Actualites http://actualites.eelv-legislatives.fr La candidature EÉLV pour la Nom de la circo aux Élections Législatives 2012 Wed, 28 Mar 2012 15:41:07 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.4.2 Fuite de gaz au large de la Mer du Nord : l’Union doit se doter de règles plus strictes http://actualites.eelv-legislatives.fr/fuite-de-gaz-au-large-de-la-mer-du-nord-lunion-doit-se-doter-de-regles-plus-strictes-2/ http://actualites.eelv-legislatives.fr/fuite-de-gaz-au-large-de-la-mer-du-nord-lunion-doit-se-doter-de-regles-plus-strictes-2/#comments Wed, 28 Mar 2012 15:39:06 +0000 Robot http://825.839 elgin-franklin-platform

La branche britannique de Total a annoncé avoir cessé la production de pétrole et de gaz sur sa plate-forme d’Elgin-Franklin en mer du Nord et mis en place une zone d’exclusion maritime de deux milles, suite à une fuite de gaz survenue dimanche. Alors que la plateforme dispose d’une capacité de production quotidienne de 280.000 barils équivalent pétrole, 175.000 barils de condensats et 15,5 millions de mètres cubes de gaz, plus de 20 tonnes de gaz se seraient déjà échappées en mer. Bien que jugé à ce stade « minime » quant à son impact sur l’environnement, ce nouvel accident conforte la position des écologistes à vouloir faire adopter un cadre réglementaire européen plus sévère pour ces activités à haut risque.

Pour Sandrine Bélier, eurodéputée membre de la commission environnement :

«Combien d’alertes ou de catastrophes faudra-t-il encore pour que la gestion des plateformes pétrolières soit enfin prise au sérieux ? Au total, 23 tonnes de gaz se seraient déjà échappées de la plate-forme en 48 heures. Avec ses 500 plateformes, la Mer du Nord est aujourd’hui l’une des zones les plus exposées en Europe à la pollution des grandes industries d’extraction et d’exploration pétrolière et gazière. En octobre 2011, le Parlement européen avait adopté un rapport appelant au renforcement des règles plus strictes en matière de sécurité des plateformes pétrolières et gazières. Ce nouvel incident démontre une nouvelle fois l’urgence qu’il y a agir en ce domaine et la nécessité d’un moratoire sur toute nouvelle exploitation en pleine mer ».

L’eurodéputée poursuit : « Alors que les forages s’étendent chaque jour plus loin des côtes et atteignent des profondeurs abyssales – entraînant une augmentation des risques en matière de gestion et de surveillance des installations – , le Sommet de Rio en juin prochain sera aussi l’occasion pour l’UE et la communauté internationale de prendre les mesures adéquates de protection des milieux marins et océans de plus en plus menacés ».

Pour José Bové, eurodéputé :

«En France, le permis Rhône-Maritime au large de la Méditerranée arrive bientôt à échéance. Il est urgent de ne pas le reconduire, pour protéger la Méditerranée et sa biodiversité privilégiée de ces risques largement avérés. A l’appel du Collectif « le Var dit non au gaz de schiste », une journée de mobilisation est organisée le dimanche 8 avril contre le renouvellement du permis. Un rassemblement terrestre aura lieu à la Seyne-sur-Mer et une flottille maritime s’organisera au large du Fort de Brégançon. Soyons nombreux pour lancer l’alerte.»

Pour Michèle RIVASI, porte-parole d’Eva Joly :

« Cette catastrophe n’est pas une surprise. Nous avons découvert avec la catastrophe de Deepwater Horizon que les ingénieurs jouaient aux apprentis sorciers pour tenter de maîtriser des conditions d’extraction extrêmes. Les pressions  en eaux profondes sont telles que toute maîtrise de l’accident dans un délai raisonnable est impossible: il aura ainsi fallu trois mois pour endiguer une catastrophe qui relâchait 53 000 barils de pétrole par jour. Aujourd’hui, Total nous annonce que la maîtrise de cette fuite pourrait prendre six mois. Une catastrophe de plus qui renforce les écologistes dans leur opposition au renouvellement du permis d’exploration Rhône Méditerranée, situé à proximité des côtes marseillaises: un tel accident en mer fermée signifierait la pollution de réserves naturelles et la suppression de dizaines de milliers d’emplois dans le tourisme. »

Cette catastrophe de trop n’est sûrement pas la dernière: « Si nous n’engageons pas une transition énergétique rapidement, si nous n’apprenons pas à sortir des énergies fossiles progressivement, nous subirons de plus en plus de catastrophes similaires. Jusqu’ici, nous avions un pétrole abondant, de bonne qualité et donc peu cher. Aujourd’hui ce n’est pas seulement le déséquilibre entre l’offre et la demande qui conditionne les prix, mais aussi et surtout les conditions d’extraction. Sables bitumineux, gaz et huiles de schiste, forages en eaux profondes sont les dernières idées trouvées par les compagnies pétrolières pour maintenir notre addiction aux énergies fossiles. Les risques sont accrus, les technologies mal maîtrisées et les prix ne reflètent pas les impacts environnementaux dévastateurs de celles-ci. »

Et Michèle RIVASI de conclure: « Nous sommes aujourd’hui face à un enjeu historique: nous devons amorcer la troisième révolution industrielle pour éviter une crise énergétique, et ni l’UMP ni le PS ne semblent le comprendre. La fuite en avant continue, et comme toujours ce sont les précaires qui paient le prix fort. Le prix de l’essence, du gaz et du fioul vont augmenter, c’est pourquoi il faut investir pour garantir l’accès aux technologies les plus économes en énergie, afin d’alléger les factures des ménages. Il faut aussi investir dans les nouvelles sources d’énergie et revoir notre urbanisme et nos modes déplacement, en garantissant un service public de transports efficace pour tous: c’est ce que propose Eva Joly« .

]]>
http://actualites.eelv-legislatives.fr/fuite-de-gaz-au-large-de-la-mer-du-nord-lunion-doit-se-doter-de-regles-plus-strictes-2/feed/ 0
Pétrole de Schiste : Communiqué de presse de Mme Caroline Pinet candidate écologiste sur la 4ème circonscription de Seine & Marne http://actualites.eelv-legislatives.fr/petrole-de-schiste-communique-de-presse-de-mme-caroline-pinet-candidate-ecologiste-sur-la-4eme-circonscription-de-seine-marne/ http://actualites.eelv-legislatives.fr/petrole-de-schiste-communique-de-presse-de-mme-caroline-pinet-candidate-ecologiste-sur-la-4eme-circonscription-de-seine-marne/#comments Wed, 28 Mar 2012 15:37:34 +0000 benedictemonvilledececco http://860.3033 COMMUNIQUE DE PRESSE

Pétrole de Schiste en Seine-et-Marne : Mépris et accélération

De la signature – à « l’insu du plein gré » de Mr Borloo – des permis autorisant l’extraction, par des méthodes ravageuses, du pétrole de schiste, plus polluant que le pétrole conventionnel, dans tous les coins de notre département à la publication de la composition de la commission censée évaluer impartialement les méthodes, tout ce dossier est marqué par le plus grand mépris des populations, des élus et de nos territoires de vie.

Ainsi, après avoir lancé en janvier une courte « concertation » dans un obscur recoin du site du ministère et sans même prévenir les élus des communes directement concernées, le gouvernement vient de fixer une composition de la Commission ad hoc qui la rend d’emblée majoritairement favorable à la fracturation hydraulique. Et, probablement pour sécuriser au plus vite les intérêts des pétroliers quelque soit le résultat de l’élection présidentielle, il prévoit de désigner nommément lui-même et pour 3 ans la majorité de ses membres. Quant aux cinq élus nationaux et territoriaux, rien n’assure que le moindre d’entre eux soit confronté dans sa commune ou son territoire par ce calamiteux projet .

La loi Jacob qui a été vendue au plus grand nombre, par le gouvernement et sa majorité, comme une loi protectrice, n’était bien, comme nous le disions, qu’une loi arrivée opportunément pour faire tomber en période électorale, la mobilisation que nous avions provoquée.

Non, nous ne laisserons pas saccager nos communes et notre santé pour permettre à quelques compagnies pétrolières et financières de réaliser de très confortables bénéfices pour extraire pendant quelques années 1% de notre consommation nationale de pétrole. Et toutes les manoeuvres discrètes qui sont mises en oeuvre pour qu’ils parviennent rapidement à leurs fins avec le soutien actif du gouvernement sortant n’y feront rien.

Caroline Pinet

EELV

]]>
http://actualites.eelv-legislatives.fr/petrole-de-schiste-communique-de-presse-de-mme-caroline-pinet-candidate-ecologiste-sur-la-4eme-circonscription-de-seine-marne/feed/ 0
Gaz et huile de schiste : notre avenir énergétique n’est pas à brader, il est à débattre http://actualites.eelv-legislatives.fr/gaz-et-huile-de-schiste-notre-avenir-energetique-nest-pas-a-brader-il-est-a-debattre/ http://actualites.eelv-legislatives.fr/gaz-et-huile-de-schiste-notre-avenir-energetique-nest-pas-a-brader-il-est-a-debattre/#comments Wed, 28 Mar 2012 15:25:05 +0000 benedictemonvilledececco http://860.3023 Chez Michèle Rivasi

Députée européenne (Europe Ecologie) de la région Grand Sud Est et professeur agrégée de biologie.

Publié le 26/03/2012 à 08h43

La menace environnementale et sanitaire que représente l’exploitation des gaz et huiles de schiste dans notre pays a mené à une mobilisation citoyenne sans précédent. La loi du 13 Juillet 2011- sensible à cette inquiétude – a interdit en France l’emploi de la fracturation hydraulique, jugée trop polluante pour l’eau. Une décision purement politicienne de l’UMP qui tenta de couper l’herbe sous le pied des élus socialistes et écologistes, à l’approche des élections sénatoriales mais aussi présidentielles.

lire la suite là :

http://blogs.rue89.com/michele-rivasi/2012/03/26/gaz-et-huile-de-schiste-notre-avenir-energetique-nest-pas-brader-il-est-0

]]>
http://actualites.eelv-legislatives.fr/gaz-et-huile-de-schiste-notre-avenir-energetique-nest-pas-a-brader-il-est-a-debattre/feed/ 0
Fuite de gaz au large de la Mer du Nord : l’Union doit se doter de règles plus strictes http://actualites.eelv-legislatives.fr/fuite-de-gaz-au-large-de-la-mer-du-nord-lunion-doit-se-doter-de-regles-plus-strictes/ http://actualites.eelv-legislatives.fr/fuite-de-gaz-au-large-de-la-mer-du-nord-lunion-doit-se-doter-de-regles-plus-strictes/#comments Wed, 28 Mar 2012 15:18:00 +0000 Robot http://852.1682 elgin-franklin-platform

La branche britannique de Total a annoncé avoir cessé la production de pétrole et de gaz sur sa plate-forme d’Elgin-Franklin en mer du Nord et mis en place une zone d’exclusion maritime de deux milles, suite à une fuite de gaz survenue dimanche. Alors que la plateforme dispose d’une capacité de production quotidienne de 280.000 barils équivalent pétrole, 175.000 barils de condensats et 15,5 millions de mètres cubes de gaz, plus de 20 tonnes de gaz se seraient déjà échappées en mer. Bien que jugé à ce stade « minime » quant à son impact sur l’environnement, ce nouvel accident conforte la position des écologistes à vouloir faire adopter un cadre réglementaire européen plus sévère pour ces activités à haut risque.

Pour Sandrine Bélier, eurodéputée membre de la commission environnement :

«Combien d’alertes ou de catastrophes faudra-t-il encore pour que la gestion des plateformes pétrolières soit enfin prise au sérieux ? Au total, 23 tonnes de gaz se seraient déjà échappées de la plate-forme en 48 heures. Avec ses 500 plateformes, la Mer du Nord est aujourd’hui l’une des zones les plus exposées en Europe à la pollution des grandes industries d’extraction et d’exploration pétrolière et gazière. En octobre 2011, le Parlement européen avait adopté un rapport appelant au renforcement des règles plus strictes en matière de sécurité des plateformes pétrolières et gazières. Ce nouvel incident démontre une nouvelle fois l’urgence qu’il y a agir en ce domaine et la nécessité d’un moratoire sur toute nouvelle exploitation en pleine mer ».

L’eurodéputée poursuit : « Alors que les forages s’étendent chaque jour plus loin des côtes et atteignent des profondeurs abyssales – entraînant une augmentation des risques en matière de gestion et de surveillance des installations – , le Sommet de Rio en juin prochain sera aussi l’occasion pour l’UE et la communauté internationale de prendre les mesures adéquates de protection des milieux marins et océans de plus en plus menacés ».

Pour José Bové, eurodéputé :

«En France, le permis Rhône-Maritime au large de la Méditerranée arrive bientôt à échéance. Il est urgent de ne pas le reconduire, pour protéger la Méditerranée et sa biodiversité privilégiée de ces risques largement avérés. A l’appel du Collectif « le Var dit non au gaz de schiste », une journée de mobilisation est organisée le dimanche 8 avril contre le renouvellement du permis. Un rassemblement terrestre aura lieu à la Seyne-sur-Mer et une flottille maritime s’organisera au large du Fort de Brégançon. Soyons nombreux pour lancer l’alerte.»

Pour Michèle RIVASI, porte-parole d’Eva Joly :

« Cette catastrophe n’est pas une surprise. Nous avons découvert avec la catastrophe de Deepwater Horizon que les ingénieurs jouaient aux apprentis sorciers pour tenter de maîtriser des conditions d’extraction extrêmes. Les pressions  en eaux profondes sont telles que toute maîtrise de l’accident dans un délai raisonnable est impossible: il aura ainsi fallu trois mois pour endiguer une catastrophe qui relâchait 53 000 barils de pétrole par jour. Aujourd’hui, Total nous annonce que la maîtrise de cette fuite pourrait prendre six mois. Une catastrophe de plus qui renforce les écologistes dans leur opposition au renouvellement du permis d’exploration Rhône Méditerranée, situé à proximité des côtes marseillaises: un tel accident en mer fermée signifierait la pollution de réserves naturelles et la suppression de dizaines de milliers d’emplois dans le tourisme. »

Cette catastrophe de trop n’est sûrement pas la dernière: « Si nous n’engageons pas une transition énergétique rapidement, si nous n’apprenons pas à sortir des énergies fossiles progressivement, nous subirons de plus en plus de catastrophes similaires. Jusqu’ici, nous avions un pétrole abondant, de bonne qualité et donc peu cher. Aujourd’hui ce n’est pas seulement le déséquilibre entre l’offre et la demande qui conditionne les prix, mais aussi et surtout les conditions d’extraction. Sables bitumineux, gaz et huiles de schiste, forages en eaux profondes sont les dernières idées trouvées par les compagnies pétrolières pour maintenir notre addiction aux énergies fossiles. Les risques sont accrus, les technologies mal maîtrisées et les prix ne reflètent pas les impacts environnementaux dévastateurs de celles-ci. »

Et Michèle RIVASI de conclure: « Nous sommes aujourd’hui face à un enjeu historique: nous devons amorcer la troisième révolution industrielle pour éviter une crise énergétique, et ni l’UMP ni le PS ne semblent le comprendre. La fuite en avant continue, et comme toujours ce sont les précaires qui paient le prix fort. Le prix de l’essence, du gaz et du fioul vont augmenter, c’est pourquoi il faut investir pour garantir l’accès aux technologies les plus économes en énergie, afin d’alléger les factures des ménages. Il faut aussi investir dans les nouvelles sources d’énergie et revoir notre urbanisme et nos modes déplacement, en garantissant un service public de transports efficace pour tous: c’est ce que propose Eva Joly« .

]]>
http://actualites.eelv-legislatives.fr/fuite-de-gaz-au-large-de-la-mer-du-nord-lunion-doit-se-doter-de-regles-plus-strictes/feed/ 0
AFFAIRE PEMEZEC : ATTRIBUTION DE LOGEMENTS SOCIAUX DANS LES HAUTS-DE-SEINE, LE TEMPS DE LA TRANSPARENCE ET DE LA JUSTICE EST VENU http://actualites.eelv-legislatives.fr/affairepemezec2802012/ http://actualites.eelv-legislatives.fr/affairepemezec2802012/#comments Wed, 28 Mar 2012 11:48:52 +0000 francinebavay http://888.6911 Communiqué de presse du 28 mars 2012 de Francine BAVAY

Devant la gravité des faits relatés par des enquêtes journalistiques de tri ethnique au regard de l’attribution des logements sociaux dans la ville du Plessis-Robinson, Francine BAVAY demande au Préfet des Hauts-de-Seine de rappeler Monsieur PEMEZEC au respect des règles républicaines.

Francine BAVAY demande également au Préfet de saisir la Cour des comptes pour enquêter sur les modalités d’attribution des logements sociaux dans les communes de ce département.

Tout comme son collègue écologiste au Conseil départemental Vincent GAZEILLES, Francine BAVAY interpelle le Président du Conseil général des Hauts-de-Seine pour lui demander de retirer à Monsieur PEMEZEC tout rôle d’attribution des logements sociaux au niveau départemental. Elle souhaite également, qu’au regard de ces discriminations, Monsieur PEMEZEC se voit retirer sa délégation de Vice-président à l’égalité des chances.

Afin de lever toute suspicion, Francine BAVAY demande la mise en place de l’anonymisation des demandes de logements sociaux.

Être élu de la Nation, c’est servir tous les citoyens et non servir les intérêts particuliers, familiaux notamment.

Francine BAVAY, conseillère régionale, Europe Ecologie Les Verts
Candidate EELV aux élections législatives sur la 12ème circonscription législative des Hauts de Seine Châtillon – Clamart – Fontenay Aux Roses – Le Plessis Robinson

Contact

http://chatillon.ecologiesolidaire.fr/tag/Bavay

http://bavay.eu

]]>
http://actualites.eelv-legislatives.fr/affairepemezec2802012/feed/ 0
Jean-François Colin et les énergies http://actualites.eelv-legislatives.fr/jean-francois-colin-et-les-energies/ http://actualites.eelv-legislatives.fr/jean-francois-colin-et-les-energies/#comments Mon, 12 Mar 2012 21:31:37 +0000 emelinebaume http://855.405 Les écologistes en 2012 – Jean-François Colin et les énergies

]]>
http://actualites.eelv-legislatives.fr/jean-francois-colin-et-les-energies/feed/ 0
Ni fossiles, ni nucléaire, ni effet de serre – Sobriété, efficacité, renouvelables et emplois locaux avec les écologistes http://actualites.eelv-legislatives.fr/ni-fossiles-ni-nucleaire-ni-effet-de-serre-sobriete-efficacite-renouvelables-et-emplois-locaux-avec-les-ecologistes/ http://actualites.eelv-legislatives.fr/ni-fossiles-ni-nucleaire-ni-effet-de-serre-sobriete-efficacite-renouvelables-et-emplois-locaux-avec-les-ecologistes/#comments Mon, 12 Mar 2012 21:06:12 +0000 emelinebaume http://855.392 Dimanche 11 mars de Lyon à Avignon, tous ensemble nous avons marché pour sortir du nucléaire ;

 

 

Lundi 12 mars à Lyon la cure de desintox continue :

 

- En ce moment:

Plus vous consommez, moins vous payez donc les plus pauvres payent davantage l’accès à l’électricité, injuste dîtes vous ?! Les écologistes proposent la tarification progressive pour lutter contre les inégalités sociales et spatiales.

 

-Tout à l’heure :

Le renouvelable c’est de l’intermittent alors nous voulons de la sécurité d’approvisionnement. Les écologistes rappellent que les énergies renouvelables et locales sont complémentaires, variables (éolien, solaire) et stockables (biogaz,bois)

 

-Demain :

90 % de l’argent public est consacré à la recherche sur les questions énergétiques… sur le nucléaire. Pluralisme et indépendance me direz vous, question de priorités pour d’autres. Les écologistes proposent tout simplement d’investir dans la recherche du renouvelable (des réseaux intelligents jusqu’aux problématiques de stockage en passant par le volet bâtiment avec les éco-matériaux et l’isolation)

 

-Après demain:

EDF propose une hausse des prix de l’électricité de 30 % d’ici à… 2015 ! La transition énergétique (efficacité-sobriété-énergies renouvelables) sortant du système actuel (pétrole-gaz-nucléaire) ne coutera pas plus…

 

alors, vous voulez du changement ? Rendez vous avec votre présent et votre avenir le 10 juin !

]]>
http://actualites.eelv-legislatives.fr/ni-fossiles-ni-nucleaire-ni-effet-de-serre-sobriete-efficacite-renouvelables-et-emplois-locaux-avec-les-ecologistes/feed/ 0
Alors que la vérité se fait jour à Fukushima, les élus EELV interpellent l’Autorité de Sureté Nucléaire http://actualites.eelv-legislatives.fr/alors-que-la-verite-se-fait-jour-a-fukushima-les-elus-eelv-interpellent-lautorite-de-surete-nucleaire-2/ http://actualites.eelv-legislatives.fr/alors-que-la-verite-se-fait-jour-a-fukushima-les-elus-eelv-interpellent-lautorite-de-surete-nucleaire-2/#comments Fri, 09 Mar 2012 14:25:29 +0000 Robot http://795.374 Les élus Europe Ecologie les Verts membres de commissions locales d’information (CLI) des installations nucléaires françaises dénoncent les silences des autorités japonaises sur le déroulé de la catastrophe de Fukushima et ses conséquences. Pour autant, les informations déjà vérifiées suffisent à dresser un bilan environnemental et sanitaire dramatique pour les populations. En France, ce bilan [...]]]> Earthquake and Tsunami damage-Dai Ichi Power Plant, Japan

Les élus Europe Ecologie les Verts membres de commissions locales d’information (CLI) des installations nucléaires françaises dénoncent les silences des autorités japonaises sur le déroulé de la catastrophe de Fukushima et ses conséquences. Pour autant, les informations déjà vérifiées suffisent à dresser un bilan environnemental et sanitaire dramatique pour les populations. En France, ce bilan constitue un argument supplémentaire pour engager immédiatement une transition énergétique permettant la sortie du nucléaire, mais aussi un renforcement majeur de la sécurité des installations existantes dont l’arrêt et le démantèlement se dérouleront sur plusieurs décennies.   

Que s’est-il vraiment passé à Fukushima ?

Aujourd’hui, non seulement les réacteurs ne sont toujours pas sous contrôle et continuent à dégager des composants fortement radioactifs, mais il apparaît que la population a été gravement désinformée. Plus de 500 000 personnes vivent dans des zones fortement contaminées. La ville de Fukushima située à 60 kilomètres de la centrale n’a pas été évacuée. Pourtant les doses de radioactivité que reçoivent les habitants sont telles que les conséquences sur leur santé sont certaines. Quelques jours après l’accident, une première estimation pour la seule zone de Fukushima calculait déjà un risque de plus de 400 000 cancers supplémentaires.

Plus grave, plusieurs scientifiques reconnus apportent des éléments qui pourraient remettre en cause certaines explications données par les autorités japonaises et reprises par leurs homologues américains et français :

-          Des retombées d’uranium et de plutonium 238 ont été mesurées à des distances de 45 kilomètres des réacteurs de Fukushima ; a priori ces retombées ne peuvent résulter que d’une réaction de « criticité instantanée », désintégration radioactive et explosion d’assemblages d’un cœur de réacteur et/ou de combustibles stockés en piscine.

-          La piscine de stockage du combustible située dans le réacteur n°4, qui contenait un cœur de MOX récemment déchargé et 200 tonnes de combustible nucléaire, n’aurait pas été le siège d’une « explosion d’hydrogène », mais d’un incendie avec excursion nucléaire.

Ces informations ont été développées, témoignages et documents à l’appui, dans le documentaire « Enquête sur une super-catastrophe nucléaire » (NDR/Arte) diffusé le mardi 6 mars 2012.

Les scientifiques interviewés prennent cette hypothèse d’explosions résultant de réactions de criticité comme probable. Elle entrainerait des conséquences beaucoup plus graves que celles déjà constatées.

Aujourd’hui, c’est une part très importante du territoire japonais qui est contaminé en « tache de léopard »,  notamment parce que les particules de type Cesium 134 et 137 sont très volatiles. Les premières séries de mesures validées scientifiquement tendent à confirmer cette pollution radioactive très étendue. Des mesures indépendantes ont montré que des légumes issus de champs cultivés à plusieurs centaines de kilomètres de la centrale sont contaminés. Chaque jour, les 35 millions d’habitants de l’agglomération de Tokyo doivent consommer des aliments potentiellement contaminés et non contrôlés, sauf à exclure tous produits japonais…

L’IRSN, dans le rapport de M. Thierry CHARLES (CEA-IRSN) du 28 février 2012 avance avec précaution, (sans citer les sources qui ne sont en fait que celles de TEPCO), que les piscines des réacteurs n°3 et n°4 seraient en « état a priori correct (ruptures de gaines ?) ». L’interrogation de l’IRSN est bien la preuve de son incertitude sur l’état de ces piscines. De même, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) n’a pas apporté de preuve qu’il n’y ait eu que des « explosions d’hydrogène ».

Le documentaire d’Arte est resté sans aucun commentaire de la part de l’ASN, de l’IRSN, et bien sûr d’AREVA fournisseur du MOX de Fukushima. Si elles se vérifient, ces informations changeraient la nature de l’accident de Fukushima. Les faits avancés sont suffisamment graves pour qu’ils exigent des explications sur l’état des connaissances de l’ASN sur les scénarios des explosions de Fukushima et les retombées de plutonium.

Raymond Avrillier, militant écologiste spécialiste du nucléaire, avait déjà demandé à l’ASN début avril 2011 de fournir les informations sur les scénarios de criticité instantanée, en particulier des réacteurs 3 et piscine 4, sans réponse à ce jour.

Les élus écologistes membres des Commissions locales d’Information (CLI) auprès des installations nucléaires françaises demandent à l’Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) de faire rapidement la lumière sur ces scénarios en lien avec les autorités japonaises. S’ils se confirmaient,  ce serait une grave mise en cause des autorités japonaises mais aussi d’AREVA, très présent à Fukushima.

Ainsi, la  catastrophe de Fukushima commence à apparaitre comme une « super-catastrophe » d’une technologie et d’un système dont la réalité et les conséquences dramatiques continuent à être cachées par le lobby nucléaire. La gestion de la catastrophe s’est clairement révélée défaillante. Et aujourd’hui, le vaste plan de décontamination des sols annoncé par le gouvernement japonais apparaît jour après jour comme une mascarade : il faudrait des dizaines d’années pour dépolluer les 30 millions de m3 de terre et de matériaux contaminés sans solution pérenne de traitement et de stockage.

En France, tirons toutes les conséquences de la catastrophe de Fukushima

Nous demandons une nouvelle approche des questions relevant de la sureté nucléaire des installations françaises. Dès à présent, deux points doivent-être totalement revus :

-          Il n’est plus possible de limiter les plans d’intervention et les exercices de sureté aux seuls périmètres des Plans Particuliers d’Intervention (PPI) de quelques kilomètres autour des centrales. Après la catastrophe de Tchernobyl, celle de Fukushima vient nous rappeler que la dispersion d’éléments radioactifs n’a pas de frontière. Il est aujourd’hui urgent d’élargir les périmètres des PPI et de travailler sur des scénarios incluant l’éventualité d’évacuation complète des plus grandes agglomérations françaises comme celle de Lyon (à 30 kilomètres de la centrale du Bugey) ou de Bordeaux (à 40 kilomètres de la centrale du Blayais).

-          Il n’est plus possible de travailler sur des scénarios seulement techniques liés principalement aux risques naturels : il faut intégrer le facteur humain. Dans les scénarios d’accidents majeurs étudiés par l’ASN, ce facteur humain n’est pas suffisamment pris en compte ni dans les causes possibles (défaillance humaine, risque terroriste, …) ni dans la gestion de crise (c’est-à-dire dans les capacités d’intervention en environnement très dégradé). Les simulations et exercices de sécurité sont totalement insuffisants. Pour se rapprocher d’une situation réelle d’accident, ils doivent changer de nature et d’ampleur : les intervenants extérieurs comme les pompiers ou la gendarmerie ne doivent, par exemple, pas être systématiquement prévenus, …

A Fukushima, nous savons déjà que les centaines d’intervenants au moment de l’accident ainsi que les 3 000 liquidateurs actuels ont été, et sont encore, exposés à de très fortes radiations, avec des conséquences certaines sur leur santé. Qui en France sera prêt à ce sacrifice en cas d’accident nucléaire ? Après les catastrophes de Tchernobyl, Three Mile Island et Fukushima, la transition énergétique, la sortie progressive du nucléaire et la sécurisation des installations jusqu’à leur démantèlement définitif, deviennent un impératif de civilisation.

Les élus Europe Ecologie les Verts membres de CLI auprès des installations nucléaires françaises.

]]>
http://actualites.eelv-legislatives.fr/alors-que-la-verite-se-fait-jour-a-fukushima-les-elus-eelv-interpellent-lautorite-de-surete-nucleaire-2/feed/ 0
Alors que la vérité se fait jour à Fukushima, les élus EELV interpellent l’Autorité de Sureté Nucléaire http://actualites.eelv-legislatives.fr/alors-que-la-verite-se-fait-jour-a-fukushima-les-elus-eelv-interpellent-lautorite-de-surete-nucleaire/ http://actualites.eelv-legislatives.fr/alors-que-la-verite-se-fait-jour-a-fukushima-les-elus-eelv-interpellent-lautorite-de-surete-nucleaire/#comments Fri, 09 Mar 2012 14:25:29 +0000 Robot http://eelv.fr/?p=22390 Les élus Europe Ecologie les Verts membres de commissions locales d’information (CLI) des installations nucléaires françaises dénoncent les silences des autorités japonaises sur le déroulé de la catastrophe de Fukushima et ses conséquences. Pour autant, les informations déjà vérifiées suffisent à dresser un bilan environnemental et sanitaire dramatique pour les populations. En France, ce bilan [...]]]> Earthquake and Tsunami damage-Dai Ichi Power Plant, Japan

Les élus Europe Ecologie les Verts membres de commissions locales d’information (CLI) des installations nucléaires françaises dénoncent les silences des autorités japonaises sur le déroulé de la catastrophe de Fukushima et ses conséquences. Pour autant, les informations déjà vérifiées suffisent à dresser un bilan environnemental et sanitaire dramatique pour les populations. En France, ce bilan constitue un argument supplémentaire pour engager immédiatement une transition énergétique permettant la sortie du nucléaire, mais aussi un renforcement majeur de la sécurité des installations existantes dont l’arrêt et le démantèlement se dérouleront sur plusieurs décennies.   

Que s’est-il vraiment passé à Fukushima ?

Aujourd’hui, non seulement les réacteurs ne sont toujours pas sous contrôle et continuent à dégager des composants fortement radioactifs, mais il apparaît que la population a été gravement désinformée. Plus de 500 000 personnes vivent dans des zones fortement contaminées. La ville de Fukushima située à 60 kilomètres de la centrale n’a pas été évacuée. Pourtant les doses de radioactivité que reçoivent les habitants sont telles que les conséquences sur leur santé sont certaines. Quelques jours après l’accident, une première estimation pour la seule zone de Fukushima calculait déjà un risque de plus de 400 000 cancers supplémentaires.

Plus grave, plusieurs scientifiques reconnus apportent des éléments qui pourraient remettre en cause certaines explications données par les autorités japonaises et reprises par leurs homologues américains et français :

-          Des retombées d’uranium et de plutonium 238 ont été mesurées à des distances de 45 kilomètres des réacteurs de Fukushima ; a priori ces retombées ne peuvent résulter que d’une réaction de « criticité instantanée », désintégration radioactive et explosion d’assemblages d’un cœur de réacteur et/ou de combustibles stockés en piscine.

-          La piscine de stockage du combustible située dans le réacteur n°4, qui contenait un cœur de MOX récemment déchargé et 200 tonnes de combustible nucléaire, n’aurait pas été le siège d’une « explosion d’hydrogène », mais d’un incendie avec excursion nucléaire.

Ces informations ont été développées, témoignages et documents à l’appui, dans le documentaire « Enquête sur une super-catastrophe nucléaire » (NDR/Arte) diffusé le mardi 6 mars 2012.

Les scientifiques interviewés prennent cette hypothèse d’explosions résultant de réactions de criticité comme probable. Elle entrainerait des conséquences beaucoup plus graves que celles déjà constatées.

Aujourd’hui, c’est une part très importante du territoire japonais qui est contaminé en « tache de léopard »,  notamment parce que les particules de type Cesium 134 et 137 sont très volatiles. Les premières séries de mesures validées scientifiquement tendent à confirmer cette pollution radioactive très étendue. Des mesures indépendantes ont montré que des légumes issus de champs cultivés à plusieurs centaines de kilomètres de la centrale sont contaminés. Chaque jour, les 35 millions d’habitants de l’agglomération de Tokyo doivent consommer des aliments potentiellement contaminés et non contrôlés, sauf à exclure tous produits japonais…

L’IRSN, dans le rapport de M. Thierry CHARLES (CEA-IRSN) du 28 février 2012 avance avec précaution, (sans citer les sources qui ne sont en fait que celles de TEPCO), que les piscines des réacteurs n°3 et n°4 seraient en « état a priori correct (ruptures de gaines ?) ». L’interrogation de l’IRSN est bien la preuve de son incertitude sur l’état de ces piscines. De même, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) n’a pas apporté de preuve qu’il n’y ait eu que des « explosions d’hydrogène ».

Le documentaire d’Arte est resté sans aucun commentaire de la part de l’ASN, de l’IRSN, et bien sûr d’AREVA fournisseur du MOX de Fukushima. Si elles se vérifient, ces informations changeraient la nature de l’accident de Fukushima. Les faits avancés sont suffisamment graves pour qu’ils exigent des explications sur l’état des connaissances de l’ASN sur les scénarios des explosions de Fukushima et les retombées de plutonium.

Raymond Avrillier, militant écologiste spécialiste du nucléaire, avait déjà demandé à l’ASN début avril 2011 de fournir les informations sur les scénarios de criticité instantanée, en particulier des réacteurs 3 et piscine 4, sans réponse à ce jour.

Les élus écologistes membres des Commissions locales d’Information (CLI) auprès des installations nucléaires françaises demandent à l’Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) de faire rapidement la lumière sur ces scénarios en lien avec les autorités japonaises. S’ils se confirmaient,  ce serait une grave mise en cause des autorités japonaises mais aussi d’AREVA, très présent à Fukushima.

Ainsi, la  catastrophe de Fukushima commence à apparaitre comme une « super-catastrophe » d’une technologie et d’un système dont la réalité et les conséquences dramatiques continuent à être cachées par le lobby nucléaire. La gestion de la catastrophe s’est clairement révélée défaillante. Et aujourd’hui, le vaste plan de décontamination des sols annoncé par le gouvernement japonais apparaît jour après jour comme une mascarade : il faudrait des dizaines d’années pour dépolluer les 30 millions de m3 de terre et de matériaux contaminés sans solution pérenne de traitement et de stockage.

En France, tirons toutes les conséquences de la catastrophe de Fukushima

Nous demandons une nouvelle approche des questions relevant de la sureté nucléaire des installations françaises. Dès à présent, deux points doivent-être totalement revus :

-          Il n’est plus possible de limiter les plans d’intervention et les exercices de sureté aux seuls périmètres des Plans Particuliers d’Intervention (PPI) de quelques kilomètres autour des centrales. Après la catastrophe de Tchernobyl, celle de Fukushima vient nous rappeler que la dispersion d’éléments radioactifs n’a pas de frontière. Il est aujourd’hui urgent d’élargir les périmètres des PPI et de travailler sur des scénarios incluant l’éventualité d’évacuation complète des plus grandes agglomérations françaises comme celle de Lyon (à 30 kilomètres de la centrale du Bugey) ou de Bordeaux (à 40 kilomètres de la centrale du Blayais).

-          Il n’est plus possible de travailler sur des scénarios seulement techniques liés principalement aux risques naturels : il faut intégrer le facteur humain. Dans les scénarios d’accidents majeurs étudiés par l’ASN, ce facteur humain n’est pas suffisamment pris en compte ni dans les causes possibles (défaillance humaine, risque terroriste, …) ni dans la gestion de crise (c’est-à-dire dans les capacités d’intervention en environnement très dégradé). Les simulations et exercices de sécurité sont totalement insuffisants. Pour se rapprocher d’une situation réelle d’accident, ils doivent changer de nature et d’ampleur : les intervenants extérieurs comme les pompiers ou la gendarmerie ne doivent, par exemple, pas être systématiquement prévenus, …

A Fukushima, nous savons déjà que les centaines d’intervenants au moment de l’accident ainsi que les 3 000 liquidateurs actuels ont été, et sont encore, exposés à de très fortes radiations, avec des conséquences certaines sur leur santé. Qui en France sera prêt à ce sacrifice en cas d’accident nucléaire ? Après les catastrophes de Tchernobyl, Three Mile Island et Fukushima, la transition énergétique, la sortie progressive du nucléaire et la sécurisation des installations jusqu’à leur démantèlement définitif, deviennent un impératif de civilisation.

Les élus Europe Ecologie les Verts membres de CLI auprès des installations nucléaires françaises.

]]>
http://actualites.eelv-legislatives.fr/alors-que-la-verite-se-fait-jour-a-fukushima-les-elus-eelv-interpellent-lautorite-de-surete-nucleaire/feed/ 0
Les élus régionaux EELV de France se rencontrent à Marseille http://actualites.eelv-legislatives.fr/les-elus-regionaux-eelv-de-france-se-rencontrent-a-marseille/ http://actualites.eelv-legislatives.fr/les-elus-regionaux-eelv-de-france-se-rencontrent-a-marseille/#comments Sun, 04 Mar 2012 17:52:15 +0000 Sophie CAMARD http://222.589 Après Paris en 2010 et Dijon en 2011, les élus régionaux EELV ont rendez-vous à Marseille cette année. Plus de 200 personnes sont attendues. Voici le programme :

  • Mardi 6 mars à l’Ecomotive (au pied des marches de la gare Saint-Charles)

15h-Minuit : accueil convivial des élus régionaux, ouvert à tous.

Dès 19h : apéritif, concert et repas.

  • Mercredi 7 mars : journée studieuse pour les élus régionaux.

  •  Jeudi 8 mars :

Plénière de clôture le matin

14h30 : « Eau source de vie, pas de profit » : grande photo de famille (élus régionaux, associations, citoyens et militants de toute la région)  au Palais Longchamp, lieu symbolique de l’arrivée de l’eau à Marseille. Banderole géante sur l’eau, en soutien au Forum alternatif mondial de l’eau.

Dès 16h : rendez-vous à l’Ecomotive : Action pour la Journée des femmes. Stands associatifs, prises de parole de Femmes, décryptage du programme d’Eva JOLY sur l’égalité femme-homme.

Article dans La Provence

]]>
http://actualites.eelv-legislatives.fr/les-elus-regionaux-eelv-de-france-se-rencontrent-a-marseille/feed/ 0