Ce soir, 6 mai 2012, c’est la joie : exit, le président qui a mis la France à genoux !
Ce soir 6 Mai, c’est l’espoir.
Il va falloir gagner la manche suivante : les élections législatives.
Qu’une majorité de gauche soit présente sur les bancs de l’Assemblée Nationale.
Qu’un nombre certain d’écologistes y accèdent et puissent représenter une force de propositions.
L’écologie, la grande absente du débat depuis plusieurs mois puisque les petites voix qui voulaient se faire entendre ont été volontairement reléguées et méprisées.
Cela ne peut plus durer.
• Parce que les réserves naturelles s’épuisent et les terres se réduisent.
• Parce que l’eau manque déjà sur une partie importante du monde et va manquer de plus en plus.
• Parce que l’état de nos finances et de notre mode développement est incompatible avec l’état du monde.
• Parce que, nous sommes avant tout, des habitants du Monde et qu’il est vain de vouloir regarder la pointe de ses pieds.
• Parce que la terre n’attendra pas la volonté commune et majoritaire pour se rappeler à tous; Elle le fait déjà et les soi-disant 40 à 50 ans qui étaient devant nous se réduisent à 10 ans… Demain !
Ce matin 7 Mai, l’espoir est là. Le Président élu, François Hollande va sûrement gouverner « autrement » et c’est pour cela que nous nous sommes engagés pour le faire élire. Tous ensemble, nous devons impulser, soutenir ce projet et le faire avancer. Tout ce qui est figé stagne. Le Projet doit évoluer et notamment vers plus d’écologie politique.
Oui, je suis de gauche et je le revendique depuis Mendès-France, en passant par Mitterrand en 81. Déçue ensuite.
Oui, je suis écologiste engagée parce qu’il est impensable et dangereux de ne pas l’être. Il en va de l’avenir de l’Humanité. Nous ne voulons pas la récession, ni la stagnation. Nous voulons une sobriété acceptée, respectueuse de l’environnement et de l’humain. Une sobriété basée sur un équilibre entre efficacité et renouvelable.