

http://artois.eelv.fr/?p=3888

Communiqué de presse

Soutien au collectif « Unis pour sauver le domaine d’Assignies à Tourmignies »

La biodiversité constitue le tissu vivant de nos territoires et rend gratuitement un nombre considérable de services : pollinisation, épuration, protection de nombreux risques…

Aujourd’hui, comme hier, le domaine d’Assignies à Tourmignies est convoité par des intérêts privés projetant d’urbaniser cet espace naturel sensible riche de sa diversité et s’inscrivant totalement dans la trame verte et bleue de notre région.

De nombreuses associations, personnalités civiles et politiques se sont réunies au sein d’un collectif et souhaitent travailler avec la Communauté de communes Pévèle-Carembault, propriétaire du site, pour préserver, mettre en valeur et valoriser ce domaine.

Janine PETIT, conseillère régionale EELV, le martèle haut et fort : « Ce domaine peut vivre, doit vivre et faire vivre la commune ; il peut répandre ses bienfaits sur l’ensemble du territoire ».

Europe Ecologie Les Verts Nord – Pas-de-Calais soutient la démarche du collectif « Unis pour sauver le domaine d’Assignies à Tourmignies » et appelle la Communauté de communes Pévèle-Carembault à travailler avec ce dernier pour la préservation de ce site.
Stéphanie BOCQUET,
Daniel COMPERE,
Porte-parole d’EELV Nord – Pas-de-Calais.

Lundi 4 mai 2015

Programme de la journée

9h30 : Accueil et visites

10h30 : Débat – Le bois au cœur de la réhabilitation écologique des bâtiments anciens ?
A l’heure où la loi de transition énergétique place la réhabilitation thermique comme un enjeu majeur, le bois local n’est-il pas l’allié incontournable de la transition écologique et sociale de la région ?
Avec les acteurs de la réhabilitation et Emmanuel Cau, Vice-Président du Conseil Régional Nord – Pas de Calais en charge de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Plan Climat.
Dialogue autour des besoins, des capacités, des ressources régionales et des politiques publiques.
Débat animé par François LACOSTE, architecte de la rénovation de la MER.

12h : Inauguration officielle et apéritif déjeunatoire

14h30 : Débat – Qu’attend-on aujourd’hui de l’écologie politique en région Nord – Pas de Calais ?
Alors que l’urgence écologique est de plus en plus pressante, la pression de la crise économique et sociale tend systématiquement à la reléguer au second plan. Au-delà de son rôle d’alerte reconnu par tous, quels discours et quelles propositions l’écologie politique doit-elle porter en réponse à cette multicrise pour constituer une alternative reconnue comme crédible ?
Avec des représentants du monde économique, des associations, des syndicats et de la société civile.
Débat animé par Ginette Verbrugghe.

Quand la mer monte !

Les journées d’été des écologistes à Bordeaux

 C’est ainsi que démarrait les journées d’été de Bordeaux dans une plénière animée par Marie Pierre sur le réchauffement climatique et la coopération décentralisée….un premier hommage aux chti ?

L’opinion publique informée par la presse retiendra de ces journées d’été la sortie du livre de Cécile Duflot….critiqué par plusieurs de nos parlementaires….conflits internes et immaturité des écologistes…

Pourtant, pour les militants du Nord Pas de Calais présents à Bordeaux, cela restera un épiphénomène face à la densité des débats que ce soit aux formations du Cedis ou aux ateliers, forums et plénière des JDE…..organisés par deux nordistes….donc bravo à Dominique (Cedis) et Marine (JDE) pour ces moments très importants de notre vie militante ! Mais que ferait EELV sans le NPDC ?

Dans mon album de photos, je retiendrai donc le forum ouvert du Cedis sur le développement durable…une journée de liberté et de débats pour « butiner » ou « papillonner » avec à l’arrivée une vingtaine de rapports écrits par les participants sur autant de débats.

On y travaille… mais on s’y détend aussi!

Je retiendrai aussi les plénières, notamment sur la loi de transition énergétique et l’espoir d’un texte qui scelle la diminution du nucléaire en France, je retiendrai aussi la plénière sur la réforme territoriale avec la « bataille » arbitrée non sans mal par Sandrine entre les différents partis de gauche sur les compétences des collectivités et leurs moyen d’intervention amputés de 28 milliards sur trois ans…. et…. le renoncement annoncé de la suppression des départements, et enfin la pléniere « qu’attends-t-on des écologistes ? » avec Emma Cosse qui rappelle aux assos environnementales que les militants écolos se lèvent chaque matin avec la détermination de lutter contre l’idée que c’est la croissance qui nous sauvera, quand elle est en train de nous perdre…..les écolos sont au boulot ! Et puis ce forum sur le front républicain avec Erwan Lecoeur et Bernard Stiegler….très controversé mais au combien nécessaire !

Il y a eu aussi de nombreux ateliers, réunions de nombreuses motions, discussions informelles autour d’une assiette d’huîtres et d’un verre de bordeaux et notre apéro partagé avec nos amis Picards…mariage forcé, de raison ou d’amour ? Les fiançailles ont été conviviales et arrosées…toujours ça de gagné !

Vincent Dhelin,
Trésorier régional, militant lommois, présent aux journées d’été à Bordeaux

L’été est de cette période où l’on prend du recul sur les évènements et le quotidien. Après les élections municipales et européennes qui ont nécessité beaucoup d’énergie et de mobilisation, le temps est venu d’approfondir notre réflexion sur l’importance de l’écologie et de le partager avec les forces vives de la région.

Pour cela, nous avons pu commencer le travail lors des journées d’été à Calais et à Bordeaux. Les 15 thématiques ouvertes par le groupe projet « régionales », avec la mobilisation des groupes locaux et d’animateurs référents, vont lancer les bouillonnements d’idées. Les temps forts sur l’arbre et sur les perturbateurs endocriniens confronteront actions de terrain et politiques publiques. Le nouvel outil qu’est la Maison de l’Ecologie Régionale donnera la visibilité à la mise en œuvre des propositions des écologistes dans la région. Les fenêtres et les portes seront grandes ouvertes pour recevoir les initiatives et faire entendre les propositions des écologistes pour construire la transition écologique.

En cette rentrée scolaire, qui voit se réaffirmer au niveau national et européen des politiques d’austérité, la voix des écologistes doit montrer les chemins de traverses. En région nous devons :

• renforcer notre mobilisation sur le développement de la biodiversité face aux défenseurs d’une ruralité en repli,

• accélérer la transition énergétique  pour abandonner les projets de gaz de Houille et envisager le démantèlement de la centrale nucléaire de Gravelines, 

• promouvoir les activités et le travail dans les économies d’énergie, l’économie circulaire, les projets de transports écologiques… face aux politiques de compétitivité destructrices d’emplois,

• engager nos territoires dans l’accès à une alimentation de qualité face aux freins à développer l’agriculture biologique localement,

Loin des remaniements, des démissions, des « yakafocons », nous devons continuer le sillon, qui depuis des dizaines d’années, donne de la perspective à cette région : l’écologie politique.

Sylviane et Marc
Secrétaires régionaux

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