Etablir de nouvelles mesures de la richesse basée sur l’utilité sociale et la performance environnementale

Dans toutes les économies occidentales (France, Allemagne, Etats-Unis etc..) la croissance du PIB (Produit Intérieur Brut) ne cesse de diminuer. Posée comme condition fondamentale à la création d’emploi et au mieux-vivre, elle nous empêche de développer des politiques économiques, sociales et environnementales réellement innovante. Comme de nombreux économistes internationaux le réclament, il est impératif de changer la mesure de la richesse (J. Stiglitz par exemple, ancien conseiller de Bill Clinton, Prix Nobel d’économie) et à court terme de maîtriser l’évaluation et d’assurer la transparence de la dette publique. Pour cela, établissons un audit citoyen de la dette, créons une agence de notation publique, mettons en place une taxe sur les transactions financières.