En 2012, participer à la manifestation du 1er mai au coté des syndicats, c’est soutenir et préserver le droit syndical en France, et à travers eux, celui des travailleurs. C’est se mobiliser pour que les attentes des salariés soient entendues et que cessent les atteintes envers le droit du travail.
En France, même si nos conditions sont meilleures que dans d’autres pays, elles se détériorent. La crise ne doit pas être une excuse qui justifie la dégradation des conditions de travail des français : précarisation du temps de travail, , recours plus soutenu à la sous-traitance, pression du résultat, augmentation de la souffrance morale au travail etc. Il faut d’urgence permettre à tous les salariés d’exercer dans des conditions plus dignes.
Les écologistes dont je fais parti, veulent inciter à d’avantage de partage des ressources du travail, à l’invention de nouveaux rapports sociaux de coopération. Nous avons tous à gagner de la participation active des salariés à l’organisation du travail, pour valoriser les compétences, définir les objectifs, les besoins en formation et prévoir les évolutions de l’outil de production par exemple.