Une campagne de proximité menée tambour battant, bannières vertes et jaunes flottantes et vélo roulant, avec enthousiasme, conviction, sérieux et convivialité à la suite d’une candidate déterminée, combative, attentives aux autres et endurante. Tractage, collage et recollage, image, graphisme, réunion, meeting, débat de rue, porte à porte, pique-nique, circovélo, vague verte, bureau de votes, dépouillement, nous avons fait plein de choses, nous avons appris plein de choses.

Si les résultats n’ont pas été à l’aune des énergies dépensées et des espoirs, un groupe local est né solidaire, dynamique et tout aussi déterminé, édifié sur l’engagement et la rencontre.

C’est de ces entreprises que naissent les aventures politiques et humaines, et les fondations d’un futur soutenable.

Sur cette assise, nous sommes prêts à continuer pour que, tout simplement, nous fassions d’EELV un mouvement déterminant pour transformer l’avenir de ces quartiers que nous avons arpentés depuis plusieurs mois maintenant. Un avenir écologique avec l’écologie politique comme référence.

Vous avez envie que l’écologie progresse dans votre quartier ? Nous avons besoin de vous :

• Rejoignez notre groupe pour préparer et écrire d’autres épisodes du Vivre mieux dans une société écologique. Prochaine réunion (projet du groupe pour les 2 ans à venir) mercredi 13 juin, 18h30.
• Et/ou, si vous le pouvez, faites un don – puisqu’il nous faut donc rembourser nos 13 000 euros de frais de campagne.

Pour les électeurs qui comptent sur son avis, au 2e tour, Michèle Rubirola-Blanc appelle à soutenir sans réserve la candidate socialiste et Ministre du gouvernement Ayrault, Mme Carlotti, pour battre M. Muselier (UMP, sortant).

Indécis ? nous vous recommandons cette saine lecture pour vous aider à vous décider.

Consultez-là pour savoir si vous aurez l’immense chance de pouvoir voter pour EELV incarné par Michèle Rubirola-Blanc dimanche prochain !

Crédits : @8080dzgn

Version PDF à télécharger #circo1305

Pourtant on en a fait des choses… des ateliers de rue aux pique-nique citoyens, du porte-à-porte ouvrant à des rencontres inattendues aux tractages les plus classiques, des réunions de campagne épiques autour de couscous bio aux erreurs que l’on a utilisées pour construire encore plus de collectif, des fous-rires à la lassitude, parfois…

Mais la CircoVélo, c’était autre chose, un autre niveau, une autre dimension. Nous sommes un tout petit groupe, naissant, sur une circonscription qui n’existait pas auparavant, redécoupage oblige, mais un sacré petit groupe, d’autant plus collectif qu’étant informel, il échappe à l’isomorphisme. Cette CircoVélo était belle parce qu’elle était oeuvre collective.

• Tous, nous l’avons rêvée.
• Les premiers ont fait un parcours de folie, avec mesure du dénivelé au mètre près (à Marseille, tout un enjeu..), relevé GPS et horaires de passage au petit poil.
• Les deuxièmes l’ont testé. Jusqu’en haut de Notre Dame de la Garde.
• Les troisièmes l’ont mis en image. Puis l’ont communiqué sur tous les fronts, tellement bien d’ailleurs qu’ils ont fait rager l’UMP qui, d’une pâle copie uniformée sur vélos de ville qui se prenaient dans les rails du tram (forcément, quand on n’a pas l’habitude) a vainement tenté de décourager nos ballons verts.
• Les quatrièmes ont pris leurs vélos, leurs rollers, leur camion placardé d’affiches, le gaspacho, leurs mollets et leur bonne humeur de bon matin.
• Et les cinquièmes… ont tous eu du pique-nique à l’arrivée.

La rue nous a accueilli chaleureusement, et nous avons pu échanger ce jour-là encore plus que d’habitude avec les passants, espérant, par notre enthousiasme, donner du poids à l’écologie le 10 juin. Merci à tous pour votre accueil et votre ouverture ! Pensez à dimanche !

Les militants EELV Marseille, circo1305,

groupe de soutien à la candidature de Michèle Rubirola-Blanc

Photos : Crédits

(oh ! le beau néologisme dit l’auteur, qui ne cache pas son admiration)

« Quand j’étais gamine mon père m’asseyait sur ses genoux, bien en face de lui et on jouait. On jouait au mémo des images. Il me sortait une carte et demandait :

-       et ça, c’est qui ?

-       Mao Tsetung !

-       Et ça ?

-       Lénine !

-       Et ça ?

-       Léon Trostky, papa !

J’avais quatre ou cinq ans et j’étais incollable – je les connaissais tous. »

Elle sourit, happée par son souvenir. Nous sommes le 15 avril, à Marseille, chez Michèle. Cela fait quelques mois que je bosse avec elle – moi la nouvelle petite militante, ecologeekette de service – et j’ai enfin réussi à la coincer un après-midi pour lui faire raconter son histoire… son histoire de Grande Militante, de maman, de marseillaise, de médecin, bref, son histoire de Femme avec un grand F. Et puis, à titre purement perso, j’aimerais aussi savoir le fin du fin des éléphants qui défjlent en désordre, là, derrière, sur l’étagère noire.

-       tu comprends, Michèle, sur ton site internet, on va mettre nos valeurs, nos idées, nos projets, le fil des actus nationales, tes comptes Facebook et Twitter, tes hauts faits, tes titres et tes diplômes, évidemment oui c’est important… mais ce qu’on veut, ce sont des tripes… qui, d’où, pourquoi, comment… tu es une femme formidable, nous, on le sait mais les autres… ? Mets donc un peu ton cœur sur la table s’il te plait.

Voilà donc comment je me retrouve un après-midi entier, en face de ma candidate (Europe-Écologie), à moins d’une semaine du premier tour des présidentielles, dans une effervescence qui oscille entre excitation de l’échéance et panique du ventre noué.

Michèle travaille. Ce qui revient en réalité à dire qu’elle jongle entre la Sécu, où elle est médecin à mi-temps, et Europe-Écologie qui occupe l’autre partie de son temps. Enfin… « l’autre partie »… avec aussi ses engagements associatifs… ses combats… ses passions, ses enfants, ses amis, « sa » montagne, ses chats, sa cuisine, le sport, sa rééducation du genou et… Mais je crois bien qu’avec Michèle, on n’a jamais vraiment fini de faire le tour des innombrables parties de son temps.

Entre deux appels concernant le dossier X qu’elle suit même si elle n’est pas au boulot cet après-midi « parce que c’est important pour cette personne », elle bataille avec les mairies de secteurs où elle doit inscrire les délégués EELV qui tourneront sur les bureaux de vote sur tout Marseille le dimanche des élections, relance les groupes-locaux-qui-ont-envoyé-les-noms-mais-ont-oublié-les-dates-de-naissance, rassure les instances régionales du parti qui s’inquiètent, motive sa petite équipe qui tracte avec ardeur pour la dernière ligne droite d’Eva sur la 5^e circo, m’écoute avidement quand j’essaie de lui apprendre à dompter Twitter, et répond à mon insatiable curiosité. « Oh ! Et fais-moi penser à ne pas oublier de lancer le navarin d’agneau tout à l’heure avant qu’on parte, mon grand sera tout seul ce soir il faut qu’il mange… ».

Nous reprenons.

(NB… cet article est découpé en plusieurs pages. Pour accéder à la suivante, cliquez sur les numéros en dessous de la photo. Désolée, nous avons été trop bavardes.)

Je m’engage dans ces élections législatives pour que soient mises en oeuvre des politiques publiques permettant de vivre dignement dans un environnement préservé. Un vote écologiste fort pèsera sur les politiques sociales, économiques et environnementales menées pendant 5 ans. Je veux construire une majorité de combat car l’écologie est le grand défi de notre temps et l’espoir des générations futures. Il n’y aura pas d’écologie sans les écologistes.

Aujourd’hui, vous pouvez créer une autre dynamique au sein de la gauche au niveau national comme au plan local. Entre abandon du service public de l’éducation et de la santé et hausse vertigineuse des loyers, Marseille se paupérise et se divise. Notre ville, pourtant riche de potentialités, souffre de l’insuffisance de logements à basse consommation d’énergie, de pollutions qui dégradent l’environnement, de transports en commun inadaptés. Il n’y a pas de fatalité.

Je m’engage à défendre une société plus juste garante d’un meilleur avenir pour vous et vos enfants. Il dépend de vous que le Parlement engage la transition écologique de la société. L’avenir se construit aujourd’hui.

Michèle Rubirola-Blanc,

candidate EELV 5e circonscription des Bouches-du-Rhône, Marseille

TELECHARGER LE : tract de campagne

© Guillaume Ruoppolo

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Je vous propose une action concrète : la rénovation énergétique des copropriétés. Immédiatement réalisable, ici et maintenant. Parce que c’est ma passion, je suis attentivement toutes ces questions, qui évoluent à grande vitesse. Marseille ne doit pas rester en retard !

Photos.

NB Crédits photos @ToaniESS

Dans le cadre de Chernobyl Day en région PACA,

Chaine Humaine, du dimanche 29 avril 2012,
devant le parking du CEA Cadarache

Déroulement de la journée :

14H30-15H : Rassemblement

Rassemblement devant le parking devant l’entrée du CEA Cadarache
DÉPART de la Chaîne le long de la D952 en direction d’ITER

Seront présents :

M. Jean-Pierre Petit, physicien
M. Olivier Florens, vice-président du Conseil Général de Vaucluse
M. Roger Pizot, maire de St-Paul-lez-Durance

Gendarmerie présente, les automobilistes seront invités à ralentir
Prévoir un GILET JAUNE FLUO DE SÉCURITÉ.

15H-16H : Chaîne Humaine

Apporter (ou pas) vos drapeaux et pancartes informatives et/ou revendicatives.
Mieux vaut prévoir des pancartes lestées à terre ou des pancartes à s’attacher
sur le buste pour être plus à l’aise dans nos déplacements. Les compteurs
GEIGER seront les bienvenus

16H : Fin de la Chaîne Humaine et retour parking CEA.

16H30 : Départ groupé vers une aire de pique-nique proche. Chacun amène (ou pas) un goûter : gâteaux, fruits, boissons à partager en toute convivialité.

Ce sera l’occasion pour nous de nous rencontrer ou de mieux nous connaître.

Échanger des infos sur le nucléaire, sur les sites de Cadarache et Iter, mais aussi sur les différents scénarii de sortie des énergies fossiles et dégradantes, la réaction d’urgence du Japon, le fonctionnement énergétique de l’Allemagne.

Infos communiquées par Réseau Sortir Du Nucléaire / Medium Section

Plan d’accès (PDF)
Doc concernant cet article (PDF)