La loi de juillet 2011 n’a pas arrêté la possibilité de faire des forages à 3000m de profondeur pour mesurer le potentiel énergétique des puits.
Aujourd’hui des permis sur le Gers et le Tarn et Garonne sont remis à l’instruction.
Nul ne sait quelles seront les diverses réactions chimiques entre les composants de la roche, le gaz et l’eau sous pression. Nous ne savons pas quelles seront les conséquences environnementales : si l’eau de nos rivières et les nappes phréatiques sont touchées, c’est notre agriculture et notre eau qui seront mises en danger !