Ce sont près de 150 000 Français que je m’engage à représenter à l’Assemblée nationale dès juin 2017, qu’ils soient établis en Allemagne, en Albanie, en Autriche, en Bosnie Herzégovine, en Bulgarie, en Croatie, en Hongrie, au Kosovo, en Ancienne République Yougoslave de Macédoine, au Monténégro, en Pologne, en Roumanie, en Serbie, en Slovaquie, en Slovénie ou bien en République Tchèque.

Ce sont en fait seize Etats qui composent la 7ème circonscription des Français établis hors de France pour laquelle je suis candidate. Seize Etats dans lesquels les conditions de vie des Français diffèrent. De par l’actualité politique qui les caractérise, leur statut européen mais aussi de par les liens culturels et diplomatiques qu’ils entretiennent avec la France, ces seize Etats présentent en effet une grande diversité.

De cette diversité ne doit cependant pas résulter une inégalité pour les citoyens français de la circonscription. C’est pourquoi je m’engage concrètement à représenter leurs intérêts auprès du Parlement français. L’objectif d’un accès équitable à la culture française, d’une fiscalité juste et de procédures administratives simples guideront donc mon action de députée.

Par ailleurs, la diversité caractéristique de la circonscription viendra éclairer mes décisions. Comparer des politiques avec lesquels d’autres Etats agissent face aux défis de demain ne peut que nous aider à formuler des solutions efficaces.  Pour des sujets communs aux seize Etats membres de la circonscription tels que la transition écologique, le développement économique ou la construction européenne, observer des initiatives étrangères me semble particulièrement enrichissant.