Le 8 mars, journée de lutte pour les droits des femmes

C’est le jour de pointer du doigt les inégalités et discriminations, et de proposer des solutions concrètes pour une réelle égalité femmes-hommes.

Le sexisme est insidieux, beaucoup moins flagrant qu’un accès de misogynie, et n’importe qui peut s’en tomber dedans à un moment de sa vie. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous sommes toutes et tous éduqué-e-s dans l’idée d’un clivage femmes-hommes.

Nicole DOSSAT, suppléante, participera à plusieurs manifestation à L’Isle-sur-la-Sorgue et Cavaillon.

 

Quelques faits

 

Les femmes sont 5 fois moins nombreuses que les hommes au parlement.

Elles représentent 53% du corps électoral (51% de la population globale) et il n’y a que 18,5% de femmes députées et 22,5% de femmes sénatrices.

La force d’EELV : un parti paritaire, un groupe de sénateurs et sénatrices paritaire, autant de femmes que d’hommes investies aux législatives.

 

En 2012, les femmes gagnent 27% de moins que les hommes.

80% des salarié-e-s à bas salaires sont des femmes, parce que celles-ci sont cantonnées dans des métiers féminisés et / ou travaillent à temps partiel (81% des emplois à temps partiel sont occupés par des femmes).

Le taux de chômage des femmes est de 2 points supérieur à celui des hommes.

Les propositions d’EELV : faire appliquer la loi sur l’égalité salariale en coupant les fonds publics donnés aux entreprises récalcitrantes ; mettre fin aux temps partiels contraints.