Nous avions partagé avec Brice une grande partie de ces aberrations locales dès notre rencontre et personnellement je reste navré que la dimension sociale du sport ne soit pas pris en compte dans la gestion des différentes sections sportives de Montrouge.
J’en avais fait fréquemment la proposition de 2004 à 2009 et il m’avait été répondu comme fin de non recevoir définitive, que ce n’était pas dans les rôles de ce type d’association !
J’ajoute que plus de 50 à 100 personnes et principalement des enfants sont refusés chaque année dans plusieurs activités sportives sur Montrouge, et on doit encore être très au-delà de ce chiffre concernant la piscine.
Des solutions envisageables existent mais ne rencontrent pas la volonté politique nécessaire.
Le sport est un défouloir nécessaire à beaucoup, il permet d’entretenir ou de développer une meilleure santé et peut avoir un rôle alternatif d’intégration sociale non négligeable.

Philippe Ponge.