Article de Vincent Meyer, candidat dans la 9e circonscription du Rhône
De plus en plus, dans les medias, on entend parler du libre, de culture libre, de communautés du libre, de livres et de musiques libres et bien sûr de logiciels libres !
Il est important de comprendre que le libre n’est pas gratuit. Mais accéder à de la musique gratuitement n’est pas du vol si elle est libre.
Un produit ( fruit d’une production) est défini pas sa licence. L’auteur de cette production intellectuelle choisit d’appliquer une licence pour cette dernière. Par défaut, le droit d’auteur dans la loi française est très restrictif dans le but de protéger les auteurs. Avec le temps et les nouveaux usages des biens culturels, de nombreux auteurs ont ressenti le besoin ou l’envie de partager autrement leurs créations.
Dans le monde du logiciel, l’initiateur (ou le visionnaire ) fût Richard Stallman qui, dés 1983-84, comprit que les logiciels privateurs enfreignaient des principes essentiels et nos libertés numériques!
Richard Stallman (RMS ) ecrivit donc une nouvelle licence : la GPL (pour General Public License) qu’il associa à un projet de système d’exploitation : GNU
RMS défini le logiciel libre avec 4 libertés fondamentales :
- utiliser
- connaître
- adapter
- partager en libre
Depuis, des dizaines de licence compatibles GPL sont apparues et les meilleurs logiciels au monde sont des logiciels libres.
Un nouveau noyau de système d’exploitation a fait apparaître le système GNU/Linux. Il tourne sur les principaux et plus puissants super-calculateurs au monde.
L’université de Berkeley a crér une autre licence libre: la Berkeley software Distribution (BSD) qui, elle, autorise le retour vers du logiciel privateur (c’est la licence de l’open source !).
De nombreuses conférences de RMS existent. cf expliquer la GPL !
Dans la musique et les livres un ensemble se licences ont été écrite. Il s’agit des creatives commons là
par exemple :
la plateforme Dogmazic pour la musique libre !
Un Editeur libre :http://www.inlibroveritas.net/
Pas mal de pouvoir parler de ça directement sur le portail national, mais tu vas t’attirer les foudres de tous les occitanistes : on écrit « qu’es aquò » !
(il y a aussi quelques typos par ci par là dans le texte, ce serait pas mal de le relire).