L’agriculture biologique et les circuits courts ne sont pas une lubie de bobos : ils ont prouvé leur efficacité. Ils peuvent nous permettre de nous nourrir avec des produits de qualité, en respectant la nature et en valorisant mieux le travail des agriculteurs. Et bien se nourrir, c’est un élément essentiel d’une bonne santé.
Élu-e-s, nous nous engageons à faire front face aux lobbies de l’industrie agro-alimentaire, pour défendre votre santé et mettre la France sur la voie d’une agriculture réellement soutenable. Les parlementaires écologistes ont été en pointe pour la promotion du bio ou l’élimination des pesticides, dans la lutte contre la malbouffe, et aussi pour la défense des terres agricoles, que l’urbanisation sauvage réduit dangereusement. Mais beaucoup reste à faire !
Votez pour Gilles Seignan et Hélène Rajcak, candidats d’Europe Écologie-Les Verts pour placer l’alimentation et la santé au coeur des politiques publiques.
NOUS VOULONS UNE AGRICULTURE BIO ET LOCALE
• NOTRE OBJECTIF : 20 % DES SURFACES AGRICOLES EN BIO et 100 % D’ALIMENTS BIOS ET LOCAUX DANS LES CANTINES en 2022.
Pour cela, il est nécessaire de développer une offre alimentaire au plus près des bassins de vie en relocalisation les productions.
• PRÉSERVER LES TERRES AGRICOLES EN DANGER comme au triangle de Gonesse, au plateau de Saclay ou à Notre Dame des Landes. Dès 2018, nous voulons un moratoire sur l’artificialisation et l’accaparement des terres agricoles et pour obtenir l’adoption d’une « directive sols » à l’échelle européenne et l’introduction d’une taxe sur l’urbanisation des terres agricoles.
• RÉFORMER LA PAC DÈS 2020, en prenant en compte les services environnementaux et sociaux de l’agro-écologie.
• ZÉRO FERME-USINE EN 2022.
• Aider les éleveurs à évoluer vers des PRODUCTIONS AU PÂTURAGE ET EN PLEIN-AIR.
• INTERDIRE TOUTE FORME D’APPROPRIATION DU VIVANT et en reconnaissant des droits d’usage collectifs sur les semences.
NOUS PROTÉGERONS LA BIODIVERSITÉ ET LA SANTÉ DES CONSOMMATEURS
• NOTRE OBJECTIF : ZÉRO PHYTO EN 2025
Interdiction immédiate des pesticides les plus dangereux (glyphosate, etc) et augmentation des recherches sur les alternatives techniques.
• INTERDIRE TOTALEMENT LES OGM
En réaffirmant l’interdiction stricte de la culture et de l’importation des OGM agricoles (y compris les «OGM cachés» issus de mutagénèse dirigée et des nouveaux «OGM NBT-New Breeding techniques»).
• LUTTER CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE en réduisant de moitié les émissions de gaz à effet de serre d’origine agricole d’ici 2050.
• Mettre en œuvre les mesures préconisées par la Commission d’enquête parlementaire sur les CONDITIONS D’ABATTAGE DES ANIMAUX DE BOUCHERIE.