Il y a un an la catastrophe nucléaire de Fukushima dévastait un territoire grand comme la Belgique de manière irréversible, avec des conséquences graves pour les hommes, les générations futures, le territoire et la planète, encore mal évaluées.
Sortir du nucléaire pour éviter le pire pour préserver l’avenir c’est possible en 20 ans par la transition énergétique
A lire, le projet EELV, sortir du nucléaire
Le nucléaire est la seule énergie dont le coût continue d’augmenter à cause d’une technologie trop complexe. L’Autorité de sûreté nucléaire dénonce la trop grande vulnérabilité de nos centrales françaises (58 réacteurs, dont plusieurs ont 30 ans). La mise aux normes de sécurité du parc français est évaluée à 60 milliards d’euros.
Changer de modèle énergétique créé de l’emploi comme en Allemagne, plus de 350 000 depuis que le pays a pris la décision de sortir du nucléaire.
Aujourd’hui à Lomme, au pied du pont Supérieur où passent des trains de déchets radioactifs et partout dans la région, Europe Ecologie les Verts, plantent en signe de résistance, des ginkgos bilobas, seul arbre ayant résisté aux radiations de la bombe d’Hiroshima.
Aujourd’hui cette plantation symbolique marque notre engagement pour les générations futures. Enterrons le nucléaire avant qu’il ne nous enterre ! (http://nantes.eelv.fr/enterrons-le-nucleaire-avant-quil-ne-nous-enterre/)
Sortir du nucléaire c’est possible et rendez-vous dans 20 ans, quand nous aurons fait la transition énergétique !
Lise Daleux
Lu dans la Voix du Nord, ce mardi 13 mars 2012 :
Symbole d’une résistance, affirmation d’une « volonté », une « exigence », celle de « sortir du nucléaire dans les 10 ans » : un an après la catastrophe de Fukushima, Lise Daleux, candidate aux législatives, lire la suite de l’article…