Dans l’annonce des titres et à partir de 6:26, écoutez les militants siffler l’hymne à la joie avec le gigantesque drapeau européen qui flotte au-dessus du Rhin.

Edition du 23 mai:

http://alsace.france3.fr/emissions/jt-1920-alsace

Sandrine Bélier sur France 3 Lorraine à la rencontre des acteurs engagés contre l’enfouissement des déchets radioactifs près de Bure le 2 mai.

Sandrine Bélier dans Europe Nuit le 5 mai.

Sandrine Bélier invitée de la rédaction de France Bleu Alsace le 6 mai:

Sandrine Bélier face aux auditeurs dans « Le téléphone sonne » sur France Inter le 6 mai:

Sandrine Bélier parle de sa victoire contre le traité anti contrefaçon ACTA, le 4 juillet 2012 sur BFM TV dans « 500 millions d’européens ». (à partir de la minute 24)

Sandrine Bélier en campagne à Reims et en visite chez un viticulteur en bio le 7 mai, en Champagne Ardenne:

Sandrine Bélier défend une Europe plus concrète dans la matinale de France Bleu Champagne Ardenne:

Sandrine Bélier est l’invitée du jour sur France Bleu Lorraine Nord:

Sandrine Bélier visite le Lac des Ders en Champagne Ardenne – reportage de France 3.

Portrait de Sandrine Bélier dans le Soir 3 du jeudi 15 mai.

Sous le soleil,  quelques dizaines de militants français et allemands ont assisté au déploiement d’un énorme drapeau européen de 10 mètres sur 15. A la veille des élections européennes, c’est l’occasion de rappeler que l’Europe est bien présente au quotidien, dans les régions frontalières comme ailleurs.

Jürgen Fischer, candidat au conseil municipal de Kehl a pris la parole en allemand pour rappeler l’importance de la représentation des écologistes de tous les pays européens au Parlement de Strasbourg et une volonté de travailler ensemble au)delà des frontières.  Sandrine Bélier a ensuite pris la parole en français et s’est dite touchée de finir la campagne européenne sur le Rhin, entre la France et l’Allemagne. Elle a appelé à une Europe plus écologiste, à un projet citoyen plus social et pas seulement économique. Sandrine Bélier, tête de liste Europe Ecologie dans le Grand Est,  a ensuite cité Jean Monnet, père fondateur de l’Union Européenne: « Nous ne coalisons pas des Etats, nous unissons des hommes. »; une idée forte à l’heure où le nationalisme et le repli sur soi ont tendance à s’exprimer de façon exacerbée. « Nous écologistes nous sommes pro-européens et croyons en l’avenir; que c’est grâce à l’Europe qu’on peut sortir de la crise. La crise ce n’est pas une crise de la zone euro mais une crise mondiale, financière. Il faut mettre fin à l’économie casino grâce à l’Europe, mais aussi réindustrialiser, mettre en oeuvre la transition énergétique, remettre du lien entre les producteurs et les consommateurs et surtout remettre les citoyens au coeur du projet européen. »

La rencontre s’est conclue par un pique-nique convivial.

Les élections européennes se déroulent ce dimanche 25 mai.

C’est l’ancienne magistrate Eva Joly, numéro deux sur la liste d’Ile-de-France, qui a lu avec humour l’acte d’accusation de Daniel Cohn-Bendit, accusé notamment de «publicité mensongère pour avoir embarqué des milliers de gens dans le rêve européen».

Pendant plus de deux heures trente, se sont succédé sur une scène, où était reproduit un tribunal, des «témoins» et «experts» à savoir Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale d’EELV, Karima Delli et Sandrine Bélier, têtes de liste dans l’Est et le Nord-Ouest, ou encore Cécile Duflot, ex-ministre.

Le récit complet par Libération est à lire ici.

« (…) cette Journée Mondiale de la biodiversité revêt une symbolique particulière car elle se déroule trois jours avant un scrutin qui déterminera largement le  niveau d’ambition des politiques environnementales de l’Union européenne pour les cinq ans à venir.

Et d’ambition elle aura certainement besoin car les efforts déployés depuis la création du réseau Natura 2000 en 1992 n’ont pas suffi et que la perte de la biodiversité s’accélère en Europe également. Cet échec, nous le devons à la myopie de certains dirigeants européens, trop lâches pour dépasser les intérêts économiques et électoraux de court terme, et pour écouter les avertissements.

Je défends depuis des années, de la commune au Parlement européen, une approche intégrée de la nature, qui se préoccupe davantage d’éviter la perte de biodiversité que d’essayer naïvement de compenser des écosystèmes détruits. Prévenir, plutôt que guérir. (…) »