Si à Bonneuil, Champigny et Créteil cela préoccupe peu les gens, dans le microcosme politique de Saint Maur, la grande affaire, c’est l’inéligibilité éventuelle d’Henri Plagnol. Jacques Leroy, déjà remplaçant de sénateur, ne pourrait être son remplaçant…
Cette situation, qui ne m’intéresse pas beaucoup, m’inspire quand même une réflexion : Jacques Leroy est premier adjoint de Saint Maur, Conseiller Général du Val-de-Marne, remplaçant de sénateur. N’y-a-t’il personne d’autre que lui dans la majorité municipale pour être remplaçant aux législatives ?
A part cela, je crains seulement que la campagne ne dégénère en pugilat entre candidats de Droite, comme ce fut le cas aux cantonales de 2011 sur le canton centre de Saint Maur. Une élection doit se gagner sur les convictions, les idées, les propositions. J’espère qu’Henri Plagnol sera battu parce qu’il incarne une politique incapable de répondre aux défis de la crise sociale et écologique.